Bazouges-la-Pérouse
Bazouges-la-Pérouse est une commune française homologuée « petite cité de caractère », située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 832 habitants[Note 1] (les Bazougeais).
Pour les articles homonymes, voir Bazouges (homonymie).
Bazouges-la-Pérouse | |||||
Mairie de Bazouges-la-Pérouse | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Fougères-Vitré | ||||
Intercommunalité | Couesnon Marches de Bretagne | ||||
Maire Mandat |
Pascal Hervé 2020-2026 |
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Code postal | 35560 | ||||
Code commune | 35019 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bazougeais | ||||
Population municipale |
1 832 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 25′ 37″ nord, 1° 34′ 23″ ouest | ||||
Altitude | Min. 10 m Max. 116 m |
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Superficie | 58,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Val-Couesnon | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.bazougeslaperouse.fr | ||||
Géographie
Bazouges est un village situé à 43 km au nord-est de Rennes sur la route de Pontorson entre Fougères et Combourg.
Hydrographie
Le territoire communal est notamment traversé au sud par la Tamout.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 811,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Bazouges-la-Pérouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,3 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), forêts (21 %), prairies (13,1 %), zones urbanisées (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la commune est attesté sous les formes Basilgis au XIIe siècle et Basocha à 1292[21].
Le nom de la ville serait un dérivé de basilica et de pétra qui deviendra pierreuse puis pérouse, « église » et « pierre ».
Histoire
Moyen-Âge
Au VIIe siècle, on trouve des premières traces de la paroisse qui appartiendra ensuite à Notre-Dame de Fougères depuis le XIe siècle puis à l'abbaye de Rillé[22] de Fougères vers 1163. Après avoir appartenu à Maffroy de Bazouges en 1090 puis au XIIe siècle à Raoul Ier de Fougères, la châtellenie reste jusqu'en 1789 aux barons de Fougères. Le château de la Ballue en était la maison seigneuriale.
Temps modernes
De 1588 à 1590, elle passe tour à tour aux mains de Ligueurs et des Royaux. Pillée par les soldats anglais sous le commandement de Montbarot, gouverneur de Rennes en 1590, les habitants se réfugient au château, mais doivent payer aux Anglais 180 livres pour éviter que les vitraux de l'église soient brisés.
Le règlement du évoque des toiles de halles et d'emballages tissées autour de Bazouges[23].
La Révolution
L’organisation des fêtes révolutionnaires témoigne du maintien d’un sentiment favorable au nouveau régime, surtout après la fin de la Terreur :
- les victoires des armées républicaines sont fêtées, notamment la paix avec l’Autriche, principal ennemi de la France, en brumaire an VI[24] ;
- l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, est fêté (à partir de 1795)[25] ;
- la fête du 26 messidor (14 juillet) à partir de 1794[24] ;
- les autres fêtes républicaines sont suivies, comme la fête de la Reconnaissance et la fête de l’Agriculture, pourtant peu suivie dans le département (les 10 prairial et 10 messidor[26]).
Cela n’empêche pas les manifestations d’une opposition diffuse mais déterminée, la chouannerie[27]. Ainsi, le 8 mars 1796, un combat a lieu dans la forêt de Villecartier[28] entre Républicains et Chouans de la région. Deux des chefs de ces derniers, le chevalier de la Vieuville[29] et le vicomte de Sérent furent tués et enterrés par les paysans ; le premier dans la forêt, le second transporté par un paysan nommé Briant, le fut secrètement dans un champ lui appartenant. Un pommier marquait la tombe. En 1831, la famille fit exhumer le corps et transféra les restes à Paris[30].
Le XIXe siècle
La nomination en 1833 de Pierre Cornillet[Note 6], jeune instituteur sortant de l'École normale de Rennes, provoque lors de la messe du un violent réquisitoire du curé Barbot qui voit dans l'ouverture d'une école communale une véritable provocation à l'encontre de l'école congréganiste ouverte en 1825 ; l'école nouvelle est présentée par lui comme une école d'athéisme, imposée par la violence à une population chrétienne. Le curé, poursuivi, fut relaxé par la justice et l'affaire fut évoquée dans les journaux de la région. L'instituteur obtint une autre affectation à Bais[31].
