Vouharte

Vouharte est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Vouharte

L'église de Vouharte.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Frédéric Basset
2020-2026
Code postal 16330
Code commune 16419
Démographie
Gentilé Vouhartais
Population
municipale
331 hab. (2018 )
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 59″ nord, 0° 04′ 31″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 137 m
Superficie 10,64 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Vouharte
Géolocalisation sur la carte : Charente
Vouharte
Géolocalisation sur la carte : France
Vouharte
Géolocalisation sur la carte : France
Vouharte

    Ses habitants sont les Vouhartais et les Vouhartaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    La commune de Vouharte est située dans la vallée de la Charente en amont d'Angoulême, à km au nord-ouest de Saint-Amant-de-Boixe et 20 km au nord d'Angoulême.

    Le bourg de Vouharte est aussi à km au nord de Vars, 10 km au sud-est d'Aigre, 11 km au sud-ouest de Mansle et 12 km à l'est de Rouillac[2].

    La commune est traversée par la D 737, route secondaire qui va d'Angoulême à Niort par Aigre et qui dessert le bourg, et qui passe aussi à Montignac au sud et Marcillac-Lanville au nord et franchit la Charente[3].

    La gare la plus proche est celle de Luxé, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux. La future LGV Sud Europe Atlantique traversera la commune en 2017[4].

    Hameaux et lieux-dits

    Le hameau le plus important de la commune est le Breuil, situé au sud ; il y a aussi Tousogne, situé au bord de la Charente[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien). Il est en bordure occidentale du plateau karstique de la Boixe. Le sud de la commune ainsi que la vallée de la Charente sont occupés par des alluvions du quaternaire, déposés en couches successives sur la rive convexe du méandre. On trouve aussi quelques zones de grèzes ou colluvions, comme aux Brousses en limite sud-est de commune, ou au sud du bourg[5],[6],[7].

    Le relief de la commune est celui d'un bas plateau descendant doucement vers la vallée de la Charente à l'ouest. La partie sud de la commune est moins élevée que la partie nord, où des combes entaillent le plateau et convergent au bourg construit au bord du fleuve. Le point culminant de la commune est à une altitude de 137 m, situé près du réservoir de la Grande Faye à l'est. Le point le plus bas est à 42 m, situé le long de la Charente au sud. Le bourg est à 51 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La Charente en amont d'Angoulême et en aval de Mansle arrose l'ouest de la commune.

    Sa vallée comporte de nombreuses îles[3]. Elle connaît des inondations en période de crue hivernale.

    La zone Natura 2000 de la Vallée de la Charente amont couvre 23 % de la commune de Vouharte, toute la vallée du fleuve.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Végétation

    Commune agricole, elle est composée de 85 % de terres agricoles et 10 % de bois et de milieux semi-naturels [8].

    Urbanisme

    Typologie

    Vouharte est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,5 %), prairies (19,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), forêts (9,6 %), zones urbanisées (4 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Vodertam avant 800[15], Voarta en 900[16], Voerta en 1100, Vohorta, Voharte, Voherta en 1293[17], Voharta, Houarte (non datées)[18].

    L'origine du nom de Vouharte remonterait à un nom de personne gaulois Voartos ou Vodartos[19].

    Histoire

    La paroisse de Vouharte est citée au XIe siècle comme dépendant de l'abbaye de Charroux.

    Le prieuré bénédictin de Vouharte aurait été fondé vers 900. Le comte d'Angoulême avait autorisé les moines à prendre dans la forêt tous le bois nécessaire à sa construction. Dans les premiers temps, le prieuré de Vouharte était tenu d'héberger, chaque année, pendant un jour et une nuit, le seigneur de Montignac, sa famille, ses gens et ses chevaux. En 1259, cette obligation fut changée par Guillaume de Valence, comte de Pembroke et seigneur de Montignac, en une redevance annuelle de 50 sous[20].

    Principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Vouharte se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Tusson, Marcillac-Lanville, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[21].

    Après avoir dépendu de l'abbaye de Charroux, le prieuré passa à sa mense abbatiale vers 1360[réf. nécessaire].

    Au XVIIIe siècle, avec l'abbaye de Charroux, il passa au chapitre de Brioude. En 1790, les revenus du prieuré de Vouharte étaient de 7 550 livres[20].

    Sous l'Ancien Régime, Vouharte était une seigneurie qui dépendait de la châtellenie de Marcillac. En 1732 elle passa directement au duché-pairie de La Rochefoucauld, mais en 1765, ce changement fut annulé. Le duc de La Rochefoucauld était de toute façon prince de Marcillac depuis le XVIe siècle et en conserva la suzeraineté jusqu'en 1792[22].

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par les moulins de Vouharte et de Bréchignac, sur la Charente, et les fours à chaux de Tousogne. Il y avait également des carrières d'un calcaire très fin employé à la confection de pierres lithographiques[20].

    Administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 2001 Pierre Basset SE Exploitant agricole
    2001 2008 Claude Fély    
    2008 2014 Jean Renier SE Cadre commercial
    2014 En cours Jean-Pierre Vigier SE Cadre

    À l'élection présidentielle de 2007 Vouharte a voté à 61,40 % pour Nicolas Sarkozy et à 38,60 % pour Ségolène Royal.

