Valavoire

Valavoire est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Valavoire (homonymie).

Valavoire

Le village de Valavoire.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Forcalquier
Intercommunalité Communauté de communes du Sisteronais-Buëch
Maire
Mandat
Hervé Miran
2020-2026
Code postal 04250
Code commune 04228
Démographie
Population
municipale
39 hab. (2018 )
Densité 2,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 48″ nord, 6° 04′ 01″ est
Altitude Min. 696 m
Max. 1 885 m
Superficie 16,81 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Seyne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Valavoire
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Valavoire
Géolocalisation sur la carte : France
Valavoire
Géolocalisation sur la carte : France
Valavoire

    Géographie

    Valavoire et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village est situé à 1 200 m d’altitude[1].

    Les communes limitrophes de Valavoire sont Clamensane, Bayons, Authon, Saint-Geniez et Châteaufort.

    Géologie

    Massif des Alpes et localisation des Préalpes de Digne

    Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[2] :

    • la nappe de Digne à l'est[3], au niveau du lobe de Valavoire[4] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
    • la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée.

    Climat

    Les stations météos proches de Valavoire sont, par ordre de proximité, celles de La Motte-du-Caire (une station automatique et une station manuelle), Bayons (une station manuelle), Sisteron et Thoard[5].

    Relevé météorologique de la région de Sisteron
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 0,5 3 5,4 9,1 12,7 15,4 15,3 12 8,2 3,7 1,1 7,2
    Température moyenne (°C) 4,3 5,7 8,7 11,2 15,3 19,2 22,4 22,1 18 13,4 8,2 5,2 12,8
    Température maximale moyenne (°C) 8,6 10,9 14,4 16,9 21,4 25,7 29,3 28,9 24 18,5 12,6 9,3 18,4
    Précipitations (mm) 26,9 24,3 23,8 44 40 27,9 20,9 32,7 45,9 53,5 52,4 30,7 423
    Source : Relevé météo de Sisteron[6][réf. à confirmer]
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
     
     
     
    8,6
    0
    26,9
     
     
     
    10,9
    0,5
    24,3
     
     
     
    14,4
    3
    23,8
     
     
     
    16,9
    5,4
    44
     
     
     
    21,4
    9,1
    40
     
     
     
    25,7
    12,7
    27,9
     
     
     
    29,3
    15,4
    20,9
     
     
     
    28,9
    15,3
    32,7
     
     
     
    24
    12
    45,9
     
     
     
    18,5
    8,2
    53,5
     
     
     
    12,6
    3,7
    52,4
     
     
     
    9,3
    1,1
    30,7
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Risques majeurs

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de La Motte-du-Caire auquel appartient Valavoire est en zone 1a (sismicité très faible mais non négligeable) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Valavoire est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

    • feu de forêt ;
    • inondation ;
    • mouvement de terrain.

    La commune de Valavoire n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[9] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] et le Dicrim n’existe pas non plus[10].

    La commune a été l’objet de deux arrêtés de catastrophe naturelle en 1994, pour des inondations, des coulées de boue et des glissements de terrain[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Valavoire est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (45,8 %), forêts (30,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1030 (de Valadoria), fait l’objet de différentes interprétations :

    • pour Charles Rostaing, il est formé des racines Val et *Tor-, montagne[18],[19] ;
    • pour Ernest Nègre, il est le pluriel du bas-latin Vallatorium, désignant un auvent, un avant-toit. Le nom du village viendrait donc d’une maison en possédant un[20].

    Histoire

    Dans l’Antiquité, le territoire de Valavoire fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), dont le territoire s’étend du sud des Baronnies à la Durance, et recouvre une partie du massif des Monges. Les Sogiontiques sont fédérés aux Voconces, et après la conquête romaine, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ils sont détachés des Voconces et forment une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)[21].

    La localité est signalée pour la première fois dans les chartes en 1030[22].

    L’église Saint-Pierre relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille aux XIe et XIIe siècles[22]. La communauté relevait de la baillie de Sisteron[22].

    Durant la Révolution, le château est dévasté par les paysans, et le seigneur est dépouillé de ses réserves de grain[23] en [24]. La commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[25]. Le château est entièrement démoli sous la Révolution[26].

    Au XIXe siècle, Valavoire est l’une des dernières communes de la région à se doter d’une école : lors de l’enquête de 1863, elle est parmi les 17 communes du département (sur 245) à ne pas en posséder[27]. La commune en construit une dans les années qui suivent cette enquête, la deuxième loi Duruy (1877) lui permettant ensuite d’améliorer son école[28].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture a depuis été abandonnée[29].

    Politique et administration

    Administration municipale

    De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 9 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[30]). Lors du scrutin de 2008, il y eut deux tours (six élus au premier tour et trois au second) et Albert Martre a été élu conseiller municipal au premier tour avec le meilleur 42 voix, soit 85,71 % des suffrages exprimés. La participation a été de 98,00 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[31].

    Liste des maires

    L'élection du maire est la grande innovation de la Révolution de 1789. De 1790 à 1795, les maires sont élus au suffrage censitaire pour 2 ans. De 1795 à 1800, il n’y a pas de maires, la commune se contente de désigner un agent municipal qui est délégué à la municipalité de canton.

