Un réveillon

Un réveillon est initialement publiée dans la revue Gil Blas du 5 janvier 1882, sous le pseudonyme de Maufrigneuse, puis dans le recueil Mademoiselle Fifi en 1882[1].

Le narrateur chasse depuis un mois chez son cousin en Normandie. Entendant sonner les cloches, ils réalisent que c'est le jour du réveillon de la nouvelle année. La bonne leur précise alors que ces cloches sonnent aussi en raison de la mort d'un berger apprécié des environs, le Père Fournel. Après avoir assisté à la messe, les deux hommes vont apporter leurs condoléances au petit-fils du défunt et son épouse, ces gens dînent sur un coffre faisant usage de table.

Quand ils veulent voir le défunt pour lui rendre un dernier hommage, les parents du mort sont gênés, il faut même élever la voix pour que la femme accepte de leur montrer le vieux berger qui est dans le coffre qui leur sert de table à manger.

Elle s'excuse, mais ils n'ont qu'un lit, avant ils couchaient tous les trois dans le même lit, mais maintenant le mort n'a que faire du confort. Le cousin, excédé, part en claquant la porte alors que le narrateur part riant aux larmes!!!

• Un réveillon, Maupassant, contes et nouvelles, texte établi et annoté par Louis Forestier, Bibliothèque de la Pléiade, éditions Gallimard, 1974 (ISBN 978 2 07 010805 3).

• Un Réveillon Œuvres complètes de Guy de Maupassant, volume 4, Edition L. Conard sur Projet Gutenberg

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