Touvre

Touvre est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Touvre (homonymie).

Touvre

Mairie de Touvre.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Brigitte Baptiste
2020-2026
Code postal 16600
Code commune 16385
Démographie
Gentilé Tolvériens
Population
municipale
1 164 hab. (2018 )
Densité 128 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 43″ nord, 0° 15′ 35″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 161 m
Superficie 9,06 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Touvre-et-Braconne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Touvre
Géolocalisation sur la carte : Charente
Touvre
Géolocalisation sur la carte : France
Touvre
Géolocalisation sur la carte : France
Touvre
Liens
Site web www.touvre.fr

    Elle est située à l'est de l'agglomération de la ville d'Angoulême, et les sources de la Touvre sont sur son territoire.

    Ses habitants sont les Tolvériens et les Tolvériennes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Touvre est une commune située à km à l'est d'Angoulême dont elle fait partie de la Communauté d'agglomération. Elle est située aux sources de la Touvre.

    Touvre est aussi situé à km au sud-est de Ruelle dont elle fait partie du canton[2].

    La D 699, route d'Angoulême à Montbron, ancienne N.699, traverse la commune du sud-ouest au nord-est. La commune est aussi desservie par la D 23 qui va de Champniers et Ruelle à Sainte-Catherine et qui longe la rive gauche de la Touvre, et la D 57 qui passe sur la rive droite. La D 408, perpendiculaire, longe la D 699, va de L'Isle-d'Espagnac et Magnac (Bellevue) au Pontil (commune de Touvre). La route forestière de Bois-Blanc la prolonge vers l'est en direction du Quéroy.

    La voie ferrée d'Angoulême à Limoges traverse aussi la commune, mais sans arrêt ni gare. Touvre est cependant desservie par les transports en commun d'Angoulême (ligne 26 de la STGA, en direction de Ruelle).

    Hameaux et lieux-dits

    La commune ne possède pas de bourg proprement dit, mais des hameaux disséminés dans les vallées de la Touvre et de l'Échelle.

    L'église et l'ancien château sont situés sur le promontoire dominant les sources de la Touvre et à l'écart des voies de communication. La mairie et les écoles sont situés au Pontil, près des sources de la Touvre, de la voie ferrée et de la route de Bois-Blanc.

    Les hameaux de la Lèche, les Gauchons, les Varennes et Trotte-Renard s'échelonnent en remontant la vallée de l'Échelle au sud de la commune.

    Au nord de la commune on trouve la Maillerie au pont de la D 699 sur la Touvre en limite avec Magnac, et Fourville en limite avec Mornac.

    On a aussi Beauregard à l'est et à l'ouest les Chatins et les Cailloux. Ces hameaux anciens sont souvent entourés par des lotissements récents.

    Le Pré de la Cure situé sur la berge sud de la Touvre héberge le stade communal, des tennis et un agréable espace vert.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Touvre
    Ruelle-sur-Touvre
    Magnac-sur-Touvre Mornac
    Garat

    Géologie et relief

    Comme une grande partie du département, la commune est sur le sol calcaire du Bassin aquitain. Elle est entièrement dans le Jurassique (Oxfordien à l'est et Kimméridgien à l'ouest et au nord), et le Crétacé commence à l'ouest juste en dehors de la commune avec les hauteurs de Magnac et une faille importante d'orientation nord-ouest sud-est qui longe la vallée de l'Échelle[3],[4],[5].

    Une autre faille perpendiculaire, d'orientation nord-est sud-ouest, traverse le nord-ouest de Bois Blanc et arrive au Pontil. Elle a donné naissance aux sources de la Touvre, car une épaisseur de 500 m de marnes du Kimméridgien inférieur imperméable barre la route à l'écoulement souterrain des eaux et les oblige à remonter à la surface. L'est de cette faille est du Jurassique plus ancien (Oxfordien), plus kartstique[6].

    Le calcaire a alimenté des fours à chaux au nord de la commune à Fourville, dont un communal qui a fonctionné de 1928 à 1988[7], et une importante carrière au sud dans la vallée de l'Échelle.

    Le relief est assez important à l'est de la commune, occupé par le massif forestier de Bois Blanc. C'est en limite de commune avec Mornac, au cœur de cette forêt, que se trouve le point culminant de 161 m. De ce plateau descendent des vallées sèches assez encaissées vers les vallées de l'Échelle et de la Touvre, qui occupent la moitié ouest de la commune. Entre ces vallées se trouvent des promontoires dominant la vallée de la Touvre et sur un desquels a été construit le bourg qui culmine à 92 m. Le promontoire du Peux, plus au nord, forme le prolongement ouest du Plantier de Mornac et domine aussi la Maillerie et la Touvre. Le point le plus bas de la commune, 42 m, est situé au pied sur la Touvre et en limite avec Ruelle. Les sources de la Touvre sont à 47 m d'altitude[8].

