Astronomie mégalithique

L'astronomie mégalithique est la représentation architecturale des calendriers solaires, solstices, équinoxes et événements astraux dans l'agencement des sites mégalithiques. Un mégalithe est constitué d’une ou plusieurs pierres de grandes dimensions, érigées sans l’aide de mortier ni de ciment pour fixer la structure.

Solstice à Stonehenge.

Les lignes remarquables des édifices (portes, alignements...) se confondent avec les évènements astronomiques remarquables.

De très nombreux grands sites archéologiques du monde entier représentent des phénomènes solaires comme les équinoxes et les solstices[1] :

La mesure du temps revêt une importance capitale dans l'histoire de l'humanité[évasif][2].

Les archéologues leur attribuent le nom d'observatoire astronomique, d'horloge agricole, de calendrier astral selon les analyses et hypothèses émises sur les sites[3].

Dates

Les dates des solstices et équinoxes sont données dans les éphémérides.

L'Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides édite avec précision les dates des deux phénomènes astronomiques.

Le solstice de juin (passage à l'été dans l'hémisphère nord, à l'hiver dans l'hémisphère sud) se produit autour du 21 juin alors que celui de décembre (hiver dans l'hémisphère nord, été dans le sud) autour du 21 décembre.

L'équinoxe de mars (passage au printemps dans l'hémisphère nord, à l'automne dans l'hémisphère sud) se produit autour du 20 mars et celui de septembre (automne dans l'hémisphère nord, printemps dans le sud) autour du 22 septembre.

Calendrier astronomique et relation avec l'agriculture

Calendrier Aztèque

La représentation du temps, des saisons dans les sites mégalithiques avait pour objectif, selon de nombreux archéologues, de servir d'horloge agricole[4].

Les calendriers solaires permettent de déterminer avec une certaine précision le rythme des saisons et le temps qui passe.

Le calendrier aztèque fournit un bon exemple d'utilisation à des fins agricoles rythmée par les saisons.

L'ingénieur Alexander Thom effectua des recherches sur la relation entre les orientations des monuments mégalithiques anglo-saxons et leur utilisation comme calendrier[5].

Recherches

Membres de la Société préhistorique française

Le préhistorien Marcel Baudouin a fait remarquer dans ses études que bien souvent la pierre de fond des dolmens à grand axes rectiligne de Vendée, était alignée sur le lever du solstice d'hiver[6].

Le capitaine de Frégate Alfred Devoir contribue pour le compte de la société préhistorique française en 1916 sur le thème : l'Architecture mégalithique bretonne et les observations solaires[7].

Dans son livre Les mégalithes, ésotérisme et réalité, paru en 1997, le préhistorien Jacques Briard rappelle que « les premières fouilles scientifiques confirmèrent le rôle de tombeaux pour les dolmens et [que] les premières assises sérieuses d'une astronomie mégalithique vinrent s'appliquer aux alignements »[8].

Archéoastronomes ou paléoastronomes

Alexander Thom semble avoir ouvert le principe de recherche de l'archéoastronomie. L'archéoastronomie propose une méthodologie basée sur les orientations astronomiques des mégalithes. L'astronome et archéologue britannique Clive L.N. Ruggles enseigna cette science à l' Université de Leicester.

Ethnoastronomes

L'astrophysisienne belge Yaël Nazé propose un ouvrage sur l'ethnoastronomie et s'interroge sur l'héritage astronomique laissé par nos anciens[9].

Méthodologie

Clive L.N. Ruggles propose pour l'étude de l'archéoastronomie, une méthodologie travaillant sur trois preuves à mettre en évidence : l'orientation structurelles des sites, les effets d'ombre et de lumière et le nombre de symboles[10].

L'astronome britannique Sir Joseph Norman Lockyer proposa une méthodologie pour vérifier les orientations des sites mégalithiques[11]. Il mis en évidence que de nombreux monuments mégalithiques avaient une orientation Est-Ouest. Il établit entre autres l'orientation de Hell Stone de Stonehenge au lever su soleil du solstice d'été[12].

