Banize
Banize est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.
Banize | |||||
Le bourg de Banize. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Guéret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Creuse Sud-Ouest | ||||
Maire Mandat |
Luc Escoubeyrou 2020-2026 |
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Code postal | 23120 | ||||
Code commune | 23016 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Banizois, Banizoises | ||||
Population municipale |
184 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 55′ 55″ nord, 1° 59′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 471 m Max. 653 m |
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Superficie | 15,24 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Aubusson (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ahun | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Généralités
Dans la moitié sud du département de la Creuse, en Haute-Creuse, la commune de Banize s'étend sur 15,24 km2. Elle est bordée à l'ouest sur plus de deux kilomètres par le Thaurion et est arrosée par son affluent la Banize.
L'altitude minimale avec 471 mètres se trouve localisée à l'extrême ouest, au nord du lieu-dit le Meigneau, là où le Thaurion quitte la commune et entre sur celle de Chavanat. L'altitude maximale avec 653 mètres est située au nord-est, au puy de l'Arbre[1].
À l'intersection des routes départementales (RD) 10 et 16, le bourg de Banize est situé, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres à l'ouest d'Aubusson, la sous-préfecture, et vingt-huit kilomètres au sud-sud-est de Guéret, la préfecture.
Le territoire communal est également desservi par les RD 36 et 940, cette dernière marquant les limites nord et nord-est de la commune.
En provenance de la commune de Chavanat, le GR 4 traverse le territoire communal, passe dans le bourg de Banize et rejoint à l'est du bourg le GR 46 qui continue vers le sud et la commune de Vallière, passant au lieu-dit la Mouline. Au nord-est, sur trois kilomètres, un tronçon commun à ces deux chemins de randonnée passe au lieu-dit la Vallade.
Communes limitrophes
Banize est limitrophe de cinq autres communes.
Au nord-ouest, son territoire est distant de moins de 400 mètres de celui de Saint-Georges-la-Pouge.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vallières », sur la commune de Vallière, mise en service en 1999[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 205,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 59 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Banize est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aubusson, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,5 %), prairies (36,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), terres arables (3,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Banize est une commune de maçons-migrants essentiellement vers Paris et Lyon et leurs régions, dans la tradition des maçons de la Creuse (mouvement qui concernait au XIXe siècle 12 % de la population creusoise, et 17 % dans le canton de Saint-Sulpice-les-Champs dont faisait partie la commune), phénomène qui au cours des derniers siècles a façonné la physionomie actuelle du département et bien sûr de la commune. D'un côté, les simples ouvriers-maçons qui investissaient cependant le gain de leurs campagnes dans l'achat d'un lopin de terre pour s'installer et gagner ainsi leur indépendance. D'un autre côté, ceux plus ambitieux, voire opportunistes, qui sont devenus entrepreneurs en bâtiment, dont certains ayant pignon sur rue encore aujourd'hui. La politique de réforme de l'urbanisme du baron Haussmann et les reconstructions post-guerres mondiales leur ont été très favorables : des contemporains de Martin Nadaud, pour citer le plus célèbre d'entre eux, ont créé de véritables dynasties toujours très influentes dans les coulisses du pouvoir, tant la matière est cruciale. Terre ingrate et pauvre, la Creuse a atteint ses lettres de noblesse grâce à la maçonnerie qui est devenue une spécialité creusoise au cours des siècles. On peut parler de véritable ascenseur social, et Banize en est un exemple flagrant au travers des familles Despagnat, Georges, Mazet, Delavallade, Fiallon, Desgranges, Delouis, Chabanaud, etc.[Interprétation personnelle ?][21],[22]
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2018, la commune comptait 184 habitants[Note 6], en augmentation de 3,37 % par rapport à 2013 (Creuse : −2,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Sulpice : l'église du XIVe siècle de type « austère » au plan simple et chevet plat, dont l'intérieur est couvert de fresques médiévales. Dissimulées sous un badigeon blanc, leur mise au jour et leur restauration ont eu lieu en 2020 et 2021. Un autel en pierre au paravent recouvert de boiseries pour ne pas faillir à la mode en vogue au XVIIIe et XIXe siècles a également été dégagé. Elle a subi de très gros dégâts lors de la tempête de décembre 1999 qui ont occasionné d'importants travaux de restauration[réf. nécessaire]. L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 2007[27]. La châsse en émail champlevé classée au titre des monuments historiques depuis 1889 est en dépôt au musée de Guéret[28].
