Alex Tyrrell
Alex Tyrrell, né le à Montréal, est un activiste écologiste et homme politique québécois.
Alex Tyrrell | |
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Fonctions | |
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10e Chef du Parti vert du Québec | |
En fonction depuis le (7 ans, 11 mois et 18 jours) |
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Prédécesseur | Claude Sabourin Jean Cloutier (intérim) |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Montréal, ![]() |
Nationalité | Canadienne |
Parti politique | Nouveau Parti démocratique (2006-2012) Parti vert du Québec (depuis 2012) Parti vert du Canada (depuis 2012) |
Diplômé de | Université Concordia |
Résidence | Montréal, ![]() |
Élu à la tête du Parti vert du Québec en 2013 à l'âge de 25 ans, il devient alors le plus jeune chef de parti sur la scène politique québécoise et canadienne. Sous son leadership, le parti a rapidement entrepris une vaste modernisation de son programme et se situe actuellement sur la gauche de la scène politique québécoise.
Afin de se faire connaître lui et le Parti vert, Alex Tyrrell a participé lui-même à dix élections générales ou partielles de 2012 à 2018. Il a terminé troisième dans Jacques-Cartier en 2012 et quatrième dans Outremont en 2013 ; il a fini à la cinquième ou sixième position au cours des sept scrutins subséquents. Lors de l'élection partielle de 2018 dans Roberval, il termine en septième position, soit la dernière place, ne récoltant que 80 voix.
À la suite de la démission d'Elizabeth May, il affirme être en réflexion quant à la possibilité de se lancer dans la course à la chefferie du Parti vert du Canada[1].
Avec 9 défaites électorales (2 lors d'élections générales et 7 lors d'élections partielles), Alex Tyrrell est le chef d'un parti politique québécois ayant perdu le plus d'élections.
Biographie
Jeunesse et formation
Né le à Montréal d’une mère francophone et d’un père anglophone, Alex Tyrrell a grandi dans l’Ouest de l'île de Montréal. Il a fréquenté les écoles primaires Beaconsfield et Windermere ainsi que l'école secondaire Beaconsfield. Durant ses jeunes années, il a été exposé à un climat politique particulièrement déchirant dans le cadre du référendum sur l'indépendance du Québec.
Pendant ses études secondaires, il s’est intéressé à la menuiserie, la science et les technologies. Il s’est notamment porté bénévole pour enseigner la menuiserie à de plus jeunes étudiants. En secondaire quatre, il s’est inscrit dans un programme d'éducation alternative qui lui a permis de finaliser son diplôme d'études secondaires près de six mois avant la majorité de ses collègues.
Études en technologie de génie mécanique - Collège Dawson
Passionné par les technologies vertes, il s'inscrit dans le programme de Technologie de génie mécanique au Collège Dawson. Pendant ses études techniques au CÉGEP, il travaille notamment sur les enjeux des biocarburants et réussit à produire son propre biocarburant. Il convertit sa voiture afin qu’elle puisse rouler à l’huile végétale recyclée. Dans sa dernière année, il propose au collège de mettre sur pied et financer un projet de conception de véhicules électriques pour les étudiants de son département. Le financement est accordé et le projet sera réalisé l'année suivante.
Il est également présent dans l'immeuble du CÉGEP Dawson au moment de la fusillade de qui a fait deux morts et une vingtaine de blessés. Cette expérience lui a appris à quel point il était essentiel d'améliorer les services de santé mentale et de mieux contrôler l'accès aux armes à feu.
Études en sciences environnementales - Université Concordia

En 2011, Alex Tyrrell décide de changer son parcours académique et de s’inscrire dans un programme de sciences environnementales à l’Université Concordia à Montréal[2]. Il a pris cette décision à la suite du constat qu’il y avait très peu d’emplois offerts au sein de la transition énergétique et dans le déploiement des technologies vertes. Il décide alors de centrer ses études pour mieux comprendre les problèmes de pollution, les impacts des changements climatiques et les enjeux reliés à l'environnement. Pendant ses études, il est frappé par la dure réalité des minières et des grandes compagnies qui n'ont aucun respect pour l'environnement. Cette réalité a suscité chez Alex Tyrrell une forte révélation écologiste.
Il est élu chef du Parti vert du Québec en 2013 à l'âge de 25 ans après avoir complété le tiers de son programme universitaire. À la suite de l'élection générale de 2014, il retourne aux études à temps partiel tout en dirigeant le Parti vert du Québec entre ses cours. Pendent cette période, il participe à de nombreuses élections partielles et rétablit le Parti vert du Québec comme une force politique dans la province.