La datation des mégalithes peut se faire par typochronologie[13].

La limite de datation par le carbone 14 ne peut s'appliquer aux minéraux. Les archéologues et préhistoriens utilisent d'autres méthodes pour dater les mégalithes. Ils peuvent dater par regroupement d 'informations en utilisant par exemple les restes de matière végétale ou animale autour du site ( ossements etc..)

Liste de sites mégalithiques à usage astronomique

Allemagne

Qualifié d'observatoire astronomique par le Pr Wolfhard Schlosser de l’Université de la Ruhr à Bochum, le cercle de Goseck serait un temple du soleil utilisé à des fins agricoles. Le portail sud, marque le lever et le coucher héliaque aux solstices d’hiver et d’été.

Royaume-uni

Stonehenge fait l'objet de nombreuses théories auxquelles un article est dédié : Théories sur Stonehenge

Avebury est une construction mégalithique circulaire, l'ingénieur britannique Alan Butler émet l'hypothèse que de par sa géométrie à 360 degrés, il pourrait y avoir une correspondance avec les méridiens.

En Cornouailles, lors de l'équinoxe d'automne, le soleil s'aligne sur les deux menhirs et l'ombre portée passe au centre de la pierre percée à Mên-an-Tol [14].

Située sur l'île principale (Mainland) des Orcades, l'axe du tunnel d 'entée du tumulus de Maeshowe en Ecosse est aligné avec le solstice d'hiver. Le cercle de Brodgar présente des interrogations sur une relation entre le solstice d'hiver et la position du cromlech. le Watchstone serait un marqueur pour suivre l'évolution du soleil sur le site des pierres levées de Stenness[15].

Espagne

Le dolmen de Soto proche de la commune de Trigueros dispose d'une entrée orientée à l'est. Les rayons au lever du soleil de l'équinoxe illuminent le couloir[16].

Bretagne
  • Alignement Grand Menhir et dolmen de la Table des Marchands à Locmariquer : l'ombre du menhir au coucher du soleil venait frôler l'entrée du dolmen au solstice d'hiver.
  • L'alignement du Ménec à Carnac est consideré comme un calendrier à ciel ouvert[17]
  • L'orientation des axes des couloirs des deux dolmens du Tumulus de Dissignac a été calculé pour observer le lever du soleil au solstice d'hiver[17]
  • Jacques Briard émet l'hypothèse que le tumulus du Château Bû serait les vestiges d'un ancien monument astronomique[17]
  • L'ensemble des deux menhirs de Kergadiou (celui debout et celui couché) proche du site du Menhir de Kerloas formerait un système de visée astronomique[17]
  • L'archéologue Michel Le Goffic a confirmé en 1988 le rôle astronomique du cromlec'h du site mégalithique Pen-ar-lan en forme d'oeuf, sur la commune de l'île d'Ouessant[17].
Pays de la Loire

Les études du docteur Marcel Baudouin révèlent que le lever du soleil lors du solstice d'hiver est aligné face à l'entrée du Dolmen de la Frébouchère[18],[11].

Irlande

Lors du solstice d'hiver dans le Comté de Meath, les rayons du soleil pénètrent directement la chambre centrale du tumulus de Newgrange.

L'entrée du cercle de Grange Stone Circle est aligné avec le soleil levant du solstice d'été.

Loughcrew dans le conté de Meath, est connu pour l'illumination des pierres gravées au fond de son couloir principal lors du lever de soleil des équinoxes[19].

Portugal

Dans la campagne de l'Alentejo, des hypothèses par Paolo Pereira sur le positionnement du soleil couchant lors des équinoxes laisserait à penser que le site de cromlech des Almendres serait un observatoire du mouvement des astres[20].

