Yzeure

Yzeure est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour l’article homonyme, voir Yzeures-sur-Creuse.

Cet article possède un paronyme, voir Izeure.

Yzeure

Vue aérienne du centre d’Yzeure.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Moulins
Intercommunalité Moulins Communauté
Maire
Mandat
Pascal Perrin
2020-2026
Code postal 03400
Code commune 03321
Démographie
Gentilé Yzeuriens, Yzeuriennes [1]
Population
municipale
12 899 hab. (2018 )
Densité 298 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 34′ 01″ nord, 3° 21′ 19″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 278 m
Superficie 43,24 km2
Unité urbaine Moulins
(banlieue)
Aire d'attraction Moulins
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Yzeure
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Yzeure
Géolocalisation sur la carte : Allier
Yzeure
Géolocalisation sur la carte : France
Yzeure
Géolocalisation sur la carte : France
Yzeure
Liens
Site web ville-yzeure.com

    Ses habitants sont appelés les Yzeuriens.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située au nord du département de l'Allier[2], en Sologne bourbonnaise. C'est la quatrième commune du département de l'Allier en nombre d'habitants, au recensement de 2016[3]. Elle jouxte à l'ouest et au sud-ouest la commune de Moulins, préfecture de l'Allier, avec laquelle elle forme une agglomération incluant également la ville d'Avermes[4].

    Nevers est à 57 km au nord, Bourges à 102 km au nord-ouest, Clermont-Ferrand à 99 km au sud-sud-ouest, Mâcon à 135 km à l’est, Beaune à 150 km au nord-est[5].

    Communes limitrophes

    Sept communes sont limitrophes[4] :

    Hydrographie

    L'Allier, très proche à l'ouest, traverse Moulins dans le sens sud-nord. Plusieurs petits cours d'eau prennent naissance sur la commune ou la traversent et coulent vers l'ouest pour rejoindre ce gros affluent de la Loire ; ils forment à eux deux une vingtaine d'étangs au sud et au nord d'Izeure. Au sud-ouest et à l'ouest de la ville, deux petits affluents de l'Ozon forment une dizaine d'étangs avant de quitter le territoire communal vers l'ouest[6].

    Le territoire communal est parsemé d'étangs

    Voies routières

    La route nationale 7 contournée passe par le territoire de la commune. Trois échangeurs la desservent[4] :

    • l'échangeur 45, situé à la frontière communale avec Avermes, débouche sur la route de Decize (route départementale 979a) et dessert le lieu-dit du Haut-Barrieux et le quartier des Chartreux, à Moulins ;
    • l'échangeur 46, situé à la sortie est de la ville par la route départementale 779 en direction de Chevagnes, Bourbon-Lancy et Autun, desservant notamment le quartier de Saint-Bonnet par la route de Bourgogne ;
    • l'échangeur 47, situé à la sortie sud-est de la ville par la route départementale 12 et desservant la zone d'activités.

    L'ancienne route nationale 7, correspondant à la route de Lyon, marque la frontière communale avec Moulins, et est gérée par le département de l'Allier (D 707).

    Depuis Yzeure, passent la D 12 (route de Montbeugny, en direction de Montbeugny et de Dompierre-sur-Besbre, la D 30 (vers La Chapelle-aux-Chasses), la D 194 (vers Gennetines), la D 225 (vers Lusigny), la D 493 et la D 494[4].

    Transport ferroviaire

    La gare de Moulins-sur-Allier est la gare SNCF la plus proche. Les bus des lignes C et D peuvent donner correspondance à un train TER Auvergne-Rhône-Alpes en direction de la gare de Clermont-Ferrand ou à des Intercités à cette même destination ou les gares de Nevers ou de Paris-Bercy.