La Seconde Guerre mondiale
En 1940, lors de la réquisition de la maison malouine de feu Louis Duchesne par le général allemand Andreas von Aulock, l'infirmière Anne Miniac (1895-1975) évacue le mobilier de l'historien et l'installe chez elle, au 8 place de la Mairie à Bazouges. La maison de Duchesne au Chemin de la Corniche étant partiellement détruite par les bombardements de l'été 1944, Anne Miniac a ainsi sauvé ce mobilier, dont la bibliothèque.
Héraldique
Blasonnement :
D’argent à trois arbres de sinople, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or. |
Politique et administration
Liste des maires
Budget et fiscalité 2013
En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[37] :
- total des produits de fonctionnement : 1 298 000 €, soit 678 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 1 016 000 €, soit 530 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 1 175 000 €, soit 613 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 065 000 €, soit 556 € par habitant.
- endettement : 2 064 000 €, soit 1 078 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 10,33 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,54 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 30,01 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].
En 2018, la commune comptait 1 832 habitants[Note 7], en augmentation de 0,77 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Le village est le siège de la société Riaux, spécialisée dans la fabrication d'escalier. Créée en 1977, cette société employait, en 2012, 230 salariés pour un chiffre d'affaires de 24 millions d'euros[42].
Culture
Bazouges est un ancien village perché sur une butte ce qui en a toujours fait un lieu touristique prisé. Depuis les années 1970, de nombreux artisans et artistes se sont installés dans les maisons anciennes autour de la place et alentours, attirant les touristes. Depuis le milieu des années 1990, ces artisans quittent leurs échoppes et la ville se désertifie. Dans ces mêmes années s'installait une association officielle d'Art contemporain : "Le Village, site d'expérimentation artistique"[43].
Lieux et monuments
La commune abrite trois monuments historiques :
- Château de la Ballue, XVIIe siècle, le bâtiment et ses jardins, recréés de 1973 à 1977 par François Hébert-Stevens et Paul Maymond, ont été inscrits monument historique par arrêté du 11 juin 1999[44].
- Une maison datée de 1604 et située sur la place de la Poterie est inscrite par arrêté du 4 janvier 1934[45].
- Une maison à encorbellement du XVIIe siècle, située rue de l’Église, est inscrite par arrêté du 11 octobre 1930[46].
Autres sites et monuments notables :
- Église prieurale Saint-Pierre-et-Saint-Paul[47],[48] (partiellement gothique). L'église a été entièrement remaniée entre 1844 et 1859 par l'architecte Anger de la Loriais, puis Arthur Regnault a construit un clocher supplémentaire entre 1882 et 1885[48]. Vitrail de 1674 classé le 25 octobre 1919[49].
- Orgue de chœur de 1889 de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul des facteurs d'orgues Debierre Louis et Beuchet Joseph[50],[51].
- La maison des Pendus à une façade de pierre restaurée[52]. Elle conserve dix têtes d'hommes et de femmes sculptées aux expressions diverses comme des grimaces ou autres expressions pouvant narguer les passant les remarquant.
- Menhir (pierre dressée) en bordure de la route menant à Cuguen. Il date du Néolithique (2000 à 5 000 ans av. J.-C.)[53].
- Forêt de Villecartier.
- Étang de Villecartier, un des étangs mésotrophes initiaux d'Ille-et-Vilaine[54]
- Les nombreux fours à pain (plus de 100 dans la commune)[55] et le tout nouveau four à pain bâti à l'ancienne au cœur même du village en 2008[56].
- Les maisons, fermes, le manoir XVIIe siècle, les croix monumentales, l'oratoire Saint-Mathurin[57], la chapelle de la-Trinité, la chapelle funéraire-chapelle de cimetière... ont fait l'objet d'une étude générale par le service régional de l'inventaire[58].
