Beaucouzé

Beaucouzé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Elle est située en périphérie ouest de la ville d'Angers et fait partie de la communauté urbaine Angers Loire Métropole.

Beaucouzé

L'église Saint-Gilles.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Yves Colliot
2020-2026
Code postal 49070
Code commune 49020
Démographie
Gentilé Beaucouzéens
Population
municipale
5 298 hab. (2018 )
Densité 274 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 28′ 34″ nord, 0° 37′ 54″ ouest
Altitude Min. 21 m
Max. 88 m
Superficie 19,34 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Angers
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Angers-3
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Beaucouzé
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Beaucouzé
Géolocalisation sur la carte : France
Beaucouzé
Géolocalisation sur la carte : France
Beaucouzé
Liens
Site web Ville de Beaucouzé

    Géographie

    Localisation

    Située dans la banlieue ouest d'Angers, à km de la préfecture de Maine-et-Loire, elle connaît une expansion démographique importante, notamment grâce sa proximité avec Angers.

    La ville est desservie par :

    Communes limitrophes

    Climat

    Une station est ouverte le 1er janvier 1921 au technopôle à 47,479005, −0,614292 , à 50 m d'altitude[1]. Il s'agit de la station de référence de l'agglomération angevine.

    Beaucouzé, 50 m, 1981 - 2010
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,8 2,5 4,4 6 9,5 12,3 14,2 14,1 11,5 9,1 5,3 3 7,9
    Température maximale moyenne (°C) 8,3 9,4 12,8 15,6 19,4 23,1 25,3 25,4 22,1 17,3 11,7 8,6 16,6
    Source : « données climatiques », sur Météo-France (consulté en )

    Voies de communication et transports

    • Beaucouzé est traversée d'Est en Ouest par 2 axes routiers. Sur la partie Sud de son agglomération par la N323/D523 ancien axe Angers/Nantes et sur la partie Nord de l'agglomération par l'A11 (entre les Km 269 et 273) axe reliant Nantes à Paris.

    Transports urbains

    • Beaucouzé est desservie par la ligne 4 du réseau de bus de la IRIGO. La ligne 21 dessert la commune les dimanches et jours fériés.
    • À long terme, la ligne B du tramway angevin devrait partir du futur quartier des Hauts-de-Couzé de Beaucouzé, desservir le centre-bourg de Beaucouzé, les quartiers de Belle-Beille, le Boulevard Foch, Monplaisir, pour ensuite rejoindre le terminus au parc des expositions d'Angers[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Beaucouzé est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[6] et 239 862 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

    La rue de la Mancharderie est la plus longue rue de la ville.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (24,3 %), prairies (21 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), zones urbanisées (11,2 %), forêts (8,2 %), cultures permanentes (2,7 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Formes anciennes du nom : Vulcosiacus en 1132, Biaucouseium en 1283, Bellum Couseium en 1489, Beaucouse en 1301, Beaucose en 1315, Paroisse de Beaucousin en 1352[13], Beaucouzé en 1793 et 1801[14],[Note 3].

    Le nom de la commune a pour origine le mot Wulfcoz, nom d'homme germanique propriétaire du domaine à l'époque gallo-romaine, suivi du suffixe -acum (qui indique la propriété)[15].

    Nom des habitants : les Beaucouzéens[15].

    Histoire

    La forme latine ancienne Vulcosiacus indique la présence d'un domaine gallo-romain[13].

    Lors de la guerre de 1870, la commune perd neuf habitants engagés dans l'armée française, et pendant la Première Guerre mondiale, 35 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 3 habitants sont tués[16].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1796 1801 Pierre Manseau   Agent municipal
    1801 1808 René François    
    1808 1813 Camille Boguais    
    1813 1830 Jean Dupont    
    1830 1831 Ambroise Roux    
    1831 1844 Pierre-Julien Querdray    
    1844 1848 Paul-Prosper Guilhem    
    1848 1849 Louis Goujon    
    1849 1853 Hervé Frémond    
    1853 1888 Charles Bouton-Lévêque    
    1888 1892 Charles Lacretelle    
    1892 1896 Alfred Bain    
    1896 1912 Ambroise Guichard    
    1912 1919 Henri Faris   Capitaine
    1919 1929 Jean Dézanneau    
    1929 1945 Jacques Crasnier    
    1945 1979 Paul Fessart    
    1980 juin 1995 René Ménard[18] SE Vendeur de machines agricoles
    juin 1995 mars 2001 Anne Cordier DVD Chargée de relation avec l'Allemagne
    mars 2001 mai 2020 Didier Roisné[19],[20] PS Professeur en formation professionnelle
    mai 2020 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Yves Colliot[21] DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Composition du conseil municipal

    GroupePrésidentEffectifStatut
    PSDidier Roisné23majorité
    DVDJean-Luc Cordier3opposition
    DVDAnnie Ruguet3opposition

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté urbaine Angers Loire Métropole[22], elle-même membre du syndicat mixte Pôle métropolitain Loire-Angers[23].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 5 298 habitants[Note 4], en augmentation de 7,36 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    810409608677650696761820850
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    796798764753737705719760714
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    703701691595631643636675679
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    6568211 3952 2663 8674 8514 5785 0204 980
    2018 - - - - - - - -
    5 298--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,3 %) est en effet inférieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