    Hydrographie

    La Touvre et ses sources, deuxième résurgence de France, sont dans la commune. La Touvre est une courte rivière qui se jette dans la Charente. Elle est aussi large à sa source qu'à son confluent. C'est à ces sources pures et constantes que se situe la station de pompage alimentant en eau une grande partie de l'agglomération angoumoisine.

    L'Échelle passant sous la voie ferrée.

    L'Échelle, ruisseau qui prend sa source à Dignac, se jette dans la Touvre au niveau de ses sources et de la Lèche, au niveau d'une pisciculture alimentée par cette dernière.

    Le reste de la commune, de nature karstique, n'offre pas d'autre cours d'eau.

    Végétation

    L'est de la commune est couvert par la forêt domaniale de Bois Blanc.

    Climat

    Le climat est océanique aquitain, comme une grande partie du département, et il est semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Touvre est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[13] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (43 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,4 %), terres arables (28,9 %), zones urbanisées (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), eaux continentales[Note 3] (2,2 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté sous la forme ancienne Tolvera en 1319[19].

    Selon un processus courant en toponymie, le nom du village de Touvre est emprunté à celui de la rivière éponyme[20].

    Histoire

    Antiquité

    Le chemin des Anglais, ancienne voie romaine d'Angoulême à Limoges, traversait la commune d'ouest en est. Elle empruntait la route forestière de Bois Blanc, qui s'appelait autrefois chemin ferré, et au bord de laquelle on a trouvé une ruine et des tuiles gallo-romaines[21].

    Cette route (la D 408 actuelle et la route forestière) a été la route d'Angoulême à Montbron avant le XXe siècle et la construction de la route actuelle par Mornac. Le hameau le Pontil étalé le long de cette route et où se trouvent la mairie et l'école s'appelait alors Chez Lorin[22].

    Quelques tombeaux antiques ont été retrouvés sur la commune, de l'époque Tène III (près de Bois Blanc) et de l'époque romaine (à Longevinière)[23].

    Moyen Âge

    Entrée d'un ancien souterrain, au pied du château.

    Guillaume Taillefer, évêque d'Angoulême, a bâti le château vers 1049 pour se défendre de son frère le comte Foulques. C'était alors une forteresse. À la mort de Guillaume, le château revint aux comtes d'Angoulême, mais une partie des terres demeurera jusqu'à la Révolution propriété de l'évêque, qui avait aussi le titre de baron de Touvre.

    À la mort de Guy de Lusignan en 1308 qui marquait le rattachement de l'Angoumois à la couronne de France, le château devint la propriété des rois de France qui y placèrent une garnison et un gouverneur.

    En 1360 le château comme tout le comté est repassé aux mains des Anglais avec le traité de Brétigny. Le , Jean Chandos, lieutenant du roi Édouard III d'Angleterre et connétable d'Aquitaine, chargé d'appliquer le traité de Brétigny en particulier en Angoumois, prend possession du château de Touvre. Il en confie la garde à Helionet Servieau, châtelain du lieu, après lui avoir fait faire serment de fidélité au roi d'Angleterre[24].

    En 1387 les Anglais sont chassés par le maréchal de Sancerre, qui démantèle le château, dont les débris demeurent la propriété des rois de France. Ce qui reste du château est vendu à divers propriétaires de la région et en 1738 son propriétaire reconstruit un autre château plus modeste à côté. En 1779 peu avant la Révolution, le comte d'Artois revendique son droit de propriété, mais les ruines du château sont vendues comme bien national à la Révolution. Aujourd'hui il ne reste plus que des vestiges insignifiants de ce château. On trouve encore à son pied le moulin du Roy[22].

    Au cours du Moyen Âge, Touvre se trouvait aussi sur un itinéraire secondaire est-ouest entre Montbron et Angoulême fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[25].

    L'état des paroisses de 1686 précise que l’évêque d’Angoulême est le seigneur de cette pauvre paroisse de 44 feux dont la terre est ingrate[26].

    Les registres de l'état civil remontent à 1643[22].

    Temps modernes

    La voie ferrée de Limoges et l'ancienne bifurcation vers Ribérac à gauche.

    En 1875, avec l'arrivée du chemin de fer, la ligne d'Angoulême à Limoges traverse la commune ainsi que celle d'Angoulême à Périgueux qui bifurquait au Pontil pour s'engager dans la vallée de l'Échelle après 1894. La gare de Touvre est en limite avec la commune de Magnac et la gare s'appelle Magnac - Touvre. Cette même gare sera desservie par le chemin de fer à voie métrique le petit Mairat d'Angoulême à Montbron et Roumazières, entré en fonction en 1912, et qui passe à côté des sources de la Touvre pour se diriger vers Mornac. Hormis la ligne d'Angoulême à Limoges, ces voies ferrées seront abandonnées et déposées vers 1950. La gare ne sera plus desservie du tout à partir des années 1980.

