Villefranche-de-Lonchat

Villefranche-de-Lonchat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Villefranche.

Villefranche-de-Lonchat

La chapelle Sainte-Anne à Villefranche-de-Lonchat.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Maire
Mandat
Gilles Taverson
2020-2026
Code postal 24610
Code commune 24584
Démographie
Gentilé Villefranchois
Population
municipale
972 hab. (2018 )
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 56′ 57″ nord, 0° 03′ 29″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 105 m
Superficie 14,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Villefranche-de-Lonchat
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Villefranche-de-Lonchat
Géolocalisation sur la carte : France
Villefranche-de-Lonchat
Géolocalisation sur la carte : France
Villefranche-de-Lonchat

    De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu d'un canton.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Carte de Villefranche-de-Lonchat et des communes avoisinantes.

    Villefranche-de-Lonchat est limitrophe de cinq autres communes.

    Communes limitrophes de Villefranche-de-Lonchat
    Moulin-Neuf Saint-Martin-de-Gurson
    Minzac Carsac-de-Gurson
    Montpeyroux

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 856 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Port Ste Foy », sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 802,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 35 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Villefranche-de-Lonchat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,1 %), forêts (33,1 %), cultures permanentes (20,6 %), zones urbanisées (4,9 %), prairies (1 %), eaux continentales[Note 5] (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Une villa gallo-romaine est à l'origine de Lonchat. Elle était située à 500 m de l'église paroissiale actuelle. D'après les premiers recensements effectués en Gaule, elle appartenait à un certain Lupius qui a donné son nom au lieu. Celui-ci a été déformé au cours du temps, pour donner successivement Lupiac (Lupiacum), puis Lopchac, Longchat, finalement Lonchat.

    Avec la christianisation de la Gaule, les grands propriétaires terriens ont dû construire des oratoires pour assurer le culte sur leurs domaines. Ce premier oratoire a été détruit par les Normands, au IXe siècle. Ils se sont probablement installés sur les hauteurs, entre Dordogne et Isle, sur le Puynormand, proche de Villefranche-de-Lonchat.

    À partir de l'an Mil, les invasions cessant, les églises ont été reconstruites. Il existe une église dédiée à Notre-Dame à Lupiac au XIe siècle d'après les chartes se trouvant dans le cartulaire de l'abbaye de La Sauve-Majeure. En 1117, Guillaume d'Auberoche, évêque de Périgueux, remet l'église à Geoffroy Ier, 4e abbé de La Sauve-Majeure. Son successeur, Geoffroy II, élu évêque de Bazas en 1126[20], augmente ou fait confirmer les possessions de l'abbaye à Lopchac où est établi un prieuré[21]. Il se fait donner par Guillaume Aimon, viguier de Lopchac[22], le droit de justice et tout ce qu'il possédait sur la manse de Lopchac proche de l'église « dont sa grand-mère Garsende de Lussac avait donné sa part à l'église Sainte-Marie de Lupiac[23] ».

    Édouard Ier fonde une bastide anglaise en 1287, sur un tènement proche de l'église pouvant être facilement fortifié qui a reçu le nom de bastida de Lopiaci qui a pris le nom de Villefranche en 1301[24]. La bastide s'est rapidement développée et les habitants ont réclamé une chapelle dans la bastide, ce qui leur a été accordé en 1305. Le roi fait don « à ses gens de Villefranche d'une maison à démolir dans sa propre forêt de Lespaut pour construire une chapelle dans la ville ». L. Gardeau et A. Lagarde supposent que les habitants de Villefranche ont reconstruit en même temps l'église paroissiale, de concert avec l'évêque. L'église paroissiale est dédiée à Notre-Dame et la chapelle dans la ville à Sainte-Anne. Les évêques de Périgueux ont essayé de s'implanter dans l'église paroissiale d'où de nombreux procès leur sont faits par l'abbaye de La Sauve-Majeure.

    Le prieuré de l'abbaye de La Sauve-Majeure a disparu, probablement au cours de la guerre de Cent Ans. L'église a été restaurée par les moines de l'abbaye de La Sauve-Majeure après 1463. L'église a encore été endommagée pendant les guerres de Religion car elle est décrite « en très mauvais état ...le clocher et partie de l'église sont découverts » en 1624. Le procès-verbal canonique de 1688 précise que la voûte est tellement ruinée qu'il n'en reste que quelques arceaux.

    En 1953, le nom de la commune de Villefranche-de-Longchapt a été modifié en Villefranche-de-Lonchat[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Dès 1790, la commune de Villefranche est le chef-lieu du canton du même nom qui dépend du district de Mussidan jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[25]. Le nom de la commune évolue (Villefranche-de-Loupchapt en 1801 puis Villefranche-de-Longchapt et enfin Villefranche-de-Lonchat en 1953), et celui de son canton de manière similaire[25].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de Montaigne et Gurson, dont le bureau centralisateur est fixé à Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.