- Tombe d'Alexandre Miniac[59].
- Rocher du Gros Chêne dit « pierre du Sacrifice »[60]. Il existe de nombreuses hypothèses sur le rocher, il s'agirait d'une pierre de sacrifice. La pierre fait objet de légendes et de superstitions. Certaines victimes y auraient été égorgées.
- Borne milliaire. Elle est d'époque gallo-romaine, elle est en granite d'environ 160 cm de haut[61]. Dans l'ancien temps, les bornes milliaires étaient placées au centre d'un carrefour où convergeaient sept chemins. Dans la région il en reste peu.
- La Vierge à l'Enfant. Elle a été créée au XIXe siècle. Elle est en bronze et argent. Elle porte son fils à droite[62].
- Labyrinthe. Une pierre a été retrouvée de ce labyrinthe datant du Moyen Âge. La pierre est en granite. Initialement, elle était placée au centre du labyrinthe dans une grande spirale de 2,60 m. Le symbole d'origine gravé sur le pierre est de style païen. Actuellement, elle est placée à côté de l'église gothique.
- Le portail de Martigné, porte fortifiée par des tours qui datent du XVe siècle, restauré par une association de protection du patrimoine.
- L'église priorale Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
- Maison ancienne, place de la Poterie.
- Maison ancienne, rue de l'église.
- Intérieur bazougeais du 8 place de la mairie, aquarelle d'Alexandre Miniac.
- La rue de l'église,aquarelle d'Alexandre Miniac
- Catiole bazougeaise des années 1850, ayant appartenu à Alexandrine Ory (1821-1897).
- Pistolets du commis-voyageur bazougeais Alexandre Desmonts (1824-1871) pour se défendre du brigandage et des loups en forêt de Villecartier.
- Carte d'alimentation de l'après-guerre à Bazouges-la-Pérouse.
Personnalités liées à la commune
- Comte Gilles de Ruellan, baron du Tiercent, marquis de la Ballue, vicomte de la Mezière, seigneur du Rocher-Portail et de Mothorin ( ? - 1627)
- Bienheureux Louis Laurent Gaultier, né le 17 mars 1717 à Bazouges-la-Pérouse, martyr des Carmes décédé le 2 septembre 1792 à Paris. Une plaque commémorative en marbre, datant du XIXe siècle, se trouve dans l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Bazouges-la-Pérouse.[63]
- Valentin Chevetel, médecin et indicateur sous la Révolution.
- Émile Romé (1888-1965), commissaire général de la marine.
- Alexandre Miniac (1885-1963), architecte à Albert (Somme) et urbaniste de la Reconstruction de Douai [64]. Il vécut régulièrement à Bazouges où il repose auprès de sa sœur Anne. Le Musée de la Chartreuse de Douai présente son plan d'aménagement de la ville de Douai dressé en 1948 avec Petit.
- Michel Bouts (1902-1993), écrivain, vielleux et pédagogue, installa en 1949 dans le Domaine de Bellevue son École du Gai Savoir, qui y fonctionna jusqu'en 1977.
- Angèle Vannier (1917-1980), la poétesse aveugle, a vécu à Bazouges-la-Pérouse.
- Adèle Denys (1899-2002), conteuse et romancière.
- Jean-Pierre Desthuilliers (né en 1939), poète et écrivain, fut de 1951 à 1953 pensionnaire à l’École du Gai Savoir
- Jean-Louis Dupré dit Loulou Picasso (né en 1954), peintre, fondateur du groupe Bazooka
- Famille Delafosse. Elle a donné plusieurs maires à la commune, des députés et est une des familles bienfaitrice, elle est à l'origine de la construction de l'hôpital sur un terrain offert par elle ou de l'école des filles Sainte-Anne avec un bâtiment offert par la famille[réf. nécessaire].
- Statue du bienheureux Louis Laurent Gaultier en l'église de Bazouges-la-Pérouse.