    À l'élection présidentielle de 2012 Vouharte a voté à 52,36 % pour Nicolas Sarkozy et à 47,64 % pour François Hollande.

    En 2008 les élus de Vouharte se sont fédérés à l'initiative des élus du Pays ruffécois avec 17 communes du Nord-Charente et 5 des Deux-Sèvres en une fédération qui demande des compensations aux nuisances que va leur apporter la LGV Sud Europe Atlantique[23].

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[24].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

    En 2018, la commune comptait 331 habitants[Note 3], en augmentation de 0,91 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    455471498627611597636663652
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    681666631621522508491436425
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    426423346366328308267253259
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    280313340339330328328328328
    2018 - - - - - - - -
    331--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Vouharte en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3 
    90  ans ou +
    1,8 
    13,2 
    75 à 89 ans
    13,6 
    20,8 
    60 à 74 ans
    21,3 
    22,0 
    45 à 59 ans
    19,5 
    15,7 
    30 à 44 ans
    14,2 
    15,1 
    15 à 29 ans
    19,5 
    11,9 
    0 à 14 ans
    10,1 
    Pyramide des âges du département de la 'Charente en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Entre 1861 et 1921, en 60 ans, Vouharte a perdu la moitié de sa population. Elle l'a actuellement stabilisé vers 340 habitants, le chiffre de 1921.

    Économie

    Agriculture

    L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

    Commerces

    Un multiple rural regroupe les fonctions de commerce alimentaire, bar, et relais poste.

    Deux entreprises, l'une de vente de matériel agricole, de matériel d'irrigation; l'autre de vente de produits pétroliers représentent le tissu économique du village.

    Équipements, services et vie locale

    Vie locale

    Puits.

    L'association Grandir à Vouharte a pour vocation d'organiser toute manifestation envers les enfants : arbre de Noël, sortie à la patinoire, sortie au cinéma, découverte du karting, participation à la randonnée pour la mucoviscidose, etc.

    Grandir à Vouharte a organisé deux Fêtes du bois, en 2007, où un artiste bûcheron Adrien Meneau a sculpté une bille de bois à la tronçonneuse, et créé ainsi un forgeron grandeur nature visible derrière le multiple rural, et en 2009 où le même artiste a sculpté, toujours à la tronçonneuse, un paysan portant un sac de blé sur le dos, visible au moulin de Vouharte, ainsi qu'une lavandière qui est installée au lavoir.

    Le Vouharte Moto Club (VMC), créé par Jean-Pierre Raymond, organise tous les ans, le 2e ou 3e samedi de juillet[réf. nécessaire], une course en semi-nocturne, avec une finale à l'américaine pour les catégories A et B. Le terrain du VMC est ouvert tous les dimanches après-midi pour les entraînements aux licenciés FFM, hors juillet et août.

    L'association des chasseurs de Vouharte organise un méchoui tous les ans, et gère les battues aux nuisibles.

    Le club des Aînés se réunit deux après-midi par semaine autour d'un jeu de cartes, ou de scrabble, ainsi que le réveillon du 1er de l'an.

    Lieux et monuments

    Église Notre-Dame de Vouharte

    L'église paroissiale Notre-Dame qui a été construite aux XIe et XIIe siècles a été inscrite monument historique le [32].

    Des vestiges du prieuré qui a existé en ce lieu sont visibles tout autour.

    Vitraux de l'église

    L'inscription à l'inventaire des monuments historiques de l'église a permis entre 2008 et 2010 la restauration de cinq vitraux qui retracent l'histoire du village.

    Le premier, en 2008, de la baie sud, de m2, principalement grâce à deux fondations : Agir en Charente-Périgord du Crédit agricole, et celle de EDF, ainsi qu'aux partenaires officiels que sont la Région, le Département. Ce vitrail réalisé par le maître verrier Anne Pinto, et l'artiste peintre Serge Van Khache, représente Notre-Dame de Vouharte, sainte patronne de la commune. Des mains de cette dernière, jaillit l'eau, source de vie, du fleuve Charente, qui a créé 102 îles sur cette commune.

    Le second, en 2014, du chœur, de 18 m2, grâce au levier financier de COSEA. Ce vitrail réalisé par les maîtres verriers Philippe Riffaud et Françoise Théallier, de l'atelier du vitrail, en association, toujours, avec l'artiste peintre Serge Van Khache, représente l'histoire de Vouharte, avec :

    Courant 2010, trois petits vitraux de la nef sud, symbolisant l'eau, la verdure et genèse de la terre[33].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. La ligne TGV Sud-Europe Atlantique entre Tours et Angoulême
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. Carte du BRGM sous Géoportail
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    8. Observatoire de l'environnement
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
    16. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 104
    17. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 253,255,284
    18. Louis Adolphe Terracher, Étude de géographie linguistique: Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), H. Champion, , 700 p. (lire en ligne), p. 16
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 413-414
    21. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    22. Histoire passion, « Lors des cahiers de doléances de 1789 (archive) », (consulté le )
    23. Journal Sud Ouest du 26 juillet 2008
    24. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Evolution et structure de la population à Vouharte en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    32. « L'église Notre-Dame », notice no PA16000028, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Sophie Carbonnel, « Une obsession, sublimer la lumière », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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