Arzon

Arzon [aʁzɔ̃] est une commune du département du Morbihan, dans la région Bretagne, en France.

Pour les articles homonymes, voir Arzon (homonymie).

Arzon

La plage de Port-Navalo à Arzon.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération
Maire
Mandat
Roland Tabart
2020-2026
Code postal 56640
Code commune 56005
Démographie
Gentilé Arzonais
Population
municipale
2 131 hab. (2018 )
Densité 239 hab./km2
Population
agglomération
12 712 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 32′ 55″ nord, 2° 53′ 25″ ouest
Altitude 12 m
Min. 0 m
Max. 36 m
Superficie 8,93 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Arzon
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Séné
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Arzon
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Arzon
Géolocalisation sur la carte : France
Arzon
Géolocalisation sur la carte : France
Arzon
Liens
Site web www.arzon.fr

    Géographie

    Située à l'extrémité de la presqu'île de Rhuys, elle est bordée au nord par le golfe du Morbihan, au sud par la baie de Quiberon, partie occidentale de Mor braz, et à l'est par la commune de Saint-Gildas-de-Rhuys.

    Arzon fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.

    Arzon est la commune de Bretagne ayant le plus fort taux de résidences secondaires (79,7 %) en 2018 selon l'INSEE.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 784 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Larmor-Baden », sur la commune de Larmor-Baden, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 868,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] à 12,4 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Arzon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arzon, une unité urbaine monocommunale[16] de 2 073 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (41,6 %), zones agricoles hétérogènes (38,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), eaux maritimes (4,3 %), terres arables (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,5 %), zones humides côtières (1,2 %), prairies (0,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Attestations anciennes[26].


    • Ardon in Rowis en 836[27] ;
    • Ardon Rouuis en 878 et 1026 ;
    • Arzon en 1387 ;
    • Arzou et Darzon en 1630 ;
    • le Bourg d'Arzon en 1827 ;
    • Locmaria d'Arzon au XIXe et XXe siècles.

    La forme bretonne correcte de la commune est Arzon-Rewizh, dérivé de Ardon in Rowis signifiant Arzon en Rhuys selon le cartulaire de Redon qui mentionne le nom de la paroisse en 836[28].

    L'étymologie du toponyme Arzon est discutée (grammatici certant). Il pourrait provenir d'une déformation de l'appellation latine A redonensense, dépendance de Redon. Mais en langue celtique arz signifie barrière ou extrémité, la situation de la commune à l'extrémité de la presqu'île rendant crédible l'hypothèse de cette étymologie celtique[29]. Pour le linguiste Hervé Abalain, le toponyme vient du gaulois are, « devant, près de », et dunum, « colline, forteresse ou enceinte fortifiée » ; selon l'historien Erwan Vallerie, il pourrait s'agir d'un hagionyme comme pour Arradon (« la colline d'Ara »)[30].

    Histoire

    Protohistoire et Antiquité

    L'existence de populations dans la région est attestée dès le Néolithique, comme le suggèrent le tumulus de Tumiac et le cairn du Petit-Mont qui se trouvent sur le territoire de la commune d'Arzon.

    Une hache à talon-marteau en fer, datée vers 500 après J.-C. a été trouvée dans l'enceinte rectangulaire de Bilgroix, dite aussi Dolmen de la pointe de Bilgroix à Arzon[31].

    Moyen Âge

    Le moulin à marée de Pen Castel, cité en 1186, est le deuxième plus ancien moulin à marée connu en Bretagne, après celui du Lupin, au fond du Havre de Rothéneuf en Saint-Coulomb [32].

    Le XXe siècle

    De 1910 à 1947, la commune est desservie (gares d'Arzon et de Port-Navalo) par le trafic ferroviaire de la Ligne de Surzur à Port-Navalo des chemins de fer du Morbihan[33]. La gare du terminus était située à proximité de Port-blanc. Il subsiste toujours un bâtiment. La plateforme de la voie, débarrassée des rails, est affectée à la circulation routière sur plusieurs portions du trajet. Sur la partie finale la ligne passait aux abords du tumulus de Tumiac, et de Bernon par Arzon pour se diriger vers son terminus à travers la lande.

    Le XXIe siècle

    Le , à la suite du démantèlement de la jungle de Calais, Arzon accepte d'accueillir 12 migrants mineurs originaire d'Afrique de l'Est[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1946 Joseph Le Blouch   Cultivateur
    1946 1955 Joseph Couëdel   Professeur
    1955 1965 Joseph Mahebeze   Capitaine de la marine marchande
    1965 1971 François Nicol   Chef mécanicien de la marine marchande
    1971 1977 Louis Lecoq   Pharmacien
    1977 1983 Yves Bouche    
    1983 1986 Yves Chapron    
    1986 2001 Paul Nungesser    
    2001 2008 Monique Loze    
    2008 2014 Gérard Labove DVD Directeur d'agence bancaire retraité
    2014
    Réélu en 2020[35]
    En cours Roland Tabart DVD Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants d'Arzon se nomment les Arzonnais et Arzonnaises. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 2 131 habitants[Note 5], en augmentation de 1,09 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6471 7681 9902 0112 2102 2832 3692 3022 377
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3242 2902 4322 3422 2702 2462 2412 0581 924
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8571 7521 6331 4361 5091 5501 4511 6001 369
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 3871 3081 3261 4761 7542 0562 1732 1122 095
    2018 - - - - - - - -
    2 131--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Arzon est en 2017, après Larmor-Baden, la commune de Bretagne où les retraités ont le niveau de vie le plus élevé (revenu imposable de 33 726 euros par ménage)[40].