Suède

Traditionnellement, le site des Ale Stenar ou Ales Stenar (« les pierres d'Ale » ou « d'Ales »), au bord de la Baltique occidentale, était la tombe du roi légendaire Ale, avec ses 59 menhirs dressés en forme de nef sur un promontoire. Selon le chercheur amateur Bob G. Lind, il s'agirait d'une sorte d'horloge solaire géante néolithique : aux solstices d'hiver et d'été, le soleil serait aligné avec la proue et la poupe de la nef, ce qui permettrait de déterminer le mois de l'année en fonction de la pierre sur laquelle le soleil se lève[21],[22].

Les datations au radiocarbone effectuées par les archéologues du monument donnent comme période de construction l'époque des Vikings, ce qui invalide la datation et les spéculations de Bob Lind, lesquelles reposent par ailleurs sur des éléments indirects, en l'occurrence la mythologie nordique et le rapport entre l'alignement des Ales Stenar et le phénomène astronomique annuel lié au soleil[23].

Malte

la pierre Tal-Qadi est une dalle brisée de calcaire globigerina de la plaine de la baie de Salina au nord-est de Malte. Il s'agit d'une représentation d'un calendrier lunaire datant de plus de 5000 ans. La pierre est exposée au musée d'archéologie de La Valette[24].

Afrique du Sud

L'un des plus anciens sites mégalithiques au monde, vieux de 75 000 ans, le cercle de Mpumalanga (Calendrier d'Adam), sur le site archéologique de Kathu en Afrique du Sud, représente un calendrier astral indiquant les solstices et les pleines lunes de chaque mois sur les axes cardinaux [25],[26].

Égypte

Le cercle du site désertique Napta Playa, en Égypte, donnerait par ses indications sur la ligne d'alignement nord-est la position du lever du soleil au solstice d'été, marquant par ailleurs le début de la saison des pluies dans le désert.

Kenya

Le site mégalithique de Kalokol, est un site archéologique situé sur la rive ouest du lac Turkana au Kenya. Les archéologues Mark Lynch et L.H. Robbins décrivent le site de Kalokol en 1978 et pensent que les pierres érigées en basalte sont en lien avec les étoiles et le calendrier lunaire de douze mois.

Guatemala

Les ruines du Uaxatún à Tikal sont alignées sur les solstices d'été et d'hiver[27].

Pérou

  • Sur le site de Moray, l'archéologue John Earls révèle que les pierres verticales sur les terrasses marquent les limites des ombres des équinoxes et solstices[4].
  • La pierre Intiwatana (Intihuatana) sculptée par les incas servait au calcul des équinoxes et des solstices sur le site du Machu Pichu[1].Les coins de la pierre representent les cardinaux et lors du lever du soleil en solstice d hiver la lumière du soleil va se projeter et former un triangle de lumières illuminant deux cercles concentriques.
  • La porte du soleil de Tiwanaku est un portail d'une largeur de 4 mètres et d'une hauteur de 3 mètres construit dans un seul bloc d'andésite d'environ 10 tonnes[28]. Il faisait partie d'une construction plus importante située au sommet de la pyramide d'Akapana ou dans l'enclos dit Kalasasaya, sites où l'on retrouve des constructions constituées du même type de pierre. Au moment de sa découverte par des explorateurs européens au milieu du XIXe siècle, le mégalithe gisait au sol, à l'horizontale, traversé d'une grande fissure. Aujourd'hui, il se dresse toujours à l'endroit où on l'a trouvé mais on pense qu'il ne s'agit pas du site primitif[29].

Arménie

Zorats Karer serait un observatoire et lieu de culte du soleil.

Turquie

Des archéoastronomes anglo-saxons cherchent à soutenir[Quoi ?] l'hypothèse d'un alignement astronomique en direction du sud et de l'étoile Sirius sur le site de Göbekli Tepe.

Océanie

Les moaïs de l'île de Pâques, sur le site de Ahu Akivi, font face au coucher de soleil lors de l'équinoxe de printemps. Les quinze moaïs de Ahu Tongariki, quant à eux, se tournent vers les solstices[30].