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par la minoterie du Pontil, par l'ancien Moulin du Roy transformé en boulangerie, par la papeterie de la Maillerie et par des fours à chaux situés à Fourville et aux Villars[22],[Note 4].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1997 2008 Michel Humeau DVG  
    2008 En cours Brigitte Baptiste DVG-PS Agent communal, conseillère départementale (suppléante) depuis 2021

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 1 164 habitants[Note 5], en diminution de 4,9 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    245276226282274325334319319
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    380347376397422459549504492
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    530571489461504534479471567
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    6047859331 0201 0241 0901 1001 1091 224
    2018 - - - - - - - -
    1 164--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Touvre en 2007 en pourcentage[31].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,9 
    5,4 
    75 à 89 ans
    5,8 
    15,9 
    60 à 74 ans
    16,4 
    25,5 
    45 à 59 ans
    23,6 
    20,7 
    30 à 44 ans
    21,1 
    14,4 
    15 à 29 ans
    14,6 
    17,9 
    0 à 14 ans
    17,6 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[32].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Touvre possède une école primaire publique comprenant quatre classes (une de maternelle et trois d'élémentaire); elle est située route de Bois Blanc. Le collège public du secteur est à Ruelle-sur-Touvre[33].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église Sainte-Madeleine.

    L'église paroissiale Sainte-Madeleine domine les sources de la Touvre sur un éperon où se situait jadis aussi le château. Elle date du XIIe siècle et présente dans la nef quatre chapiteaux inscrits monuments historiques par arrêté du et le portail a été inscrit en 1949[34].

    Sa cloche date de 1536 et il y est gravé « I.IHS. M.LAN. MIL. V.XXX. VI. S.MARIA. MAGDALENA. S.BARBARA. ORATE. PRO. NOBIS. ». Elle est classée monument historique au titre objet depuis 1939[35].

    Patrimoine civil

    Lavoir de la Lèche.
    • Du château féodal, appelé à tort château de Ravaillac, il ne reste que des fondations.
    • Le lavoir de la Lèche, situé à la source de la Lèche a été construit vers 1933 sur l’emplacement d’un lavoir plus ancien. Celui du Pontil a été construit en 1925 et ceux sur l’Échelle aux Gauchons et aux Varennes datent d'après 1930[37].
    • Le moulin de Lussac, ancienne minoterie du Pontil est situé sur le site de la pisciculture Ravenel.
    • Le moulin de la Maillerie est un ancien moulin à blé transformé à la fin du XIXe siècle en cartonnerie puis en usine de caoutchouc avec une partie des bâtiments en ruine[38].
    • Le moulin du Roy était un ancien moulin à blé qui est devenu la pisciculture Bellet[39].

    Patrimoine environnemental

    Sources de la Touvre.

    Les sources de la Touvre sont la deuxième résurgence de France.

    Le GR 4 de Royan à Grasse et le GR 36 de la Manche aux Pyrénées font trajet commun à l'ouest de la commune pour contourner Angoulême par le sud, et se séparent à l'est en arrivant dans la forêt de Bois-Blanc.

    Personnalités liées à la commune

    • François Ravaillac, assassin du roi Henri IV est dit né à Touvre en 1578 dans certains écrits. Cette légende repose sur le fait qu'il existe à Touvre une maison que la tradition populaire appelle "le château de Ravaillac", mais qui n'a jamais appartenu à la famille Ravaillac. En réalité, il est né à Angoulême, où sa famille était établie depuis plusieurs générations[40].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à trois poissons d'argent, rangés en pal, surmontés d'un croissant posé en bande du même, lui-même surmonté d'une couronne murale d'argent. [41].
    Commentaires : Blason de Touvre.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Ce dernier site des Villars n'est ni mentionné sur la carte IGN ou d'État-Major, ni connu par la mairie de Touvre. Toutefois, il fait l'objet d'une fiche du BRGM (POC1600829) d'une société de 1923, et il est mentionné par Martin-Buchey en 1914.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    6. [PDF] BRGM, « Angoumois, Jurassique karstique, géologie et hydrogéologie » (consulté le )
    7. Journal Sud Ouest, « Une nouvelle vie pour le four à chaux », (consulté le )
    8. « Touvre » sur Géoportail.
    9. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 58
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 682.
    21. mairie de Touvre, « La forêt de Bois Blanc », (consulté le )
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 388-389
    23. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 224
    24. Procès-verbal de délivrance à Jean Chandos, commissaire du roi d’Angleterre, des places françaises abandonnées par le Traité de Brétigny, d’après le manuscrit du Musée Britannique - A. Bardonnet - Niort - 1867 Histoire passion
    25. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9
    26. Histoire passion
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Evolution et structure de la population à Touvre en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
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    34. « Église de Touvre », notice no PA00104524, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Cloche de l'église », notice no PM16000290, base Palissy, ministère français de la Culture
    36. « Logis de la Lèche », notice no PA00132779, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. Site de la commune
    38. « Moulin de la Maillerie », notice no IA00066411, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Moulin du Roy », notice no IA00066410, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « La fausse patrie de Ravaillac », Charente libre, (lire en ligne)
    41. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=17792
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