Arzacq-Arraziguet
Arzacq-Arraziguet (en gascon Arzac) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Arraziguet et Arzacq.
Arzacq-Arraziguet | |||||
Les arcades de la place de la République. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Crabos 2020 - 2026 |
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Code postal | 64410 | ||||
Code commune | 64063 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arzacquois | ||||
Population municipale |
1 073 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 70 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 32′ 12″ nord, 0° 24′ 41″ ouest | ||||
Altitude | Min. 95 m Max. 238 m |
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Superficie | 15,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Artix et Pays de Soubestre | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.arzacq.com | ||||
Le gentilé est Arzaqués, francisé Arzacquois[1],[2].
Géographie
Localisation
La commune d'Arzacq-Arraziguet se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, et à 26 km d'Artix[5], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet[3]
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Vignes (1,1 km), Poursiugues-Boucoue (3,2 km), Méracq (3,6 km), Poursiugues-Boucoue (3,6 km), Coublucq (3,9 km), Philondenx (4,0 km), Cabidos (4,2 km), Mialos (4,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Arzacq-Arraziguet fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[7].
Accès
La commune est desservie par les routes départementales D 944 et D 946 ainsi que par les D 32 et D 264.
Deux lignes de bus la relient à Pau (Citram et Marette)[9].
Paysages
Arzacq-Arraziguet vue 1.JPG|right|La place de la République.
Lieux-dits et hameaux
- l'Abattoir[8]
- Barot[8]
- Borde[8]
- La Borde[8]
- Brioulou[8]
- Castéra[8]
- Castetber[10],[8]
- Chatou[8]
- Collongues[8]
- Couillet[8]
- Coutet[8]
- Cruhot[11],[8]
- Cussou[8]
- Gaillat[8]
- Gariman[8]
- Gibardéou[12],[8]
- Glesia[13]
- Gouaillard[8]
- Higuères[8]
- Hournas[8]
- Jouanlanne[8]
- Labère[14],[8]
- Labus[8]
- Lacoste[8]
- Lafitte (deux lieux-dits)[8]
- Lafounta[8]
- Lafume[8]
- Lahon[8]
- Lanot[8]
- Larribaou[8]
- Lasterrières[8]
- Laulhé[8]
- Lhamounet[8]
- Licorne[8]
- Loué[8]
- Loustalet[8]
- Massou[8]
- Millet[8]
- Nabailh[8]
- Naude[8]
- Ninot[8]
- Piarrot[8]
- Pifre[8]
- Pigat[8]
- Pountet[8]
- Pouy[8]
- Rouquet[8]
- Roux[8]
- Salles[15]
- Sicut[8]
- Sobole[8]
- Ten[8]
- Tristan[16],[8]
- Vialé[17],[13],[8]
Hydrographie
La commune est drainée par le Luy, le Louts, le ruisseau l'arblech, un bras du Luy de France, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[18],[Carte 1].
Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[19].
Le Louts, d'une longueur totale de 85,7 km, prend sa source dans la commune de Thèze et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Téthieu, après avoir traversé 33 communes[20].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[21]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[23]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pomps », sur la commune de Pomps, mise en service en 1974[26]et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[27],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 034,1 mm pour la période 1981-2010[28]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 15 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[30], à 13,4 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[32].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[33],[34],[35].
Urbanisme
Typologie
Arzacq-Arraziguet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[36],[37],[38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[39],[40].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), prairies (31,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (3,9 %)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le toponyme Arraziguet apparaît sous la forme altérée Raviguet (1793 ou an II[42]) et n’est pas mentionné sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[43]). Michel Grosclaude[43] indique que l’origine du toponyme est arrasic (« racine » en gascon), augmenté du suffixe collectif -etum, ce qui donne « amas de racines, souches ».
Le toponyme Arzacq apparaît sous les formes Arsac (1385[43], censier de Béarn[44]), Lo marcat d'Arsac (1542[17], réformation de Béarn[45]), marché auquel on venait de la Soule et le Basse-Navarre, Arzac (1620[43], relation du voyage de Louis XIII à Pau) et Arzac sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[43]).