Haʻamonga ʻa Maui, aux Tonga, est probablement un calendrier solaire[31]. Le site Nan Madol, en Micronésie, est orienté selon le solstice d'été[32].

En Australie, le site de Wurdi Youang (en) représente un alignement de pierres en forme d'œuf dont la médiane est aligné avec l'équinoxe et les deux grands cotés forment un angle aligné sur les deux solstices[33],[34],[3].

Le plateau d'Atituiti Ruga, au sud de l'île de Mangareva (Polynésie française), est une plateforme d'observation pour les solstices[35].

Classement chronologique

Datation Pays Nom du site particularité orientation Photo
75 000 Afrique du Sud Cercle de Mpumalanga
12 500 Australie Yurdi Youang Forme d'œuf
5 000 Angleterre Avebury grand cercle de pierre
4 000 Angleterre Stonehenge Grands cercle

Festivités

Dans de nombreuses cultures sur tous les continents sont célébrées des fêtes religieuses ou païenes autour de ces deux évènements astronomiques.

Références

  1. « Solstices et équinoxes expliqués aux enfants », sur Les Petits Aventuriers, (consulté le )
  2. « Les solstices encodés dans les sites anciens », sur www.blueman.name (consulté le )
  3. (en) Hamish Fitzsimmons, « Ancient Aboriginal site dubbed 'Australia's Stonehenge' could be world's oldest observatory », sur ABC News, (consulté le )
  4. stevenish, « Le site Inca de Moray, ancien centre de recherche agronomique », sur information en formation, (consulté le )
  5. (en) Alexander Thom, Megalithic Sites in Britain, Oxford, OUP,
  6. Marcel Baudouin, Mémoires de la Société Préhistorique Française, Paris, Paris V, (lire en ligne), p. 19.
  7. « CTHS - DEVOIR Alfred », sur cths.fr (consulté le ).
  8. Jacques Briard, Les mégalithes, esotérisme et realité, Gisserot, (lire en ligne), p. 4.
  9. Jérémy Royaux, « Conférences de Yael Nazé (astrophysique) », sur Comité Para, (consulté le )
  10. (en) Clive L. N. Ruggles, « Best Practice for Evaluating the Astronomical Significance of Archaeological Sites », dans Handbook of Archaeoastronomy and Ethnoastronomy, Springer New York, (ISBN 9781461461418, DOI 10.1007/978-1-4614-6141-8_25, lire en ligne), p. 373–388
  11. laurent Lescop, Le soleil et la pierre, (lire en ligne)
  12. (en) « Norman Lockyer », dans Wikipedia, (lire en ligne)
  13. « Rencontre autour de la typochronologie des tombes à inhumations », sur Groupe d'Anthropologie et d'Archéologie Funéraire (consulté le )
  14. (en) Gerald Massey, A Book of the Beginnings, Cosimo, Inc., , 516 p. (ISBN 978-1-60206-829-2, présentation en ligne)
  15. « Orkneyjar - The Watchstone, Stenness », sur www.orkneyjar.com (consulté le )
  16. « El Dolmen de Soto », sur www.dolmendesoto.org (consulté le )
  17. Jacques Briard, Dolmens et menhirs de Bretagne, Jean-Paul Gisserot, , 63 p.
  18. Dr Marcel Baudouin, Le paléolithique inférieur et moyen de la Vendée, Société préhistorique de France, , 76 p. (lire en ligne)
  19. « Equinox Sunrise Illumination - Loughcrew Cairn T », sur www.knowth.com (consulté le )
  20. « STONEHENGE VERSION PORTUGAISE. Dans le cercle des menhirs de l'Alentejo », sur Courrier international, (consulté le )
  21. « ALES STENAR », sur www.alesstenar.com (consulté le ).
  22. Matthieu Grimpret, Les Sanctuaires du monde, Groupe Robert Laffont, 2014, 1092 pages, article « Ales Stenar (Suède ; Vik) ».