    • 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,1 %, 15 à 29 ans = 21,1 %, 30 à 44 ans = 17,9 %, 45 à 59 ans = 25,9 %, plus de 60 ans = 15,1 %) ;
    • 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 18,8 %, 30 à 44 ans = 17,4 %, 45 à 59 ans = 28,5 %, plus de 60 ans = 16,9 %).
    Pyramide des âges à Beaucouzé en 2008 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,2 
    3,1 
    75 à 89 ans
    4,5 
    11,9 
    60 à 74 ans
    12,2 
    25,9 
    45 à 59 ans
    28,5 
    17,9 
    30 à 44 ans
    17,4 
    21,1 
    15 à 29 ans
    18,8 
    20,1 
    0 à 14 ans
    18,4 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,1 
    6,3 
    75 à 89 ans
    9,5 
    12,1 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,0 
    45 à 59 ans
    19,4 
    20,3 
    30 à 44 ans
    19,3 
    20,2 
    15 à 29 ans
    18,9 
    20,7 
    0 à 14 ans
    18,7 

    Distinction

    Ville fleurie : trois fleurs au palmarès 2008 du concours des villes et villages fleuris[29].

    Enseignement

    Située dans l'Académie de Nantes, Beaucouzé compte trois écoles : deux écoles publiques (Jacques-Prévert et Maurice-Ravel) et une école privée (Saint-Étienne).

    Sports

    Mi-2009, Beaucouzé comporte plusieurs associations sportives, regroupées au sein du « SCB » (Sporting Club de Beaucouzé[30] : APED (activité physique de détente et d'entretien), arts martiaux, athlétisme, badminton, basket-ball, cyclisme, escalade, football, gymnastique et twirling, handball, tennis, tennis de table, pétanque, volley-ball.

    Manifestations culturelles et festivités

    • La fête communale se déroule le deuxième week-end du mois de mai[31].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 38 813 €, ce qui plaçait Beaucouzé au 3 167e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[32].

    Activités

    Sur 676 établissements présents sur la commune à fin 2010, 3 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 69 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[33].

    Secteur commercial

    Beaucouzé joue un rôle économique essentiel dans l'agglomération angevine, du fait de la présence d'une zone industrielle très importante.[réf. souhaitée]

    La ville accueille également la plus importante zone d'activité commerciale de l'agglomération[réf. souhaitée] avec des enseignes nationales telles que Décathlon, Castorama(fermé en juillet 2020) , Jardiland, ou encore Boulanger réparties au sein de trois zones distinctes (L'Hoirie, le Landreau et le Pin). Un bowling de vingt-six pistes, des restaurants à thème ainsi que des hôtels complètent l'ensemble.

    L'Atoll

    En mars 2012, un nouveau complexe commercial à vocation régionale, baptisé L'Atoll, a vu le jour.

    Secteur administratif

    Une partie de la technopole d'Angers se situe sur la commune de Beaucouzé, avec la présence de l'INRA ou encore d'un centre Météo-France.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Plusieurs monuments sont situés sur la commune :

    • Église Saint-Gilles, des XIIIe au XIXe siècles[34] ;
    • Château de Guinezert ;
    • Château de Mollière, des XVe au XIXe siècles[35] ;
    • Château de Vilnière, du XIXe siècle ;
    • Manoir de La Césardière, du XVIe siècle ;
    • Moulin de La Farauderie (1903), avec sa tour à cinq étages[36].

    Autres lieux :

    • Le Couzé, étang situé sur à la commune.

    Médiathèque

    Une médiathèque, baptisée Anita-Conti et inaugurée en septembre 2006, est ouverte au public sur les bords du Couzé.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti : au premier d'azur au chef cousu de gueules, à l'escarboucle fleur de lysée d'or brochant, au second de sinople à la fasce ondée d'argent.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (notice BnF no FRBNF33141105, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. [PDF] Fiche du poste 49020001, contenant les données publiques de la station Météo-France, consulté le 25 octobre 2015
    2. « Le tracé - Ligne B de tramway d'Angers Loire Métropole », sur tramway.angersloiremetropole.fr (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874-1878, Édition révisée de 1965 par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt, t. 1 p. 270 et suivantes.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Cheminements, 2005, p. 26.
    16. Port 1965, p. 270.
    17. Port 1965, p. 272.
    18. « Nécrologie. René Ménard, ancien maire de Beaucouzé », Le Courrier de l'Ouest, no 19837, , p. 2.
    19. Résultats officiels des élections municipales 2008 à Beaucouzé sur le site officiel du Ministère de l'Intérieur.
    20. Le Courrier de l'Ouest, Municipales : Didier Roisné réélu maire article du 30 mars 2014.
    21. « Beaucouzé. Yves Colliot succède à Didier Roisné à la mairie », sur Ouest-France, (consulté le ).
    22. Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
    23. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Évolution et structure de la population », sur Résultats du recensement de la population - 2008 (consulté le )
    28. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur insee.fr (consulté le ).
    29. « Une ville pleine de vie » sur le site officiel de la commune de Beaucouzé, consulté le 31 janvier 2009.
    30. Les associations sportives de Beaucouzé sur le site de la mairie de Beaucouzé, consulté le 1er juin 2009.
    31. « Beaucouzé »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) sur le site officiel du Quid, consulté le 1er juin 2009.
    32. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    33. Insee, Statistiques locales du territoire de Beaucouzé (49), consultées le 2 décembre 2012.
    34. « Église paroissiale Saint-Gilles », notice no IA49008720, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Château de Mollière », notice no IA49008722, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Moulin à blé (moulin à vent) au lieu-dit la Farauderie », notice no IA49008721, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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