Son nom, gascon, est écrit Arsac[46] ou Arzac[47]. L'hypothèse d'un ancien propriétaire gallo-romain *Arsius[48],[43] (dans un terroir alors aquitanien) ne tient pas. Arzac s'explique comme la contraction d'un *arrazac de même sens qu'Arraziguet (http://www.gasconha.com Arzacq-Arraziguet).
Cherre désignait un hameau d’Arzacq, mentionné par le dictionnaire de 1863[17].
Le toponyme Vialé apparaît sous la forme Le Vialé (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[17]).
Histoire
Arzacq est une bastide à la limite de la Chalosse. Ancien évêché de Lescar mais Généralité d'Auch. Sa trève Vignes (Binhes) était en Béarn. Arzacq a été pénétré d'influences venues de la plaine béarnaises (architecture du XVIIIe s.).
Les 14 et 15 octobre 1620, Louis XIII fit étape à Arzacq en se rendant à Pau. Les deux jurats de la ville étaient alors Pierre Dubern et Dominique de Meylon. En 1790, le canton d'Arzacq comptait les mêmes communes qu'aujourd'hui à l'exception du village de Riumayou, mais avec la commune de Momas.
Arraziguet s'est unie à Arzacq le 7 septembre 1845[49].
En 1922, après la Première Guerre mondiale, Arzacq-Arraziguet parraine la reconstruction du village de Violaines dans le Pas-de-Calais. La commune s'engage, lors du conseil municipal du 24 juin 1922, à prendre à son compte le remboursement d'un emprunt de 100 000 francs sur 30 ans[50].
Héraldique
Blasonnement :
De gueules au lévrier courant d'or surmonté d'un croissant du même, au chef cousu d'azur chargé de trois coquilles aussi d'or. |
Politique et administration
Intercommunalité
Arzacq-Arraziguet appartient à trois structures intercommunales[51] :
- la communauté de communes du canton d'Arzacq ;
- le syndicat AEP d'Arzacq ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques.
Arzacq-Arraziguet est le siège de la communauté de communes du canton d'Arzacq.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[56].
En 2018, la commune comptait 1 073 habitants[Note 7], en augmentation de 1,8 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arzacq, encore séparé d’Arraziguet, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[42].
Culture et patrimoine
Patrimoine civil
La période gallo-romaine[13] de la commune fait l'objet d'une description par le ministère de la Culture.
La commune possède un ensemble fortifié, nommé motte la Tourette[59], dont la construction s'est étendue du Xe siècle au XIVe siècle, et qui comprend une église, une basse-cour, une motte, un fossé et une enceinte.
Des fermes d'Arzacq-Arraziguet (lieux-dits Castetber[10], Gibardéou[12], Cruhot[11], Salles[15], Tristan[16]) datent du XIXe siècle.
De même un lavoir[14] fut construit au XIXe siècle près du lieu-dit Labère.
Des maisons de maître, du XVe siècle au XXe siècle sont également recensées par le ministère de la Culture telles que celles de la place du Marcadieu (maison Mimbielle[60] des XVIIIe et XXe siècles et une maison[61] du XVIIIe siècle, la poste[62] (XIXe siècle), des maisons de la place de la République[63] datant pour l'une des XVe, XVIe et XIXe siècles et d'autres[64] du XVIIIe et XIXe siècles[65], la maison presbytère[66] (XIXe siècle). Il faut également noter l'actuelle boucherie[67] de la place de la République qui date des XVe, XVIe et XXe siècles. Sur cette même place se dresse un manoir[68] qui tient ses origines du XVe siècle et qui a été remanié durant les siècles suivants, servant aujourd'hui de café.
Enfin un monument aux morts[69] de la guerre de 1914-1918 est également recensé par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel) sur cette même place.
La mairie possède un tableau[70] de Paul Mirat représentant l'arrivée de Louis XIII à Arzacq le 14 octobre 1620.