    Transports en commun

    La commune est desservie par cinq lignes du réseau Aléo[7] :

    • la ligne B, reliant Portes d'Avermes à la place Jean-Moulin en desservant le parking Grillet, l'hôtel de ville et le collège François-Villon ;
    • la ligne C, reliant le centre commercial des Portes de l'Allier au quartier du Plessis via les quartiers des Bataillots et des Chartreux ;
    • la ligne D, reliant le quartier du Plessis à Place des Martyrs (en rive gauche de Moulins) ;
    • la ligne F, reliant le parking de la place Grillet à Bressolles ;
    • la ligne S5, ligne scolaire reliant l'hôtel de ville à la place d'Allier, au lycée Théodore-de-Banville et aux collèges Anne-de-Beaujeu et Émile-Guillaumin à Moulins.

    Urbanisme

    Typologie

    Yzeure est une commune urbaine[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Moulins, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 38 313 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moulins, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,8 %), forêts (22,3 %), zones urbanisées (15,1 %), terres arables (8,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Morphologie urbaine

    Le plan local d'urbanisme a été approuvé par le conseil municipal le 15 février 2013[Y 1].

    Logement

    En 2015, la commune comptait 6 622 logements, contre 6 328 en 2010. Parmi ces logements, 89,6 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 9,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 78,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 21,3 % des appartements[a 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 68,3 %, en hausse sensible par rapport à 2010 (68 %). La part de logements HLM loués vides était de 11,4 % (contre 11 %)[a 2].

    Projets d'aménagements

    La commune aménage Yzatis (médiathèque, cyber-base, espace forme)[Y 1].

    Risques naturels et technologiques

    La commune est soumise à deux risques : séisme (zone de sismicité de niveau 2) et transport de matières dangereuses. Elle a élaboré un plan communal de sauvegarde (PCS) mais ne possède pas de dossier d'information communal sur les risques majeurs (DICRIM)[18].

    La présence d'une canalisation de gaz naturel et l'utilisation de la route nationale 7 et de la route départementale 707 par les véhicules de transport de matières dangereuses, ainsi que l'existence de voies ferrées, justifient le classement d'Yzeure à ce risque technologique[19].

    Toponymie

    Selon Ernest Nègre[20] et Stéphane Gendron[21], la forme écrite la plus ancienne désignant Yzeure, Isodrus en latin, date de 912. Au XIe siècle, on rencontre le nom, Ysodurum. Ce toponyme se serait formé à partir du nom d'une personne, Itius et de ô dorum (la porte). Une autre hypothèse ferait se rattacher l'origine du nom Yzeure à la racine prélatine Icauna.

    Les premiers Yzeuriens : ATIPASTU, ADAXILU, ABINOS, ATONILLOS, ASSULATOS, ANDROULOS, ATIASSU sont les premiers yzeuriens connus, grâce à la découverte, dans un fossé du début du premier siècle, d’une liste de noms gravés sur un vase.

    Histoire

    L'atelier de poterie antique de Saint-Bonnet

    Le site de Saint-Bonnet à Yzeure[22] n'est longtemps connu que par une fouille sur quelques dizaines de mètres carrés[23]. En 1827 des ateliers de poterie sont découverts à Saint-Bonnet[24],[n 1]. Entre 1863 et 1865, A. Bertrand[n 2] fouille le quartier[26] ; il signale « un demi-moule d’un buste en terre cuite, à tête capuchonnée ». En 1900 il découvre deux fours , et cinq autres en 1901[27]. Deux fours sont entièrement dégagés[28]. Les déblais de l'atelier contiennent de nombreux morceaux de fresques et le pied-droit d'un four inclut un morceau de colonne ; ce qui indiquerait que l'atelier de poterie a été construit sur le site d'un bâtiment rasé qui, lui, n'était pas un lieu de production[29],[n 3].
    Les alentours immédiats sont parsemés de fragments de sigillée unis et ornés. Certains des fragments de sigillée unie portent les marques « AFRICANI », « SOLANI », « CINTVSVMIF ». Un vestige de vase moulé porte la marque de Putrius, connue comme provenant de l'atelier de Lezoux[28].