Engagement social

Implication dans la Grève étudiante québécoise de 2012
Lors du printemps 2012, Alex Tyrrell s’implique activement dans le mouvement étudiant. Il participe à plusieurs lignes de piquetage, manifeste dans les rues et promeut le mouvement en filmant les manifestations et les interventions policières. Il est arrêté et détenu par les policiers de la SPVM à deux reprises pendant le mouvement étudiant.
Implication dans la grève de la faim de Raymond Robinson
Dans les derniers mois de l'année 2012, le mouvement Idle No More pour le droits des autochtones prend forme au Canada. M. Tyrrell participe activement aux diverses manifestations à Montréal et dans l’espace public.
Au début de l'année 2013, il rencontre Raymond Robinson, l'un des pionniers du mouvement Idle No More qui a mené une grève de la faim pendant 43 jours sur la colline parlementaire cette année-là. Les deux hommes développent une amitié et commence à militer ensemble. En , Raymond Robinson se lance dans une seconde grève de la faim plus brutale, en renonçant cette fois-ci de boire [3]. Alex devient responsable des communications de ce projet et passe les jours qui suivent à ses côtés durant les rencontres avec le Chef national de l'assemblée des premières nations ainsi que le Ministre des affaires autochtones du gouvernement de Stephen Harper[4]. Durant la sixième journée, des veillées aux chandelles sont organisées à travers le pays en soutien à M. Robinson qui renonce à la grève de faim le lendemain même. À la suite de cette expérience, les deux hommes prêtent main-forte aux autochtones qui manifestent contre l'exploitation des gaz de schistes au Nouveau-Brunswick.
Politique fédérale (2006-2012)
Implication au sein du Nouveau Parti Démocratique du Canada
Alex Tyrrell s’implique en politique pour la première fois en 2006 auprès du NPD sous Jack Layton au Québec, près de cinq ans avant la « vague orange » qui a vu cette formation politique passer de un à cinquante neuf sièges au Québec.
Pendant son implication au NPD, Alex a eu plusieurs postes dans le Comité exécutif de la circonscription de Lac-St-Louis et a participé aux campagnes électorales de 2008 et de 2011. Lors de l'élection de 2011, il est organisateur en chef pour la campagne dans cette circonscription et réussit à récolter plus de 30 % des appuis. Il est, par la suite, élu président de l’association locale.
Lors de la course à la chefferie du NPD en 2011-2012, il appuie la candidature du député Nathan Cullen avant d’obtenir le poste de co-organisateur de cette campagne au Québec. À la suite de la victoire de Thomas Mulcair et de l’aile droite du parti dans cette campagne, M. Tyrrell décide de prendre du recul par rapport à la scène politique fédérale et tourne son engagement vers le mouvement étudiant.
Débuts sur la scène politique québécoise
Campagne électorale de 2012 dans Jacques Cartier
C’est en 2012, dans le cadre du mouvement étudiant, qu’il s’intéresse à la politique provinciale. Il décide de s’impliquer au sein du Parti vert du Québec en présentant sa candidature dans la circonscription de Jacques-Cartier[5].
Lors de cette campagne électorale, il se présente en tant que « L’option progressiste fédéraliste »[6] Il se retrouve en troisième place avec 4,5 % du vote[7] ce qui représente le second résultat le plus important pour l’ensemble des candidats écologistes dans cette élection.
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Geoffrey Kelley (sortant) | Libéral | 24 525 | 73,1 % | 19 519 | |
Paola L. Hawa | Coalition avenir | 5 006 | 14,9 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 1 522 | 4,5 % | - | |
Olivier Gendreau | Parti québécois | 1 232 | 3,7 % | - | |
François-Xavier Charlebois | Québec solidaire | 859 | 2,6 % | - | |
Francis Juneau | Indépendant | 189 | 0,6 % | - | |
Raphaël Hébert | Option nationale | 128 | 0,4 % | - | |
Ágnes Mina Barti | Union citoyenne | 86 | 0,3 % | - | |
Total | 33 547 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 76,9 % et 176 bulletins ont été rejetés. |
Course à la chefferie du Parti vert du Québec - 2013
En 2013, le Parti vert du Québec annonce la tenue d’une course à la chefferie à la suite de la démission du chef sortant Claude Sabourin[8]. Alex Tyrrell est la première personne à se lancer pour obtenir le poste.
Programme et propositions
Il propose notamment d’unir le parti autour des valeurs progressistes, de moderniser le programme et de restituer le parti de manière claire sur la gauche de la scène provinciale[9],[10]. Il propose d'élargir le programme du parti surtout axé sur l'environnement afin de présenter une plateforme plus complète qui revendique un investissement massif dans les services publics tels que la santé et l'éducation[11].
