Vladimir Seidel

Biographie

Vladimir Seidel soutient sa thèse à l'université Louis-et-Maximilien de Munich sous la direction de Constantin Carathéodory en 1930[1].

Il sera successivement professeur assistant à l'université Harvard (Benjamin Peirce Instructor)[2] de 1932 à 1933, puis professeur à l'université de Rochester de 1941 à 1955, chercheur à l'Institute for Advanced Study[3] de 1952 à 1953, professeur à l'université Notre-Dame-du-Lac de 1955 à 1963 et enfin à l'université de Wayne State à partir de 1963.

Durant la Seconde Guerre mondiale il fait partie du groupe de Montréal du Conseil national de recherches Canada impliqué dans le projet Manhattan[4].

Il a donné son nom aux classes de Seidel en analyse complexe[5].

Références

  1. « Mathematics Genealogy Project : Wladimir Seidel », sur genealogy.math.edu (Mathematics Genealogy Project)
  2. (en) J. Laurie Snell, « A Conversation with Joe Doob », sur www.dartmouth.edu
  3. (en) « Wladimir Seidel », sur IAS
  4. (en) M. M. R. Williams, « The development of nuclear reactor theory in the Montreal Laboratory of the National Research Council of Canada (Division of Atomic Energy) 1943–1946 », Progress in Nuclear Energy, vol. 36, no 3, , p. 239–322 (DOI 10.1016/s0149-1970(00)00011-1)
  5. (en) Jun Shung Hwang, « On the Generalized Seidel Class U », Transactions of the American Mathematical Society, vol. 276, no 1, , p. 336–346

Liens externes

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