Un musée du jambon se trouve à Arzacq, et retrace l'histoire du jambon de Bayonne.
Les arènes dédiées aux courses vasconnes ou courses de vaches "landaises" ont été rebâties.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre[71] date du XIXe siècle. Elle recèle des sculptures[72],[73],[74],[75], divers mobiliers[76],[77],[78],[79],[80],[81] et vingt-trois verrières[82] d'Émile Thibaud, recensés par le ministère de la Culture (Inventaire général du patrimoine culturel).
Arzacq-Arraziguet est une étape sur la via Podiensis (ou route du Puy), l'un des chemins contemporains du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui part du Puy-en-Velay et se prolonge jusqu'au col de Roncevaux et, de là, à Saint-Jacques-de-Compostelle. À ce titre, le blason de la ville s'orne de trois coquilles.
Équipements
- Éducation
La commune dispose d'une école élémentaire[83] et d'un collège[84].
Arzacq possède également une maison de la formation et un relais assistance maternelle.
Sports
- Nord Béarn XV fondé en 1997 par la fusion de l'association sportive garlinoise et des Lévriers arzacquois.
Personnalités liées à la commune
- Damien Catalogne, né à Arzacq en 1856 et décédé à Arzacq en 1934, est un homme politique français.
- Georges Visat, né le 2 janvier 1910, à Foce Di Mela (Corse), et mort le 2 février 2001, à Arzacq-Arraziguet, est un graveur, éditeur d’art et peintre français.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Arzacq-Arraziguet » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, notice BnF no FRBNF42089597).
- « Métadonnées de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arzacq-Arraziguet et Artix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arzacq-Arraziguet », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Page transports sur le site de la commune
- « La ferme du lieu-dit Castetber », notice no IA64000207, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Cruhot », notice no IA64000205, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Gibardéou », notice no IA64000206, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Présentation de la période gallo-romaine », notice no IA64000004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le lavoir du lieu-dit Labère », notice no IA64000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Salles », notice no IA64000203, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Tristan », notice no IA64000202, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
- « Fiche communale d'Arzacq-Arraziguet », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Luy ».
- Sandre, « le Louts ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Pomps - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arzacq-Arraziguet et Pomps », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pomps - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arzacq-Arraziguet et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arzacq-Arraziguet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Arraziguet », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
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- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385..
- Manuscrit du XVIe au XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Page histoire du site de la mairie
- « Présentation de la commune », notice no IA64000148, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Violaines, un village du Pas-de-Calais reconstruit grâce aux Béarnais d'Arzacq », sur larepubliquedespyrenees.fr, La République des Pyrénées, (consulté le ).
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des affaires étrangères (consulté le ).
- Annuaire des villes jumelées
- Page jumelage du site de la commune
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « La motte la Tourette », notice no IA64000006, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison Mimbielle », notice no IA64000195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison du XVIIIe siècle de la place Marcadieu », notice no IA64000199, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La poste », notice no IA64000200, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Une maison de la place de la République datant des XVe, XVIe et XIXe siècles », notice no IA64000008, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison de XVIIIe siècle de la place de la République », notice no IA64000198, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison du XIXe siècle de la place de la République », notice no IA64000197, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison presbytère », notice no IA64000196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'ancienne boucherie de la place de la République », notice no IA64000194, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le manoir de la place de la République », notice no IA64000007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le monument aux morts », notice no IA64000005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le tableau de Paul Mirat », notice no M64002820, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Pierre », notice no IA64000002, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002652, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Vierge à l'Enfant de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le groupe sculpté (petite nature) : Vierge à l'Enfant entourée d'anges », notice no IM64002656, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Christ en croix de l'église Saint-Pierre », notice no PM64000043, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le mobilier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002653, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Pierre (liste supplémentaire) », notice no IM64002781, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002736, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les autel, gradin d'autel, tabernacle (maître-autel) de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002735, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les fonts baptismaux de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002655, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le bénitier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002654, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les verrières de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002737, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Site de l'école élémentaire
- Site du collège d'Arzacq
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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