Slogan
Depuis les départs de Scott McKay et Daniel Breton pour le Parti Québécois, le Parti vert du Québec était marqué par des divisions internes et des problèmes organisationnels majeurs. Alex Tyrrell s'est présenté avec le slogan « Unir le PVQ » une référence directe aux divisions internes qui empêchaient le parti d'avancer en politique québécoise depuis des années.
Résultats
Il remporte la course avec une légère avance sur sa principale adversaire, Patricia Domingos. Le même jour, les membres du Parti vert adoptent une position contre la Charte des valeurs du gouvernement Marois.
Entrée en fonction
Dès son arrivée au sein du Parti vert du Québec, il est immédiatement confronté aux profondes divisions internes apparues à la suite de la défection de plusieurs membres influents qui se sont alliés au Parti Québécois de Pauline Marois[12]. En tant que nouveau chef, Alex Tyrrell déclenche des élections internes[13] afin de faire le ménage à l’intérieur du Conseil exécutif, monopolisé par des partisans du Parti Québécois et par des membres du Parti Équitable du Québec, un parti politique provincial nouvellement présidé par Patricia Domingos[14]; la principale opposante d’Alex Tyrrell dans la course à la chefferie du Parti vert quelques mois plus tôt[15].
Virage éco-socialiste
Contraint de remettre sur pied le Parti vert du Québec, Alex Tyrrell et le Conseil national écrivent et adoptent un nouveau programme politique pour le parti afin que ce dernier se retrouve sur la gauche de l'échiquier politique québécois. Le parti continuera à s'attaquer aux enjeux environnementaux, mais s'impliquera aussi dans les luttes sociales et présentera un programme éco-socialiste lors des élections générales de 2014[16].
Préparations pour l'élection générale de 2014
Élection partielle dans Outremont
Quelques semaines après son élection à titre de chef du Parti vert, Alex Tyrrel se présente à l'élection partielle dans la circonscription montréalaise d'Outremont. Son principal adversaire; Philippe Couillard, nouveau chef du Parti libéral. M. Tyrrell annonce sa candidature devant l'hôpital Saint-Mary's en déclarant que son adversaire libéral utilise son siège pour privatiser le système de santé[17]. Il fait parler du Parti vert en incluant plusieurs slogans sur ces affiches; Ensemble pour un système de santé publique, Ensemble pour nos transports en commun, Ensemble contre les sables bitumineux et Ensemble contre la Charte (des « valeurs » « québécoise »)[18].
Philippe Couillard refuse de participer au débat des candidats de la circonscription organisé par un groupe communautaire. Tyrrell déclare «Il est beaucoup plus difficile pour Monsieur Couillard de débattre avec les partis émergents qu’avec les grands partis néolibéraux. Les partis émergents ont des questions beaucoup plus difficiles à poser à Monsieur Couillard.»[19]
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Philippe Couillard | Libéral | 5 581 | 55,1 % | 2 317 | |
Édith Laperle | Québec solidaire | 3 264 | 32,2 % | - | |
Julie Surprenant | Option nationale | 677 | 6,7 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 384 | 3,8 % | - | |
Pierre Ennio Crespi | Conservateur | 145 | 1,4 % | - | |
Mathieu Marcil | Parti nul | 59 | 0,6 % | - | |
Guy Boivin | Équipe autonomiste | 17 | 0,2 % | - | |
Total | 10 127 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 26,4 % et 89 bulletins ont été rejetés. |
Campagne locale dans Notre-Dame-de-Grâce
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Kathleen Weil (sortant) | Libéral | 22 336 | 76,6 % | 20 172 | |
Annick Desjardins | Québec solidaire | 2 164 | 7,4 % | - | |
Noah Sidel | Coalition avenir | 1 649 | 5,7 % | - | |
Olivier Sirard | Parti québécois | 1 610 | 5,5 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 1 318 | 4,5 % | - | |
Rachel Hoffman | Marxiste-léniniste | 78 | 0,3 % | - | |
Total | 29 155 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 72,5 % et 192 bulletins ont été rejetés. |
En poste depuis seulement 5 mois, le nouveau chef Alex Tyrrell annonce sa candidature pour les élections générales de 2014 dans la circonscription de Notre-Dame-De-Grâce, lieu de sa résidence. Au programme, de nouvelles positions sur une multitude de questions tel que la gratuité scolaire, l’abordabilité du transport en commun, la couverture des services dentaires. Il s’opposera également à la Charte des Valeurs du gouvernement Marois. C’est une ère nouvelle qui s’annonce pour le Parti Vert du Québec, devenu alors un parti politique à vision écosocialiste puisqu’il traite de tous les enjeux cruciaux de la politique québécoise.
