Berchères-les-Pierres

Berchères-les-Pierres est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Berchères.

Berchères-les-Pierres

L'éolienne, l'abri de la pompe, le lavoir et sa « mare »
 Inscrit MH (1993)[1].
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Jean-Claude Breton
2020-2026
Code postal 28630
Code commune 28035
Démographie
Population
municipale
988 hab. (2018 )
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 09″ nord, 1° 33′ 15″ est
Altitude Min. 136 m
Max. 156 m
Superficie 19,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chartres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Berchères-les-Pierres
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Berchères-les-Pierres
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Berchères-les-Pierres
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Berchères-les-Pierres
Liens
Site web http://www.berchereslespierres.fr

    Géographie

    Situation

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Berchères-les-Pierres
    Gellainville Sours
    Morancez
    Corancez
    Dammarie Theuville Prunay-le-Gillon

    Lieux-dits et écarts

    • Chamblay ;
    • Bussay ;
    • Bois de la Garenne ;
    • Amprainville (lieu-dit).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 624 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sours - Man », sur la commune de Sours, mise en service en 1974[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 617,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 10 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 11 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Berchères-les-Pierres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,8 %), forêts (3,8 %), zones urbanisées (2,4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Bercherias en 1100[22], Bercheriae Episcopi vers 1250[23], Berchères les Pierres en 1793[24], Berchères-l'Évêque en 1801[24], Berchères-les-Pierres en 1879[24].

    Berchères signifie : « terre à moutons ». Ce toponyme français est également présent en Eure-et-Loir dans le nom des communes de Berchères-Saint-Germain et Berchères-sur-Vesgre.

    les-Pierres en référence aux carrières de pierre qui servirent à la construction de nombreuses maisons et édifices, dont la cathédrale Notre-Dame de Chartres, l'abbaye Notre-Dame de l'Eau et le lycée Marceau.

    Histoire

    Village agricole et carrier jusqu'au début du XXe siècle, Berchères est devenu une agglomération satellite de Chartres, l'activité agricole continue mais la production de pierre de taille n'existe plus. Chamblay, village-rue situé sur l'axe Chartres-Voves est un gros hameau agricole. En 1300, on y cultivait de la garance, fleur utilisée pour la teinture rouge[25]. L'autre hameau, Bussay, ne comporte que trois fermes. Des terres de Bussay appartenaient aux templiers de la commanderie de Sours au Moyen Âge.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1929 1953 Félix Chartier
    (1896-1953)
    SFIO Cultivateur
    1953 1971 Raymond Piedbourg    
    1971 1983 Michel Levacher    
    1983 mars 2008 Henry Boutin    
    mars 2008 mars 2014 Christian Serive    
    avril 2014 En cours Jean-Claude Breton[26],[27]   Ancienne profession intermédiaire

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2018, la commune comptait 988 habitants[Note 7], en diminution de 0,3 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    600638670651714735760740778
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    811800841838830825816807764
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    785770761681708730658681671
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    612670728711882916961985997
    2018 - - - - - - - -
    988--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • La Berchéroise, une randonnée de Chartres à Berchères, est organisée chaque année en juin par l'association Berch'Pierre[31], créée en 2005 afin de rendre hommage aux bâtisseurs de la cathédrale Notre-Dame de Chartres et de mieux faire connaître les propriétés de cette pierre calcaire extraite au bois de la Garenne[32],[33].

    Culture locale et patrimoine

    L'éolienne Bollée

    Sur la route de Chartres, la mare avec son lavoir est alimentée en eau par une éolienne d'Auguste Bollée, constructeur au Mans, frère du pionnier de l'automobile Amédée Bollée père[34],  Inscrit MH (1993)[1].

    L'église Notre-Dame

    L'église Notre-Dame, XIIe siècle.

    L'église Notre-Dame est du XIIe siècle, les murs de la nef sont probablement du XIe, son mur sud présentant un appareil en « écaille de poisson ». Les fenêtres du chœur et de l'abside ont été élargies au XIXe siècle, seule la nef a ses ouvertures romanes d'origine.