  23. (en) Andrew M. Kobos, Ales Stenar. When? Who? What for?, 28 mars 2010 : « The present positions of the Ales Stenar boulders are not fully authentic, i.e. most stones differ in position from the original ones. In the early 1900s many stones fell to the ground. Some restoring works were in order. [...] In the recent years, two persons from outside the scientific community, Gunnel Gavin of Vancouver, BC, Canada and Bob Lind of Malmö, Sweden, have independently forwarded hypotheses that the Ales Stenar formation served both as a Neolithic stone calendar and a Neolithic sun-clock. / Bob Lind has publicized his speculations based only on the circumstantial evidence, i.e. the Nordic mythology and the relation between the Ales Stenar alignment and the yearly astronomical phenomena involving the Sun. / In brief, based on the pattern of the carved cupules on one stone (N1) that resembles the pattern of the Cygnus (Swan) star constellation, as well as on the Greek and Nordic mythologies, Lind deduced the date of raising the Ales Stenar formation at 700 - 400 BCE. He calls the Ales Stenar the "Sun's ship" or the "Sun god ship". According to Lind, the hollow prominent in the upper part of the bow M1 boulder's front face represents the Sun, while the four circular hollows at the top of the S7 stone symbolize the alignment of the Ale "ship" in respect to the sunrise and sunset on the summer and winter Solstice days (four events together). ».
  24. (de) « Die neolithische Sternkarte von Tal-Qadi auf Malta », sur Archäologie Online (consulté le )
  25. « Afrique du Sud : des outils de 700000 ans, des cités de 200000 à 11500 ans », sur www.sciences-faits-histoires.com (consulté le )
  26. (en) Bryan Hill, « Adam’s Calendar: Oldest Megalithic Site in the World? », sur www.ancient-origins.net (consulté le ).
  27. « L’astronomie Maya : les secrets du calendrier maya », sur Guatemala Planet, (consulté le )
  28. Fernando Cajías de la Vega, [ La enseñanza de la historia : Bolivia, Convenio Andrés Bello, 1999, p.44.
  29. (en) Alan Kolata, [https://www.amazon.com/Tiwanaku-Portrait-Civilization-Peoples-America/dp/1557861838%7C The Tiwanaku: Portrait of an Andean Civilization, Wiley-Blackwell, December 15, 1993.
  30. « Ahu Tongariki », sur Imagina Île de Pâques (consulté le )
  31. Elise Huffer, Grands hommes et petites îles : La politique extérieure de Fidji, de Tonga et du Vanuatu, Paris, Orstom, , 305 p. (ISBN 978-2-7099-1125-2, notice BnF no FRBNF35648271), chap. II (« Tonga : L'empire devient royaume »), p. 29.
  32. (en) César Esteban, « Orientations and Astronomy in Prehistoric Monumental Tombs of Nan Madol (Pohnpei, Micronesia) », Studies in Global Archaeology, no 20, (lire en ligne, consulté le )
  33. « Rock of ages in state’s southwest », sur quarrymagazine.com (consulté le )
  34. Indigenous Astronomy Blog, « Australian Indigenous Astronomy: Wurdi Youang - an Aboriginal stone arrangement with possible solar alignments », sur Australian Indigenous Astronomy, (consulté le )
  35. (en) Clives Ruggles et Michel Cotte, Heritage Sites of Astronomy and Archaeoastronomy in the context of the UNESCO World Heritage Convention, , 272 p. (lire en ligne), p. 74

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • (en) http://www.tivas.org.uk/stonehenge/stone_ast.html (ce site fait aussi une étude astro-archéologique de Stonehenge, avec l'analyse des structures de Stonehenge liées aux levers et couchers du Soleil et de la Lune, aux solstices et aux équinoxes et aussi relatives aux éclipses de soleil et de lune).
  • (en) Frank Prendergast, « Interpreting Megalithic Tomb Orientations and Siting Within Broader Cultural Contexts », Dublin Institut of Technology, , p. 25 (DOI 10.1088/1742-6596/685/1/012004, lire en ligne).
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