Alex Tyrrell récoltera 1318 votes, soit 4,52 % des voix.
Élections partielles sous la 41e legislature (2014-2018)
Élection partielle dans Lévis
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
François Paradis | Coalition avenir | 10 110 | 46,8 % | 3 096 | |
Janet Jones | Libéral | 7 014 | 32,5 % | - | |
Alexandre Bégin | Parti québécois | 1 788 | 8,3 % | - | |
Yv Bonnier Viger | Québec solidaire | 1 654 | 7,7 % | - | |
Adrien D. Pouliot | Conservateur | 503 | 2,3 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 238 | 1,1 % | - | |
François Thériault | Option nationale | 168 | 0,8 % | - | |
Maxime Lapointe | Indépendant | 60 | 0,3 % | - | |
Daniel Lachance | Unité nationale | 30 | 0,1 % | - | |
Grégoire Bonneau-Fortier | Parti indépendantiste | 27 | 0,1 % | - | |
Guy Boivin | Équipe autonomiste | 13 | 0,1 % | - | |
Total | 21 605 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 46,3 % et 165 bulletins ont été rejetés. |
Élection partielle dans Chicoutimi
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Mireille Jean | Parti québécois | 8 810 | 46,7 % | 3 110 | |
Francyne Gobeil | Libéral | 5 700 | 30,2 % | - | |
Hélène Girard | Coalition avenir | 2 216 | 11,7 % | - | |
Pierre Dostie | Québec solidaire | 1 508 | 8 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 465 | 2,5 % | - | |
Catherine Bouchard-Tremblay | Option nationale | 170 | 0,9 % | - | |
Total | 18 869 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 41,1 % et 301 bulletins ont été rejetés. |
Élection partielle dans Arthabaska
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Éric Lefebvre | Coalition avenir | 11 316 | 44 % | 4 221 | |
Luc Dastous | Libéral | 7 095 | 27,6 % | - | |
Jacques Daigle | Parti québécois | 4 318 | 16,8 % | - | |
Guy Morin | Conservateur | 1 210 | 4,7 % | - | |
Sarah Beaudoin | Québec solidaire | 929 | 3,6 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 543 | 2,1 % | - | |
Émilie Charbonneau | Option nationale | 160 | 0,6 % | - | |
Christine Lavoie | Parti indépendantiste | 115 | 0,4 % | - | |
Suzanne Cantin | Équipe autonomiste | 58 | 0,2 % | - | |
Total | 25 744 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 43,1 % et 265 bulletins ont été rejetés. |
Élection partielle dans Gouin
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Gabriel Nadeau-Dubois | Québec solidaire | 9 832 | 69,3 % | 8 563 | |
Jonathan Marleau | Libéral | 1 269 | 9 % | - | |
Vanessa Dion | Option nationale | 1 116 | 7,9 % | - | |
Benjamin Bélair | Coalition avenir | 954 | 6,7 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 651 | 4,6 % | - | |
Jean-Patrick Berthiaume | Bloc pot | 113 | 0,8 % | - | |
Alexandre Cormier-Denis | Parti indépendantiste | 81 | 0,6 % | - | |
Samuel Fillion-Doiron | Conservateur | 70 | 0,5 % | - | |
Nicole Goulet | Citoyens au pouvoir | 34 | 0,2 % | - | |
Michel Leclerc | Parti libre | 34 | 0,2 % | - | |
François-Xavier Richard-Choquette | Indépendant | 24 | 0,2 % | - | |
Sébastien Théodore | Indépendant | 15 | 0,1 % | - | |
Louis Chandonnet | Équipe autonomiste | 12 | 0,1 % | - | |
Total | 14 205 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 32,7 % et 243 bulletins ont été rejetés. |
Élection partielle dans Louis-Hébert
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Geneviève Guilbault | Coalition avenir | 12 091 | 51 % | 7 658 | |
Ihssane El Ghernati | Libéral | 4 433 | 18,7 % | - | |
Normand Beauregard | Parti québécois | 3 852 | 16,3 % | - | |
Guillaume Boivin | Québec solidaire | 1 235 | 5,2 % | - | |
Sylvie Asselin | Conservateur | 976 | 4,1 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 487 | 2,1 % | - | |
Denis Blanchette | NPD Québec | 319 | 1,3 % | - | |
Vincent Bégin | Indépendant | 215 | 0,9 % | - | |
Martin St-Louis | Option nationale | 61 | 0,3 % | - | |
Jean-Luc Rouckout | Équipe autonomiste | 18 | 0,1 % | - | |
Total | 23 687 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 52,4 % et 190 bulletins ont été rejetés. |