- Plaque commémorative du bienheureux Louis Laurent Gaultier en l'église de Bazouges-la-Pérouse.
Bibliographie
- Adèle Denys, Mémoires d'une centenaire « aout'fas » en pays gallo, 1999, Éditions Kérig, (ISBN 2-9514664-1-2) (texte en gallo et en français).
- Les Carnets d'une centenaire : Raphaël, mon frère / Adèle Denys, 4e couverture ; ill. Jean-François Miniac. Gévezé : Kérig, 2001, 94 p. (ISBN 978-2-9514664-2-5)
- Isabelle Huchet, Le marquis va-nu-pied, 2004, Éditions Lattès, (ISBN 270962608X)
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Bazouges-la-Parouse, Château de la Motte et ses deux tours en ruines, p. 117
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site municipal
- Bazouges-la-Pérouse sur le site de l'office de tourisme
- Inventaire national du patrimoine naturel (INPN)
- Étymologie et histoire de Bazouges-la-Pérouse
Notes et références
Notes
- Population municipale 2018.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Pierre Cornillet, né en 1809 à La Fresnais.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : Bazouges-la-Pérouse sur le site de l'Institut géographique national (archive Wikiwix).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bazouges-la-Pérouse et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bazouges-la-Pérouse et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804), p. 323
- Abbaye Saint-Pierre de Rillé
- "Mémoire concernant la fabrique et le commerce des différentes toiles comprises dans le règlement du 22 may 1736 des toiles rayées et des coutil qui se fabriquent en Bretagne", Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, C 3929
- Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 397.
- Dubreuil, Fêtes..., p. 398-399.
- Dubreuil, Fêtes..., p. 406.
- Voir aussi : Bataille de la Vieuville ou combat du Rocher de Bouliers
- La forêt de Villecartier
- Colonne des chouans
- La chouannerie en pays gallo par Adolphe Orain Armor éditeur, Rennes 1977
- Gilbert Nicolas, "Instituteurs entre politique et religion", éditions Apogée, 1993, (ISBN 2-909275-11-6).
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k203766q/f538.image
- « Le maire Daniel Prévost se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Ils ont été élus maires hier soir », Ouest-France (éd. Rennes), no 19320, 22-23 mars 2008, p. 7 (ISSN 0999-2138).
- « Sans surprise, Pascal Hervé est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- https://www.lemonde.fr/bretagne/ille-et-vilaine,35/bazouges-la-perouse,35019/
- Les comptes de la commune de Bazouges-la-pérouse
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Riaux : le spécialiste de l'escalier qui monte, qui monte
- "Le village", site d'expérimentation artistique
- Notice no PA00090503, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090505, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090504, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Restauration de l'église. Le soutien de la Fondation du patrimoine
- Restauration de l'église
- Notice no IM35000709, base Palissy, ministère français de la Culture Verrière « scènes de la vie du Christ »
- Notice no PM35001024, base Palissy, ministère français de la Culture partie instrumentale de l'orgue de cœur, classée autitre des monuments historiques
- Notice no PM35000794, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue commandé à Louis Debierre en 1888 et inauguré le 25 février 1889
- Bazouges-la-Pérouse, Ville religieuse d'origine gallo-romaine et ville castrale
- « Menhir », notice no AP43LE06719, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 64.
- Petite promenade à Bazouges-la-Pérouse
- Inauguration du four à pain
- Oratoire de Saint-Mathurin
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Bretagne
- Bertrand Beyern, Guide des tombes d'hommes célèbres, Le Cherche-Midi, 2011.
- La pierre de Bazouges-la-Pérouse, Raconté par Grand-Mère Denys de Combourg, Audio de 1990 - Durée 5 minutes.
- Borne milliaire
- Vierge à l’enfant
- Le patrimoine des communes d'Ille-et-Vilaine, t. I, Paris, Flohic, , 893 p. (ISBN 2-84234-072-8), p. 47.
- http://www.aaism-lapro.com/semperfidelis/bulletin_06_19.pdf
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