    Le site a produit des statuettes en terre cuite blanche, et presque certainement de la sigillée lisse et peut-être aussi moulée[28]. Vertet indique que la sigillée pourrait dater de l'époque de Trajan (98-117)[30]. Il mentionne des statuettes peintes[31] et une quantité importante de figurines[30], parmi lesquelles des bustes, paons, coqs et édicules[32]. Talvas précise que certaines figurines sont de facture médiocre[33] mais d'autres sont lissées avec soin et certains endroits peints[34] : yeux, lèvres, pointes de seins pour les Vénus[33][n 4].

    Corrocher mentionne Saint-Bonnet comme un des ateliers de Gaule du Centre producteurs de céramique à glaçure plombifère[35].

    Moyen Âge

    En 1206, Guy II de Dampierre et Mathilde de Bourbon, sa femme, de concert avec le prieur de Souvigny, créèrent, sur la hauteur de Saint-Bonnet, tout près de Moulins, une ville franche, dont les revenus devaient appartenir, par moitié, au prieur et au sire de Bourbon.[36]

    Au Moyen Âge, il y avait une maison forte, aujourd'hui disparue, dite de « Pré Puttet » ou le « Champ Putet »[37],[38] datant probablement du XIVe siècle et qui fut occupée jusqu'à la fin du XVIIe siècle.

    La maison forte se trouvait au fond d'un vallon, le côté nord s'appuyant sur le ruisseau de la Rigollée. Elle se dressait sur une plate-forme rectangulaire fossoyée surélevée de 28 × 30 m[39] construite à partir des matériaux de creusement des fossés. Les fossés en forme de U ont une largeur de m et sont profond de 1,60 m. Son organisation, nous est connu, des fouilles ont mis au jour : un mur d'enceinte de 0,80 m de large épousant le tracé de la plate-forme, une cour d'une superficie de 250 m2, qui s'étendait devant la maison forte[40] et la présence d'une tour ronde de m de diamètre. Un puits se trouvait au centre de la cour[41].

    Époque moderne

    En 1633, est cité Antoine des Essars, sieur de Putay.

    Époque contemporaine

    Entre 1795 et 1800, la commune absorbe celle voisine de Saint-Bonnet-et-Saint-Jean, soit une augmentation de population de 349 habitants[42] ; cette dernière porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de Mont-Grillet[42].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Aux élections municipales de 2014, le député-maire sortant, Guy Chambefort, ne s'est pas représenté[43]. Le premier tour n'a pas désigné d'élu dans l'immédiat. Au second tour, Pascal Perrin est élu maire d'Yzeure, où près de deux électeurs sur trois (66,63 %) ont voté[44].

    Aux élections départementales de 2015, le binôme socialiste Pascale Foucault - Pascal Perrin a recueilli 65,94 % des suffrages exprimés (3 074 voix sur 4 662), avec un taux de participation de 53,49 % (5 152 votants sur 9 631 inscrits)[45] et est élu dans le canton avec 63,56 % des voix, avec un taux de participation légèrement inférieur à celui de la commune bureau centralisateur (53,27 %)[46].

    Récapitulatif de résultats électoraux récents

    Scrutin 1er tour 2d tour
    1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e %
    Municipales 2014 PS 41,76 DVD 29,28 FG 28,95 Pas de 4e PS 42,61 DVD 30,93 FG 26,44
    Européennes 2014 PS 24,73 UMP 19,44 FN 17,43 FG 12,02 Tour unique
    Régionales 2015 PS 33,07 UMP 26,89 FN 19,34 PCF 10,90 PS-PCF-EELV 49,65 UMP 33,22 FN 17,13
    Présidentielle 2017 EM 28,78 LFI 22,80 FN 16,89 LR 15,46 LREM 71,59 FN 28,41 Pas de 3e
    Législatives 2017 EM 30,44 PCF 23,17 LR 15,73 PS 15,04 PCF 53,82 LREM 46,18 Pas de 3e
    Européennes 2019 RN 21,33 LREM 21,21 EELV 11,08 PS-PP 8,98 Tour unique

    Administration municipale

    Mairie.