    Intercommunalité

    Fin 2001, Villefranche-de-Lonchat intègre dès sa création la communauté de communes du Gursonnais dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Montaigne Montravel et Gurson dont le siège est à Vélines.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1934  ? Gabriel Conquet Radical Médecin
    Conseiller général du canton de Villefranche-de-Lonchat (1934-1940, 1945-1949)
             
    1975 1995 Roger Guionneau RPR Conseiller général du canton de Villefranche-de-Lonchat (1973-1999)
             
    mars 2001[29]
    (réélu en mai 2020[30])
    En cours Gilles Taverson SE[31] puis PS[32] Employé à France Télécom

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Villefranche-de-Lonchat relève[33] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2018, la commune comptait 972 habitants[Note 6], en augmentation de 1,25 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6667468078031 120786785742786
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    855904865900927930930847903
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9721 004997893903892845885924
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    814814740801735786805923952
    2018 - - - - - - - -
    972--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Depuis 2007, Villefranche-de-Lonchat abrite un festival international d'art contemporain, Factura, qui se tient en octobre[37].

    Économie

    Emploi

    En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 443 personnes, soit 46,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (85) a fortement augmenté par rapport à 2010 (44) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 19,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 88 établissements[39], dont trente-sept au niveau des commerces, transports ou services, dix-sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quinze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, treize dans la construction, et six dans l'industrie[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La mairie de Villefranche-de-Lonchat.
    • Moulin de Westphalie.
    • En limite sud-est de la commune, le lac de Gurson. Le projet naît en 1966 quand Jean Germain de la Tour de Gurson crée des gîtes à la ferme et envisage d'y ajouter un étang pour que ses pensionnaires puissent pêcher et se baigner (depuis, le lac est accessible à tous, sans séjour dans ces gîtes). En lien avec les autorités politiques locales, le projet nécessite l'aménagement de 43 hectares de forêt pour creuser un lac de dix hectares, ainsi que la construction d'un village-retraite et l'installation d'un terrain de camping. Le lac de Gurson est inauguré en [43]. Ouvert gratuitement toute l'année, il propose de nombreuses activités : baignade surveillée (entre mi-juin et le 1er septembre), aires de jeux, beach-volley, pêche, activités nautiques ou encore randonnée. Un camping et des gîtes se trouvent à proximité. Le site est labellisé Pavillon bleu depuis 2015 et Tourisme et Handicap depuis 2016[44].

    Personnalités liées à la commune

    • Aimoin de Fleury, (950-1008), moine et historien, est peut-être né à Villefranche[45]. L'historien Guy Penaud (1943-), indique qu'Aimoin est né dans un lieu appelé Ad Francos correspondant soit à la commune de Francs, actuellement en Gironde mais faisant partie antérieurement du Périgord, soit à celle de Villefranche-de-Lonchat[46].
    • Jean-Eugène Dezeimeris y est né en 1799[47].

    Héraldique

    Blason
    De gueules aux trois léopards d'or passant l'un sur l'autre.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Port Ste Foy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Villefranche-de-Lonchat et Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Port Ste Foy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Villefranche-de-Lonchat et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Hugues Du Tems, Le clergé de France, ou tableau historique et chronologique des archevêques, évêques, abbés, abbesses & chefs des chapitres principaux du royaume, depuis la fondation des Églises jusqu'à nos jours, chez Delalain, Paris, 1774, tome 1, p. 510 (lire en ligne)
    21. Mme Gardeau, Église Sainte-Marie de Lupiac, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1939, tome 66, p. 129-130 (lire en ligne)
    22. Frédéric Boutoulle, La généalogie des premiers vicomtes de Fronsac d’après la Chronique de Guîtres (Xe-XIe siècles), p. 38 (lire en ligne)
    23. L. Gardeau et A. Lagarde, « Les deux églises de Villefranche-de-Lonchat ».
    24. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Imprimerie nationale, Paris, 1873, p. 180 (lire en ligne)
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 17 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
    29. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 10 septembre 2014.
    30. Grégoire Morizet, « Thierry Boidé veut « rassembler » », Sud Ouest édition Dordogne, 13 juillet 2020, p. 22.
    31. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 30.
    32. http://www.acteurspublics.com/elections/cantonales/canton.php?codcan=46&annee=2011&dpt=024&tour=1,
    33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Factura (Festival international d'art contemporain de Villefranche-de-Lonchat)
    38. Dossier complet - Villefranche-de-Lonchat (24584) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
    39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    40. Dossier complet - Villefranche-de-Lonchat (24584) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
    41. « Église Notre-Dame de l'Assomption », notice no PA00083068, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er mai 2011.
    42. « Mairie », notice no PA24000036, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er mai 2011.
    43. Jean-Claude Faure, « Histoire de la renaissance de la forêt de Gurson », sudouest.fr, 26 juin 2010.
    44. « Lac de Gurson », sur pays-bergerac-tourisme.com (consulté le ).
    45. « 2. Aimoin», dans sous la direction de Mgr Alfred Baudrillart, Albert Vogt, Urbain Rouziès, Dictionnaire d'histoire et de géographie ecclésiastique, Lezoutey et Ané éditeurs, Paris, 1909, tome 1, fascicule 1-6, Aachts-Achot, col. 1185-1187 (lire en ligne)
    46. Guy Penaud, « Aimoin », Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 19.
    47. Site biuSanté
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