Verneuil-l'Étang

Verneuil-l'Étang est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Verneuil et L'Étang.

Verneuil-l'Étang

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Brie nangissienne
Maire
Mandat
Christian Cibier
2020-2026
Code postal 77390
Code commune 77493
Démographie
Gentilé Verneuillais
Population
municipale
3 223 hab. (2018 )
Densité 413 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 40″ nord, 2° 49′ 58″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 119 m
Superficie 7,81 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Verneuil-l'Étang
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Verneuil-l'Étang
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Verneuil-l'Étang
Géolocalisation sur la carte : France
Verneuil-l'Étang
Géolocalisation sur la carte : France
Verneuil-l'Étang
Liens
Site web mairie-verneuil77.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Verneuil-l'Étang dans le département de Seine-et-Marne.

    Verneuil-l’Etang est située au centre de la plaine de la Brie, à 45 km de Paris. La commune s’étend sur une superficie de 7,8 km2 dont une partie occupée par des exploitations agricoles.

    Communes limitrophes

    Chaumes-en-Brie (3 km) Beauvoir (2 km)
    Guignes (3 km) N
    O    Verneuil-l'Étang    E
    S
    Andrezel (4 km) Aubepierre-Ozouer-le-Repos (4,3 km)

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 77 mètres à 119 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 99 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Verneuil-l'Étang.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,59 km[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,1 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 735 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,6 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] à 11,6 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Verneuil-l'Étang est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Verneuil-l'Étang, une unité urbaine monocommunale[21] de 3 237 habitants en 2017, constituant une ville isolée[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 36 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[26].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,5% ), zones urbanisées (12,4% ), forêts (9,5% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %)[27].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes des Deux Morin, prescrit le 28 juin 2018, était en élaboration[30],[31].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 219 dont 74,3 % de maisons et 25,5 % d'appartements.

    Parmi ces logements, 96,5 % étaient des résidences principales, 0,2 % des résidences secondaires et 3,3 % des logements vacants[Note 6].

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait t à 64,5 % contre 34,7 % de locataires[32] dont, 21,9 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 0,8 % logés gratuitement.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la gare de Verneuil-l'Étang située sur la ligne Paris - Longueville - Provins ().

    • direction Paris gare de l'Est ou Provins par Longueville.
    • SEME1 direction Melun, Coulommiers et Rebais aux arrêts pont et gare.

    Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune entre Chaumes-en-Brie au nord-est et Andrezel au sud-ouest.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Vernoilum en 1114[33] ; Vernoil vers 1222 (Livre des vassaux)[34] ; Vernueil en 1260[35] ; Vernuil en 1278[36] ; Verneil en 1362[37] ; Verneul en 1363[38] ; Verneil en Brye lez Chaulmes en 1436[39] ; Verneul l'Estang en 1671[40].

    Le village est mentionné pour la première fois en 1114 sous le nom de Vernoilum. Vern faisant allusion à une forêt d’aulnes.

    Verneuil se décompose en deux éléments gaulois (celtique) : le terme *uerno-[41] « marécage, aulne » (cf. breton gwern, irlandais fern), resté dans les termes dialectaux verne et vergne, sortes d'aulnes. Le second élément est un appellatif toponymique également d'origine celtique *ialon, latinisé en -ialum, et qui signifie initialement « espace découvert par un défrichement », « essart », puis par extension « village » (cf. gallois tir ial « espace découvert ») et qui a donné les finales -ueil / -euil en langue d'oïl et -(u)éjol / -(u)éjoul, etc.[42] en langue d'oc.

    Les communes de Verneuil et l’Étang ont fusionné en 1839, mais l'agglomération ainsi formée prend le nom de Verneuil-l'Étang par le décret du .

    Histoire

    Au milieu du XIXe siècle plusieurs lignes ferroviaires desservent le village. La ligne de Vincennes qui relie Verneuil-l’Etang à Paris est inaugurée en 1892 mais le tronçon desservant la commune est fermé en 1939. Une autre ligne reliant Verneuil-l’Etang à Melun est inaugurée en 1901 et est fermée par la suite. Aujourd'hui la gare conserve son activité grâce à sa position sur la ligne Paris-Mulhouse[43].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Verneuil-l'Étang se trouve dans le département de Seine-et-Marne. Rattachée depuis la Révolution française à l'arrondissement de Melun[44], elle intègre le l'arrondissement de Provins afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités[45].Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Mormant[44]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Nangis.

    Intercommunalité

    La commune était le siège de la petite communauté de communes la Brie centrale, créée fin 2004.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes)[46], la communauté de communes la Brie centrale éclate et Verneuil-l'Étang est membre depuis le de la communauté de communes de la Brie nangissienne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[47]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1925 août 1965 Albert Hubschwerlin[48]
    (1894-1965)
    SFIO Conseiller général de Mormant (1956 → 1965)
    Officier de la Légion d'honneur
    Décédé en fonction
    septembre 1965 mars 1989 Albert Hubschwerlin
    (fils du précédent)
    SFIOPS Agent de presse
    Conseiller général de Mormant (1965 → 1967)
    mars 1989 mars 2008 André Berquier PS Artisan menuisier retraité
    Conseiller général de Mormant (1998 → 2004 et 2006 → 2011)
    mars 2008[49] En cours
    (au 4 juillet 2020)
    Christian Cibier PS Contrôleur de travaux
    Conseiller général de Mormant (2011 → 2015)
    Président de la CC de la Brie centrale (avant 2011 → 2016)
    9e vice-président de la CC de la Brie Nangissiène (2017 → 2020)
    5e vice-président de la CC de la Brie Nangissiène[50] (2020 → )
    Réélu en 2014 et 2020

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [51],[52].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Verneuil-l'Étang gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[53].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[54]. La communauté de communes Brie Nangissienne (CCBN) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2021[53],[55].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP d'Andrezel, Verneuil-l'Etang, Yèbles qui en a délégué la gestion à l'entreprise Aqualter Exploitation, dont le contrat expire le [53],[56],[57].