    Le maire sortant, Pascal Perrin, a été réélu au premier tour à la suite des élections municipales de 2020. Le conseil municipal, réuni le pour élire le maire, a désigné neuf adjoints[47].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1919 1920 Antoine Deforge SFIO Domestique agricole, cheminot, puis expert-comptable
    1920 1938 Joseph Baudron    
    1938 1955 Claude Dussour    
    1955 mars 1971 Paul Maridet CNI puis app.UNR Médecin - Député (1958-1962)
    mars 1971 mars 1977 Louis Guillot    
    mars 1977 mars 1989 Jean-Paul Desgranges PS Député de la 1re circonscription de l'Allier (1981-1986)[48]
    Conseiller général (1973-1985)
    mars 1989 avril 2014 Guy Chambefort PS puis DVG Député de la 1re circonscription de l'Allier (depuis 2007)
    Conseiller général (1985-2007)
    avril 2014 En cours Pascal Perrin[49] PS Conseiller en formation continue [retraité]
    Conseiller général (2007-2015) puis départemental (depuis 2015)
    Réélu le [47]

    Finances locales

    Le budget 2014 de la commune s'élève à 24 954 824  réparti comme suit[50] :

    • investissement : 7 687 395  ;
    • fonctionnement : 17 267 429 .

    Jumelages

    Au 15 juillet 2014, Yzeure est jumelée avec deux communes[51] :

    Par ailleurs, elle mène des actions de coopération décentralisée avec  Kafountine (Sénégal) depuis 1988[56].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[57],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 12 899 habitants[Note 4], en diminution de 0,05 % par rapport à 2013 (Allier : −1,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9642 8031 3221 6421 8862 0602 4752 6102 988
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 2403 2913 5853 8504 1954 1644 4645 2895 703
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5 9606 1336 5396 0846 2377 0357 5738 1868 374
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    10 00011 66513 71513 19713 46112 69612 48812 99013 230
    2018 - - - - - - - -
    12 899--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au recensement de 2016, Yzeure est la 4e commune la plus peuplée du département de l'Allier derrière les trois chefs-lieux d'arrondissement (incluant donc Moulins), mais devant Cusset. Entre 2011 et 2016, le taux de variation de la population est de 0,2 % au sein d'une agglomération dont la ville-centre regagne des habitants[3].

    Pyramide des âges

    En 2015, la population de la commune était relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à soixante ans (31,7 %)[a 3] est supérieur au taux national (24,7 %) mais inférieur au taux départemental (32,9 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,82 %) est supérieur aux taux national (51,60 %) et départemental (52,09 %).

    Pyramides des âges en 2015 en pourcentage
    Commune d'Yzeure[a 4]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ans ou +
    1,9 
    8,9 
    75 à 89 ans
    11,8 
    19,1 
    60 à 74 ans
    20,7 
    22,9 
    45 à 59 ans
    21,7 
    16,7 
    30 à 44 ans
    15,2 
    15,3 
    15 à 29 ans
    13,3 
    16,3 
    0 à 14 ans
    15,4 
    Département de l'Allier[60]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ans ou +
    2,4 
    9,5 
    75 à 89 ans
    13,6 
    19,4 
    60 à 74 ans
    19,8 
    21,2 
    45 à 59 ans
    20,3 
    17 
    30 à 44 ans
    16,1 
    15,4 
    15 à 29 ans
    13,1 
    16,5 
    0 à 14 ans
    14,7 

    Enseignement

    Yzeure dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

    Dans l'enseignement public, les élèves commencent leur scolarité dans l'une des quatre écoles maternelles publiques (Jacques-Prévert, Les Bataillots, Les Cladets, Louise-Michel), puis dans l'une des cinq écoles élémentaires publiques (Ampère, Jacques-Prévert, Jules-Ferry, Les Cladets, Louise-Michel)[Y 2]. Ils poursuivent au collège François-Villon[Y 3], géré par le conseil départemental de l'Allier, puis au lycée Jean-Monnet[Y 3], géré par le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes.