- La chapelle mortuaire de la place de Banize[29] : cette chapelle est celle de la famille Georges de Rebéry, hameau de Banize. Si comme en témoigne encore une petite tombe dans le fond de la place, à l'origine le cimetière entourait l'église jusqu'en 1905, comme cela était de mise partout en France jusqu'à une disposition de la fin du XVIIIe siècle qui les fit éloigner des centres-bourgs pour des raisons d'hygiène ; le terrain où est élevé cette chapelle appartenait quant à lui à ladite famille, laquelle a voulu l'édifice regardant leur propriété. Elle fit par la suite don de la parcelle, assorti d'une soulte en or à la commune de Banize, moyennant que la municipalité s'engage à créer une place arborée et à entretenir leur dernière demeure pour leur postérité.[réf. nécessaire]
- Le canon de Banize : la commune de Banize a la particularité de posséder sur sa place un canon de siège de calibre 120, fabriqué à Liège en 1892 pour l'Armée royale belge, pris par l'Armée allemande lors de l'invasion de la France via la Belgique et mis en batterie par celle-ci, puis abandonné sur les champs de batailles des Ardennes après l'armistice de la Première Guerre mondiale, pour être enfin offert par le président Gaston Doumergue en 1924 en ornement du monument aux morts de la guerre de 1914-1918, par l'intermédiaire de son ami Eugène Despagnat (1863-1925), entrepreneur en bâtiment à Paris, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics. C'est cependant tout à fait par hasard qu'il s'est retrouvé à côté de la chapelle de la famille Georges sur la place. En effet, à l'origine placé face à la mairie, à gauche du monument aux morts auquel il est lié, il fut caché en 1944 de la vue de l'aviation alliée dans le bois de Lamand, aujourd'hui disparu, lors des opérations de libération de la France, afin que celle-ci ne l'assimile pas à de la DCA lors des repérages aériens et ne bombarde pas le bourg de Banize par erreur. Il y reste près d'une trentaine d'années jusqu'à ce qu'un régiment en manœuvre le pensant abandonné ne tente de se l'approprier vers 1973. C'est alors qu'à la suite de cet épisode, l'agriculteur du hameau de Lamant, désireux de défricher l'endroit en profita pour le déménager et, les roues étant en très mauvais état d'une part, et ne sachant qu'en faire d'autre part, le déposa sur la place du village à côté de la chapelle. Depuis le centenaire de l'armistice de la Première Guerre mondiale, il a retrouvé sa place originelle à gauche du monument aux morts face à la mairie.[réf. nécessaire] Seuls trois autres canons de ce type existent encore de par le monde : deux en Belgique, et un en Roumanie.
- L'église Saint-Sulpice.
- Son portail.
- La chapelle funéraire.
- Le canon.
- Le monument aux morts.
- Carte postale du village vers 1910.
Personnalités liées à la commune
- Joseph Delavallade (1792-1880), né à Banize, résident au hameau du Mas, est un médecin et un homme politique qui s'opposa à la politique du prince-président[30].
- Eugène Despagnat, né à Meizoux, hameau de Banize, le et décédé à Paris en 1925, entrepreneur en bâtiment à Paris, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics (FNBTP) de 1921 à 1925, mandat pendant lequel il sera à l'origine, de l'Office du BTP pour favoriser la reconstruction des régions dévastées par la guerre du nord-est[Quoi ?], de la Banque corporative du BTP, émanation des chambres syndicales de Paris et du département de la Seine, de l'Union technique du BTP, ainsi que de la Société corporative d'hygiène et de sécurité destinée à lutter contre les accidents du travail. Il est aussi un des pères-fondateurs de l'École nationale des métiers du bâtiment de Felletin. Il fit bâtir comme résidence un manoir style anglais fin XIXe siècle à Meizoux, commune de Banize, assorti d'un cloître dédié à son épouse, extrêmement pieuse.[réf. nécessaire]
- Victor Despagnat, né à Paris (XVIIe) le et décédé à Meizoux, hameau de Banize, le , frère du précédent, artiste-peintre impressionniste[réf. nécessaire], élève de Tony Robert-Fleury (Académie Julian) et Jules Lefebvre, à qui l'on doit diverses œuvres, dont un tableau de 1897 dans l'église Saint-Sulpice de Banize intitulé « Les disciples de saint Jean-Baptiste ou l'Invention du chef de saint Jean-Baptiste et sa translation à Constantinople », classée au titre des monuments historiques en 2006[31].
- Auguste Despagnat, dit Jules Despagnat, né le à Paris (XVe) et décédé à Paris en 1942, issu d'une lignée distincte de la famille Despagnat de Meizoux, entrepreneur en bâtiment à Paris, membre de la Chambre syndicale des entrepreneurs de maçonnerie en 1894, en devient vice-président en 1931 au moment où elle crée la Chambre d'apprentissage de la maçonnerie du béton armé et fournisseurs de matériaux de la région parisienne, et président de la nouvelle commission d'apprentissage de la chambre syndicale. Il est aussi un des pères-fondateurs de l'École nationale des métiers du bâtiment de Felletin, première du genre, inaugurée en 1911, financée par des fonds des organismes paritaires. Il était originaire de Lascaux, hameau de Banize, où d'ailleurs il résidait régulièrement.[réf. nécessaire]
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Banize sur le site de l'Institut géographique national
- Banize sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Puy de l'Arbre » sur Géoportail (consulté le 18 septembre 2018)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vallières - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Banize et Vallière », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vallières - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Banize et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Archives communales et minutes notariales de Banize
- Étude sur les migrations réalisées à partir des archives de Banize (minutes notariales).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Église Saint-Sulpice », notice no PA00100003, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 septembre 2018.
- « châsse dite de saint Sulpice », notice no PM23000102, base Palissy, ministère français de la Culture depuis 1925, consultée le 18 septembre 2018.
- Archives communales de Banize.
- Archives communales de Banize, archives départementales de la Creuse et archives de la Société archéologique de la Creuse.
- « tableau et cadre : les Disciples de saint Jean-Baptiste, ou l'Invention du chef de saint Jean-Baptiste et sa translation à Constantinople », notice no PM23000383, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 18 septembre 2018.
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