    Au XVIIIe siècle, le rond-point de l'abside a été surélevé pour pouvoir installer à l'intérieur le retable, on voit encore à l'extérieur l'ancienne corniche qui est à la même hauteur que le sommet des murs de la nef.

    Le dallage conserve de nombreuses pierres tombales de laboureurs, croix et socs de charrue. Au bas de la nef, se trouve une cuve baptismale romane en pierre de Berchères.

    Le clocher, tour quadrangulaire du XIIIe siècle, avait autrefois son deuxième étage éclairé par huit hautes baies ogivales, deux par côté. Elles furent en partie réduites dans leur hauteur en réutilisant des pierres tombales sculptées de croix et d'épées (XIIe-XIIIe). Les baies de l'angle sud-ouest ont été détruites à l'époque moderne. Dès sa construction, la tour du clocher communiquait par une grande arcade avec le chœur (la même disposition se retrouve à l'église de Corancez et dans bien d'autres églises), ensuite, cette arcade a été bouchée et le rez-de-chaussée de cette tour est devenu une sacristie.

    Les carrières

    Les carrières sont en grande partie remblayées et servent pour moitié de terrain de moto-cross[35]. Dans l'autre moitié, plusieurs fronts de taille de différentes époques sont visibles grâce à un sentier pédestre aménagé dans le bois de la Garenne. Le sentier n'est cependant pas accessible en période de chasse.

    Autres lieux et monuments

    • Au nord de l'église, la ferme beauceronne appelée « la Grand maison », possession personnelle de l'évêque jusqu'à la Révolution (ce qui justifie l'ancien nom du village, il avait aussi à Berchères ses fourches patibulaires où il pouvait exercer sa justice par l'entremise de son vidame), conserve son portail du XIIIe siècle, porte charretière avec ses boute-roues et porte piétonne, surmontées chacune d'un grand arc ogival. Ce sont les seuls vestiges de la clôture complète de cette ferme réalisée sur les ordres de l'évêque Pierre de Mincy en 1272. Elle possède aussi dans son jardin un grand vivier[36].
    • À proximité du hameau de Bussay, dolmen de la Pierre Nochat, sépulture mégalithique malheureusement bouleversée en 1961[37].
    • À droite de la route qui va de Berchères à Chamblay, au lieu-dit « La Motte », probable sépulture sous dalle comme celle qui existe sur la commune de Sours et qui est appelée « la Pierre complissée ».
    • La gare de Berchères-les-Pierres est située à proximité du point kilométrique 11 de la ligne de Chartres à Orléans, entre les gares de Beaulieu-Le Coudray et Theuville ; elle est actuellement fermée, la ligne étant limitée au fret. Une réouverture complète de la ligne au trafic voyageurs est envisagée au début des années 2020.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    Association Berch-Pierre, Berchères-l'Évêque devenu Berchères-les-Pierres, Berchères-les-Pierres, , 116 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Éolienne Bollée », notice no PA00125349, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sours - Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Berchères-les-Pierres et Sours », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sours - Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Berchères-les-Pierres et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Georges Bonnebas - Les noms des villes et villages d'Eure-et-Loir - Page 64.
    23. Abbé Guy Villette, Les Noms des villes et des villages d'Eure-et-Loir
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Claudine Billot, Chartres à la fin du Moyen Âge, Paris, .
    26. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Association Berch'Pierre », sur http://www.berch-pierre.fr/ (consulté le ).
    32. « Berch’pierre veut faire redécouvrir la carrière de Berchères », sur http://www.lechorepublicain.fr, .
    33. Julia Percheron, « L’association Berch’Pierre invite les randonneurs pour une visite guidée du site historique de Berchères-les-Pierres, dimanche 18 juin 2017. », sur http://www.lechorepublicain.fr, .
    34. Les éoliennes Bollée, Fédération française des amis des moulins, Fascicule no 15.
    35. Romain Léger, « Retour sur le motocross de Berchères-les-Pierres », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    36. Étude de Marc Bouyssou sur l'église : Histoire locale Beauce et Perche no 25, 1967.
    37. Concernant le dolmen de la Pierre Nochat : Histoire locale Beauce et Perche no 2 et 3 de 1961 .
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