    Dans l'enseignement privé, les élèves vont à l'école Saint-Pierre[Y 2].

    Il existe un centre d'information et d'orientation.

    Culture

    Pendant plusieurs décennies jusqu'en 1997, l'usine Leblanc, a employé jusqu'à presque deux cents salariés à certaines périodes, pour la fabrication des pièces destinées à la réalisation de clarinettes, flûtes et hautbois, dont la clarinette réputée mondialement Leblanc-Noblet[61].

    Une exposition consacrée à la clarinette à Moulins en 2015 évoque celle-ci[62].

    Sports

    Le 12 mars 2019, la ville d'Yzeure a accueilli, avec Moulins, l'arrivée de la 3e étape du Paris-Nice 2019[64],[65], La ligne d'arrivée était située route de Lyon[66].

    Yzeure a tenté, depuis des années, d'être ville de départ du Paris-Nice. Elle s'est unie avec Moulins au milieu de l'année 2018 afin, notamment, de renforcer leur attractivité médiatique en tant que ville d'arrivée[67]. La ville d'arrivée est officialisée en octobre 2018[68].

    Économie

    Le tissu économique local est dominé par les activités de transport et logistique : Yzeure abrite une importante unité logistique d'achat du groupe Leclerc : Scacentre[69].

    Emploi

    En 2015, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 7 894 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,6 % d'actifs dont 62,5 % ayant un emploi et 9,2 % de chômeurs[a 5].

    On comptait 6 751 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 4 973, l'indicateur de concentration d'emploi s'élève à 135,7 %, ce qui signifie que la commune offre plus d'un emploi par habitant actif[a 6].

    4 513 des 4 972 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 90,8 %) sont des salariés[a 7]. 38,4 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[a 8].

    Entreprises et commerces

    Au , Yzeure comptait 490 entreprises : 38 dans l'industrie, 71 dans la construction, 162 dans le commerce, le transport, l'hébergement et la restauration, 103 dans les services aux entreprises et 116 dans les services aux particuliers[a 9].

    En outre, elle comptait 625 établissements[a 10].

    Yzeure abrite le siège de nombreuses entreprises de transport, dont les Transports Yzeuriens et les Transports Bourrat. On peut également citer parmi les grandes entreprises MCF (matériaux de construction).

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    Église romane Saint-Pierre d'Yzeure.
    • L'église Saint-Pierre, joyau de l'époque romane, est remarquable par l'ornementation de sa façade du XIIe siècle et par sa crypte des IXe et Xe siècles. Le portail d'influence bourguignonne présente des chapiteaux ornés de monstres, des motifs antiquisants et des modillons à décors fantastiques. Dans la nef et les bas-côtés, 32 chapiteaux du XIIe siècle sont sculptés de rinceaux et de végétaux. Le mobilier est également exceptionnel comme les bancs d'œuvre des corporations, la statue polychrome de la Vierge à l'enfant, dont le drapé permet une datation du XIVe siècle, et la chaire en bois sculpté de 1623.
    • L'église moderne (XXe siècle) aux Bataillots.