    En 1799-1800, le Consulat revient sur l'élection des maires, qui sont désormais nommés par le pouvoir central. Ce système est conservé par les régimes suivants, à l'exception de la Deuxième République (1848-1851). Après avoir conservé le système autoritaire, la Troisième République libéralise par la loi du l'administration des communes : le conseil municipal, élu au suffrage universel, élit le maire en son sein.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945   Élie Silve[32]    
             
    avant 2005 mars 2008 Gilbert Gras    
    mars 2008 2014 Albert Martre[33]    
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Daniel Dhal[34]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Valavoire fait partie :

    Instances judiciaires et administratives

    Valavoire est une des 34 communes du canton de Seyne depuis 2015, qui totalise 8 377 habitants en 2012. La commune fait partie de l’arrondissement de Sisteron du au , date de son rattachement à l'arrondissement de Forcalquier, et de la deuxième circonscription des Alpes-de-Haute-Provence. Valavoire fait partie du canton de La Motte-du-Caire de 1801 à 2015, après avoir fait partie du canton de Saint-Geniez de 1793 à 1801[35]. La commune fait partie des juridictions d’instance et prud'homale de Manosque, et de grande instance de Digne-les-Bains[36].

    Fiscalité locale

    L'imposition des ménages et des entreprises à Valavoire en 2009[37]
    Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
    Taxe d'habitation 2,60 %0,64 %5,53 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties 6,60 %2,25 %14,49 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties 31,75 %6,44 %47,16 %8,85 %
    Taxe professionnelle 7,28 %1,28 %10,80 %3,84 %

    La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[38]).

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

    En 2018, la commune comptait 39 habitants[Note 2], en diminution de 4,88 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    229267218250263234237203217
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    218215200185164156160183179
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    1371571551461311041037561
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
    976945364540273435
    2008 2013 2018 - - - - - -
    364139------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Évolution démographique
    1315 1471
    37 feux13 feux
    (Sources : Daniel Thiery pour l’Ancien Régime[22])

    L'histoire démographique de Valavoire, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu'au début du XIXe siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1856. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1821[42]. Le mouvement de baisse ne semble stoppé qu'au début du XXIe siècle.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune ne dispose pas d'école primaire publique[43]. Au niveau secondaire, les élèves sont affectés au collège Marcel-Massot[44]. Puis ils poursuivent au lycée de la cité scolaire Paul Arène à Sisteron[45],[46].

    Économie

    Agriculture

    Les agriculteurs de la commune de Valavoire ont droit à un label appellation d'origine contrôlée (AOC) (huile essentielle de lavande de Haute-Provence) et à neuf labels indication géographique protégée (IGP) (pommes des Alpes de Haute-Durance, miel de Provence, agneau de Sisteron, alpes-de-haute-provence (IGP) blanc, rouge et rosé et VDP de Méditerranée blanc, rouge et rosé)[47].

    Productions agricoles de Valavoire[réf. nécessaire].

    Lieux et monuments

    Le « château de la Molle » est un spectaculaire décrochement rocheux de la montagne de Jouère. On y passe pour accéder, à partir du village, à la croix Saint-Jean qui culmine à 1 886 mètres sur le chemin de crête menant au sommet des Monges (2 115 mètres).

    L’église paroissiale Saint-Pancrace date du XIIIe siècle. D’abord placée sous l’invocation de la Vierge, on lui adjoint comme patron saint Pancrace, qui devient titulaire au XVIIIe siècle[22]. D’architecture romane, elle a été modifiée et restaurée plusieurs fois (dont une fois en 1969). La nef compte deux travées voûtées en berceau[48]. Le tableau de la Crucifixion, date de la fin du XVIe siècle ou du début du suivant, dans un style archaïque et raide[49]. Des bancs anciens ont été classés monuments historiques au titre objet, puis déclassés[50].

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à un sautoir d'or, accompagné de la lettre V d'argent, au flanc dextre et de la lettre L du même, au flanc senestre[51].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

      Notes

      1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

      Références

      1. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
      2. Maurice Gidon, Les chaînons de Digne, carte schématique montrant les rapports entre les chaînons des Baronnies orientales (moitié nord) et ceux de Digne (moitié sud), avec l'avant-pays de la nappe de Digne (partie occidentale).
      3. Carte géologique de la France au 1:1 000 000
      4. Maurice Gidon, La Nappe de Digne et les structures connexes.
      5. Météo-France, « Réseau des postes du Sud-Est », Climathèque, consultée le 11 mars 2013
      6. « Relevé météo de Sisteron », MSN Météo
      7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
      8. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 septembre 2012
      9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
      10. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 septembre 2012
      11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      18. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p
      19. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 32.
      20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 5924, p 381
      21. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 18-19
      22. Daniel Thiery, « Valaloire (sic) », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 23 décembre 2011, mis à jour le 24 décembre 2011, consulté le 2 septembre 2012
      23. André Lombard, « Violences et troubles de 1789 à l’An VI », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 158.
      24. La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 15.
      25. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
      26. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 243.
      27. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
      28. Labadie, op. cit., p. 11.
      29. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe-XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
      30. « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance
      31. « Résultats élections municipales 2008 à Valavoire », sur linternaute.com
      32. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 3 avril 2014.
      33. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Sourribes à Volx (liste 8), consulté le 10 mars 2013
      34. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
      35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      36. « Les Juridictions judiciaires des Alpes-de-Haute-Provence », Ministère de la Justice et des Libertés
      37. « Impôts locaux à Valavoire », taxes.com
      38. Loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
      39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      42. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
      43. « Établissement primaires publics des Alpes-de-Haute-Provence », Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence
      44. « Sectorisation des collèges des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille,
      45. « Sectorisation des lycées des Alpes-de-Haute-Provence », Académie Aix-Marseille,
      46. « Site de la cité scolaire Paul-Arène », Académie Aix-Marseille,
      47. « Liste des appellations AOC et IGP à Valavoire », sur INAO
      48. Raymond Collier, op. cit., p 119
      49. Raymond Collier, op. cit., p 477
      50. Classement en 1978, Raymond Collier, op. cit., p 517
      51. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
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