42e gala des prix Félix

Le 42e gala des Prix Félix, organisé par l'Association québécoise de l'industrie du disque, du spectacle et de la vidéo, récompense les artistes québécois de la chanson.

Gala de l'ADISQ

Le gala de 2020 qui s'est déroulé le devant un auditoire réduit pour cause de pandémie, et a été diffusé le , a été animé par Louis-José Houde (pour la quinzième année de suite)[1]. Il a été marqué par une baisse de l'audience, moins marquée toutefois que pour les manifestations de même nature, dans la même période[2].

Album de l'année (Adulte contemporain)

Album de l'année (Pop)

Album de l'année (Folk)

Album de l'année (Rap)

  • Gagnant(e) : Sainte-Foy (KNLO)
    • Le phénix, Il était une fois (Dramatik)
    • Citadelle (LAF)
    • Nul n'est roé en son royaume (Robert Nelson)
    • Backstage (Souldia)

Artiste autochtone de l'année

  • Gagnant(e) : Elisapie
    • Anachnid
    • Matiu
    • Scott-Pien Picard
    • Shauit

Auteur ou compositeur de l'année/Auteure ou compositrice de l'année

Révélation de l'année

  • Gagnant(e) : Eli Rose

Spectacle de l'année (Auteur.e - Compositeur, Compositrice - Interprète)

Groupe ou duo de l'année

Interprète féminine de l'année

Interprète masculin de l'année

Chanson de l'année

Le Premier Gala de l'ADISQ 2020

Le Premier Gala a eu lieu le . Il était animé par Pierre Lapointe[3].

Gagnant(e)s

  • Album de l’année (Alternatif) : Des feux pour voir, Marie-Pierre Arthur
  • Album de l’année (Anglophone) : Wave, Patrick Watson
  • Album de l’année (Autres langues) : Nikamu Mamuitun-Chansons Rassembleuses, Collectif d'artistes
  • Album de l’année (Choix de la critique) : Des feux pour voir, Marie-Pierre Arthur
  • Album de l’année (Classique - Orchestre et grand ensemble) : Pulsations, Angèle Dubeau & La Pietà
  • Album de l’année (Classique - Soliste et petit ensemble) : Chopin: Ballades et Impromptus, Charles Richard-Hamelin
  • Album de l’année (Country) : Si on y allait, Patrick Norman
  • Album de l’année (Instrumental) : LEN, Gregory Charles
  • Album de l’année (Jazz) : Migrations, Jacques Kuba Séguin
  • Album de l’année (Meilleur vendeur): Les Antipodes, Les Cowboys Fringants
  • Album de l’année (Musiques du monde) : Kora Flamenca, Zal Sissokho
  • Album de l’année (Réinterprétation) : En attendant Noël, Isabelle Boulay
  • Album de l’année (Rock) : Les Antipodes, Les Cowboys Fringants
  • Album de l’année (Traditionnel) : Live au Pas Perdus, Salebarbes
  • Album ou DVD de l’année (Jeunesse) : Arthur L'aventurier au bout du monde en Australie (DVD), Arthur L'aventurier
  • Artiste de l’année ayant le plus rayonné hors Québec : Alexandra Stréliski
  • Spectacle de l’année (Anglophone) : Wave, Patrick Watson
  • Spectacle de l’année (Autres langues) : The Ballad of the Runaway Girl, Elisapie
  • Spectacle de l’année (Humour) : Au pic pis à pelle, Sam Breton
  • Spectacle de l’année (Interprète) : Véronic DiCaire en Spectacle, Véronic DiCaire
  • Vidéo de l’année : L'Amérique pleure, Les Cowboys Fringants

Liens externes

Notes et références

  1. « Un 42e gala de l'ADISQ sous le signe du réconfort », Le Devoir, (lire en ligne)
  2. Hugo Dumas, « Le début de la fin pour les galas ? », La Presse, (lire en ligne)
  3. Geneviève Bouchard, « Galas de l'ADISQ : Fêter malgré les contraintes », Le Soleil, (lire en ligne)
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