    Patrimoine civil

    Le château Renaissance de Panloup.
    • Château de Panloup : demeure seigneuriale du XVIe siècle avec un très grand parc. À l'intérieur, la porte menant à l'ancienne chapelle est ornée d’une pierre du XIIe ou XIIIe siècle représentant l'agneau pascal.
    • Château de Bellevue : construit en 1881-1882, le château de Bellevue était à l'origine un établissement d'enseignement privé dirigé par les pères jésuites. Il servira d'hôpital pendant la Première Guerre mondiale. En 1946, il devient la propriété du département de l'Allier et abrite des services administratifs départementaux. Le nouveau bâtiment des Archives départementales de l'Allier a été construit en contrebas du château, dans le parc ; il a ouvert en 1987.
    • Château de Joulet : château fort du XVIIe siècle
    • Le Parc : simple maison de campagne à l'origine, fut achetée par la duchesse Anne de Beaujeu à l'aube du XVIe siècle. Dès 1503, elle y habita et vint s'y reposer chaque fois que les charges de la régence le lui permettaient. La résidence était alors connue sous le nom de Beaumanoir. Gilbert de Marillac, secrétaire du connétable de Bourbon, rapporte dans ses Mémoires que les « espoussailles et noces » de celui-ci et de Suzanne de Bourbon s'y déroulèrent « au moys de may suivant l'an mil cinq cens cinq ». Le roi François Ier y fut hébergé par deux fois une dizaine de jours en 1538 puis en 1541, et pour clôturer le séjour moulinois du roi Charles IX, Catherine de Médicis y organisa une de ces grandes fêtes qu'a décrites sa fille Marguerite dans ses mémoires. Ce fut également l'un des tout premiers parcs créés par les ducs de Bourbonnais et le lieu-dit « les Lys » qui le jouxte était orthographié « les lices » au cadastre de 1828[70].

    Sites

    • Plan d'eau des Ozières (baignade, pédalos, etc.), à l'est de la ville.
    • Domaine des Vesvres : 85 hectares de bois et d'étangs, ouverts à la promenade.

    Personnalités liées à la commune

    • Anne de Beaujeu (1461-1522), princesse et régente du royaume de France.
    • Albert Fleury (1923-2006), poète.
    • Honoré d'Urfé (1568-1625), propriétaire du château de Pouzeux.
    • Aimé Laussedat (1819-1907), directeur du Conservatoire des Arts et Métiers. Membre de l’Académie des Sciences, inventeur de la photogrammétrie. Un buste à sa mémoire se trouve dans son ancienne propriété à Yzeure dont le parc, aujourd’hui municipal, porte son nom.
    • Maurice Eblé (1880-1942), né à Yzeure, avocat engagé dans le catholicisme social, fondateur d'associations et de revues, promoteur de progrès sociaux comme les allocations familiales.
    • Joseph Voisin (1882-1969), né et mort à Yzeure, romancier, poète, journaliste, médaillé militaire. Il obtint le prix du Printemps de la Société des Gens de Lettres en 1915 et celui du Feuilleton en 1918[71].
    • Claude Dussour (1889-1955), obtient la croix de guerre et est fait chevalier de la Légion d’honneur pendant la première guerre mondiale. Conseiller municipal en 1925, il devient maire en 1938. Dès 1940, il entre dans la résistance. Arrêté en 1944, il est déporté à Buchenwald. Il est ensuite élu conseiller général de Moulins-Sud en 1945 et 1955. Un prix Claude-Dussour est décerné chaque année aux élèves méritants de la commune.
    • Henri Laville (1915-1958), instituteur, journaliste et écrivain, décédé à Yzeure, où il est inhumé. Le groupe scolaire de la rue Parmentier (devenu la maison des arts et des sciences) porte son nom[72].
    • Didier Boulaud (1950-), instituteur, conseiller en formation continue auprès de l'Éducation nationale, directeur de cabinet du maire de Nevers, Pierre Bérégovoy de 1983 à 1993, élu maire de Nevers depuis 1993, président de la Communauté d'agglomération de Nevers depuis 2003, député de la Nièvre de 1993 à 2001 puis sénateur de la Nièvre depuis septembre 2001, vice-président de la commission de la Défense à l'Assemblée nationale de 1997 à 2001, secrétaire du Sénat depuis 2004, il est également membre de la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, et de la Délégation parlementaire au renseignement.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    D'azur au pairle d'or accompagné en chef d'un casque du même ailé de gueules et accosté de deux chardons aussi d'or fleuris aussi de gueules.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Paul Desgranges (dir.), Yzeure, 2000 ans d'histoire, Cercle des amis d'Yzeure, , 572 p., illustré - 28 cm (ISBN 978-2-9514119-0-6)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Un petit four et des figurines en argile datant du premier siècle avant notre ère auraient été découvertes par Claude-Henri Dufour en 1827. Ces trouvailles seraient appelées trésor de Saint-Bonnet. Les statuettes gallo-romaines témoigneraient d'une religion populaire ignorée.[réf. nécessaire]
    2. A. Bertrand est un archéologue de Moulins (Allier) et conservateur du musée des Antiquités Nationales[25].
    3. L'atelier de Lezoux au lieu-dit Mon Repos est lui aussi installé sur l'emplacement d'une maison rasée, avec une cave emplie de gravats et de déchets de cuisson ; et, toujours à Lezoux mais au lieu-dit Audouart, les fondations de l'atelier sont une petite construction rasée entourée d'un fossé nivelé[29].
    4. Talvas 2007, p. 63 donne la photo d'une statuette féminine provenant de Saint-Bonnet, qui présenterait les mêmes particularités que la Vénus de Bourgheim.
    Notes sur la démographie
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Site de la mairie