    Population et société

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[59].

    En 2018, la commune comptait 3 223 habitants[Note 8], en diminution de 0,49 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    239209206206213217266274260
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    284302322314350402434527510
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    584580601605701744711781822
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 1571 2991 7071 9482 5773 1353 0693 0583 203
    2017 2018 - - - - - - -
    3 2373 223-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 126 (dont 62 % imposés), représentant 3 106 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 980 euros[61].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 827, occupant 1 542 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,9 % contre un taux de chômage de 8,3 %. Les 21,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,3 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,9 % de retraités ou préretraités et 5,6 % pour les autres inactifs[62].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de 154 dont 17 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 20 dans la construction, 54 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 5 dans l’Information et communication, 5 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 20 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 19 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 12 étaient relatifs aux autres activités de services[63].

    En 2020, 21 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 18 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[64].

    Les silos de la société des Grands Moulins de Paris dominent le village et la gare.

    Les Grands Moulins de Paris dispose d'une minoterie desservie par la voie ferroviaire.

    Agriculture

    Verneuil-l'Étang est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[65].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[66]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 166 ha en 1988 à 178 ha en 2010[65]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Verneuil-l'Étang, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Verneuil-l'Étang entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[65],[Note 10]
    Nombre d’exploitations (u) 4 4 2
    Travail (UTA) 16 78 4
    Surface agricole utilisée (ha) 665 459 355
    Cultures[67]
    Terres labourables (ha) 665 451 s
    Céréales (ha) 438 231 s
    dont blé tendre (ha) 276 144 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 121 s
    Tournesol (ha) 60
    Colza et navette (ha) s s
    Élevage[65]
    Cheptel (UGBTA[Note 11]) 35 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Parc du château de Vernouillet,  Inscrit MH[68] ;
    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Verneuil, reconstruite au XIXe siècle, auquel il convient d’ajouter le patrimoine mobilier classé suivant :
      • Fauteuil de célébrant (Choeur )[69] ;
      • Tableau représentant l'apparition de la Vierge à saint Bernard dit Vision de saint Bruno (Mur ouest de la chapelle sud du transept)[70] ;
      • Tableau de Assomption (Tribune)[71] ;
    • Ancienne église Saint-Louis de l'Étang de Vernouillet, bâtie et érigée en cure au XVIIe siècle, aujourd'hui disparue.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Nature en attente de mise à jour.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    9. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    11. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Verneuil-l'Étang - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Verneuil-l'Étang » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 9 mai 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru d'Avon (F4800600) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de Vernouillet (F4806000) » (consulté le ).
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 23 Novembre 2018
    6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    7. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    8. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Verneuil-l'Étang et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Verneuil-l'Étang », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Verneuil-l'Étang », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des espaces protégés sur la commune de Verneuil-l'Étang », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Verneuil-l'Étang », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Site territoires-fr.fr consulté le 7 février 2020 sous le code commune 77493.
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    28. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    29. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    30. « PLUi de la CC des 2 Morin », sur participation.institut-auddice.com (consulté le ).
    31. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    32. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 22 mai 2020
    33. Archives nationales, S 2285b, n° 13.
    34. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 556.
    35. Cartulaire Renier Accorre, fol. 3 v°.
    36. Archives nationales, S 2147.
    37. Archives nationales, P 471, n° 463.
    38. Archives nationales, P 471, n° 477.
    39. Archives nationales, P 8, n° 2788.
    40. Archives nationales, Q1 1410.
    41. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise : Description linguistique, commentaire d'inscriptions choisies, Paris, Éditions Errance, coll. « Hespérides », 1994, 239 p. (ISBN 2-87772-089-6).
    42. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Éditions Errance, coll. « Hespérides », 2003, 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 185.
    43. Histoire de la commune sur le site officiel
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. « Arrêté du 30 décembre 2016 du préfet de la région d'Île-de-France portant modification des limites territoriales des arrondissements du département de Seine-et-Marne », Recueil des actes administratifs de la préfecture d'Île-de-France, no spécial IDF-001-2017-01, , p. 11-23 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    46. « Carte des intercommunalités : le projet du préfet dévoilé aux élus », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
    47. « Les maires de Verneuil-l'Étang », sur http://www.francegenweb.org/mairesgenweb (consulté le ).
    48. « Hubschwerlin Albert Aimé », base Léonore, ministère français de la Culture.
    49. « Christian Cibier (PS) succède encore à André Berquier », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Il avait déjà propulsé son ancien premier adjoint à la tête de la mairie de Verneuil-l'Etang en 2008 ».
    50. Composition du bureau communautaire, sur brienangissienne.fr
    51. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    52. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    53. « Commune de Verneuil-l'Étang - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    54. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    55. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    56. « SIAEP d'Andrezel, Verneuil- l'Etang, Yèbles - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    57. « SIAEP d'Andrezel, Verneuil- l'Etang, Yèbles - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    58. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    59. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    60. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    61. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 9 mai 2021.
    62. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 9 mai 2021.
    63. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 9 mai 2021.
    64. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 9 mai 2021.
    65. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Verneuil-l'Étang. », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    66. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    67. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Verneuil-l'Étang. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    68. Notice no IA77000380, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    69. Notice no PM77004685, base Palissy, ministère français de la Culture.
    70. Notice no PM77004684, base Palissy, ministère français de la Culture.
    71. Notice no PM77004683, base Palissy, ministère français de la Culture.
    • Portail de Seine-et-Marne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.