Élection générale québécoise de 2018 dans Verdun
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Isabelle Melançon (sortante) | Libéral | 11 054 | 35,5 % | 3 597 | |
Vanessa Roy | Québec solidaire | 7 457 | 24 % | - | |
Nicole Leduc | Coalition avenir | 6 343 | 20,4 % | - | |
Constantin Fortier | Parti québécois | 3 929 | 12,6 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 1 157 | 3,7 % | - | |
Raphaël Fortin | NPD Québec | 717 | 2,3 % | - | |
Yedidya-Eitan Moryoussef | Conservateur | 217 | 0,7 % | - | |
Marc-André Milette | Parti nul | 151 | 0,5 % | - | |
Hugo Richard | Bloc pot | 76 | 0,2 % | - | |
Eileen Studd | Marxiste-léniniste | 29 | 0,1 % | - | |
Total | 31 130 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 63,2 % et 354 bulletins ont été rejetés. | |||||
Source : DGEQ, « Résultats élections Québec 2018 », sur electionsquebec.qc.ca (consulté le ) |
Élection partielle de décembre 2018 dans Roberval
Nom | Parti | Nombre de voix |
% | Maj. | |
---|---|---|---|---|---|
Nancy Guillemette | Coalition avenir | 8 373 | 54,5 % | 5 684 | |
Thomas Gaudreault | Parti québécois | 2 689 | 17,5 % | - | |
William Laroche | Libéral | 2 334 | 15,2 % | - | |
Luc-Antoine Cauchon | Québec solidaire | 1 584 | 10,3 % | - | |
Carl Lamontagne | Conservateur | 173 | 1,1 % | - | |
Julie Boucher | Citoyens au pouvoir | 121 | 0,8 % | - | |
Alex Tyrrell | Vert | 80 | 0,5 % | - | |
Total | 15 354 | 100 % | |||
Le taux de participation lors de l'élection était de 34,7 % et 85 bulletins ont été rejetés. | |||||
Source : « Résultats de l'élection partielle dans Roberval », sur DGEQ |
Références
- https://www.lapresse.ca/actualites/politique/201912/22/01-5254682-les-verts-a-la-recherche-dun-chef-et-dun-renouveau.php
- « Alex Tyrrell on leading the Quebec Green Party while studying at Concordia | The Concordian », sur theconcordian.com (consulté le )
- « Hunger striking aboriginal leader says he's 'ready to die' unless Harper agrees to 'Nation to Nation dialogue' », National Post, (lire en ligne, consulté le )
- (en-US) « Aboriginal Affairs Minister Valcourt meeting with hunger-striking Elder Robinson Friday - APTN National News », APTN National News, (lire en ligne, consulté le )
- « Élections: la campagne est lancée », sur Journal Métro,
- « Des anglophones tentés par le Parti vert | Anabelle Nicoud | Actualités », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
- « Le Directeur général des élections du Québec », sur Le Directeur général des élections du Québec (consulté le )
- « Les verts du Québec auront un nouveau chef en septembre », Le Devoir, (lire en ligne, consulté le )
- « Le Parti vert du Québec aura un nouveau chef en septembre | Jasmin Lavoie | Politique canadienne », La Presse, (lire en ligne, consulté le )
- « Platefrome | Alex Tyrrell | Unir le PVQ », (consulté le )
- « Parti vert du Québec: on connaîtra bientôt le nom du nouveau chef », sur Le Huffington Post (consulté le )
- « Un candidat vert demande la démission de son chef », sur Le Huffington Post (consulté le )
- Zone Politique - ICI.Radio-Canada.ca, « Luttes internes au sein du Parti vert du Québec », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- Zone Politique - ICI.Radio-Canada.ca, « Un nouveau parti provincial originaire de l'ouest de la Montérégie | Élections Québec 2014 », sur Radio-Canada.ca (consulté le )
- « Patricia Domingos brigue la chefferie du Parti vert », sur InfoSuroit.com,
- « Parti vert du Québec: contre la Charte et pour l'écosocialisme (ENTREVUE) », sur Le Huffington Post (consulté le )
- Rachel Del Fante / Agence QMI, « Le chef du Parti vert contre Couillard », sur Le Journal de Montréal (consulté le )
- « À Outremont, les affiches du Parti vert du Québec font parler », sur Parti vert du Québec,
- « Philippe Couillard refuse de débattre à Outremont », sur Parti vert du Québec,
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