    1. Urbanisme sur le site de la mairie (consulté le 5 juin 2014).
    2. « Écoles primaires » (consulté le ).
    3. « Collège et lycée » (consulté le ).

    Dossier complet INSEE

    « Dossier complet – Commune d'Yzeure (03321) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ) :

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.
    4. POP T3 – Population par sexe et âge en 2015.
    5. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    6. EMP T5 – Emploi et activité.
    7. ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2015.
    8. ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
    9. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
    10. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .

    Autres sources

    1. https://www.habitants.fr/allier-03
    2. « Yzeure », sur Lion 1906.
    3. [Thouilleux & Bianco 2019] Christelle Thouilleux et Emma Bianco, « Allier : un déclin démographique lié au vieillissement de la population », Insee Flash Auvergne-Rhône-Alpes, no 43, (lire en ligne, consulté le ).
    4. Carte d'Yzeure sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 15 mars 2019).
    5. « Yzeure », sur google.fr/maps.
      Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
    6. « Archéo'site, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces orthodromiques se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
    7. « Plan du réseau Aléo Bus », sur busaleo.com (consulté le ).
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Moulins », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    21. Stéphane Gendron, Les noms de lieux en France : essai de toponymie, Éditions Errance, , 319 p. (ISBN 978-2-87772-261-2, lire en ligne), p. 92.
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    24. « Saint-Bonnet, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
    25. [Talvas 2007] Sandrine Talvas, Recherches sur les figurines en terre cuite gallo-romaines en contexte archéologique (Mémoire de doctorat de 3e cycle), Université de Toulouse II–Le Mirail, École doctorale TESC, UFR d’Histoire, Arts et Archéologie, , sur tel.archives-ouvertes.fr (lire en ligne), « Introduction », p. 14.
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    27. Talvas 2007, p. 15.
    28. [Abauzit & Vertet 1976] Pierre Abauzit et Hugues Vertet, « Africanvs et les potiers de Saint-Bonnet, commune d'Yzeure (Allier) : un mythe ? », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 15, nos 1-2, , p. 113-122 (lire en ligne [sur persee], consulté le ), p. 113.
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    68. « Moulins et Yzeure sur la route du Paris-Nice 2019 », sur La Montagne, (consulté le ).
    69. Antoine Delacou, « des travaux spectaculaires », la montagne.fr, .
    70. Dominique Laurent, Études bourbonnaises : Une résidence ducale oubliée : le "beau manoir" de la duchesse Anne à Yzeure, Bulletin trimestriel de la Société bourbonnaise des Études locales, , chap. 354, p. 47 à 77.
    71. René Varennes, 175 poètes bourbonnais, Union des poètes bourbonnais, 1988.
    72. « Les lettres », Les Cahiers bourbonnais et du Centre, Moulins, no 2, année 1989.
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