    Manifestations culturelles et festivités

    Les Grandes Régates de Port-Navalo : grande fête maritime ou engins de voile légère, croiseurs, monotypes et voiliers traditionnels se mesurent dans le Golfe pendant un week-end de juillet.

    La prépondérance du tourisme

    La commune comporte deux stations balnéaires de caractères très différents :

    • Port-Navalo (Porzh Noalou), datant du début du XXe siècle ;
    • Le Crouesty (Ar C'hroesti), station balnéaire moderne, en développement constant depuis sa création en 1973 et jusqu'à aujourd'hui, construite autour du plus grand port de plaisance de la côte bretonne.
    • Plusieurs petits hameaux parsèment aussi la commune : Monteno, Kerners, Béninze, Tumiac, Kerjouanno.

    Arzon a en 2020 un taux de résidences secondaires de 79,5 % et prend des allures de ville fantôme en dehors de la saison touristique. Un pic de 45 000 touristes est enregistré en 2019 alors que la commune a environ 2 000 habitants permanents. Le coût élevé du m² habitable des appartements (3 740 euros contre 2 410 euros en moyenne dans le Morbihan) rend difficile l'accès à la propriété pour les autochtones, notamment les jeunes actifs[41].

    Économie

    En septembre 2014, le Miramar La Cigale, un complexe de thalassothérapie 4 étoiles, est racheté par l'émir du Qatar[42]. Intégralement rénové en 2015, il décroche cinq étoiles et est en 2020 le plus important employeur de la commune avec 147 salariés en CDI et un chiffre d'affaires annuel de près de 10 millions d'euros[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux

    Monuments

    Personnalités liées à la commune

    • France-Marie Letourneur (1915-2011), artiste peintre et graveur née à Arzon. Ses meilleures toiles, auxquelles elle intègre parfois des matériaux tels que verre, cailloux, sable et ardoise[44], énoncent une vigueur expressionniste approchant celle du groupe Cobra. Elle fit partie de l'exposition De Bonnard à Baselitz, dix ans d'enrichissements du Cabinet des estampes en 1992 à Paris et exposa également à la Galerie Robert Duncan, rue de Seine à Paris. Par son mariage avec le peintre Raymond-René Bloch, elle était la belle-sœur du comédien Robert Manuel[45].

    Héraldique

    Les armoiries de Arzon se blasonnent ainsi :

    D’or à la proue de navire de gueules, sous voile d’argent chargée d’une moucheture d’hermine de sable, voguant sur une mer d’azur. Devise « Sourein ar mor » (« Souverain de la mer »).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. Texte de la plaque mémoriale : « Le , près de Port-Navalo, la mer rejette un cadavre ayant séjourné plus de deux mois dans l'eau et que personne ne peut reconnaître. C'est un homme d'une trentaine d'années... Sur le gilet et le pantalon, des boutons de cuivre avec ancres et canons. »

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Larmor-Baden - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Arzon et Larmor-Baden », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Larmor-Baden - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Arzon et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 d'Arzon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. « Résultats concernant « Bubry » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
    27. Le 30 août 836, Arzon (en Rhuys) est mentionné comme paroisse sous le nom de "Ardon" : "plebiculam quae nominatur Ardon in Rowis" (cartulaire de Redon, p. 357)
    28. Florence Largouët, « Bulletin municipal d'Arzon », Un peu d'histoire, no 7, , p. 12.
    29. Le patrimoine des communes du Morbihan, Éditions Flohic, , p. 949.
    30. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, ditions Jean-Paul Gisserot, , p. 54.
    31. Pierre-Roland Giot, L. Fleuriot, G. Bernier, B. Merdrignac et P. Guignon, "Les premiers bretons. La Bretagne du Ve siècle à l'an 1000", éditions Jos, 1988, (ISBN 2-85543-083-6).
    32. Gilles Pouliquen, "Moulins en Bretagne", éditions Coop Breizh, Spézet, 2005, (ISBN 2-84346-259-2).
    33. Yannic Rome, Grandes et petites histoires des tramways et petits trains du Morbihan, Le Faouët, Liv'Éditions, coll. « Mémoire du Morbihan », , 246 p. (ISBN 978-2-84497-070-1, notice BnF no FRBNF39972040), « Trois lignes complémentaires : Vannes-Port-Navalo », p. 124-130.
    34. « Des migrants mineurs accueillis en Bretagne », sur Ouest-France, .
    35. « Municipales à Arzon. Roland Tabart a été réélu maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Journal Le Télégramme de Brest et de l'Ouest, n° du 15 mars 2018.
    41. Quentin Raillard, « À Arzon, les résidences secondaires au cœur des municipales », sur letelegramme.fr, Le Télégramme, (consulté le ).
    42. Lionel Cabioch, « Le Qatar rachète le Miramar Crouesty », sur www.ouest-france.fr, .
    43. « Arzon. Des emplois à pourvoir », sur Ouest-France, .
    44. Emmanuel Bénézit: Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999. Voir tome 8 page 582.
    45. Françoise Woimant, Marie Cécile Miessner et Anne Moeglin-Delcroix: De Bonnard à Baselitz, Bibliothèque nationale, 1992. Sur France-Marie Letourneur, voir page 257.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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