Synagogue Beit T'shuva de Birobidjan

La synagogue Beit T'shuva (russe : Синагога Бейт-Тшува ; yiddish : בית תשובה שול ; hébreu : בית הכנסת בית תשובה) se trouve à Birobidjan dans l'oblast autonome juif, en Russie. Elle est considérée comme la « vieille synagogue de Birobidjan » car elle est la plus ancienne de la ville, ouverte en 1986[1]. Elle se trouve cependant dans une simple maison en bois de style sibérien[2], rue Maïakovski[1].

La communauté est dirigée par le rabbin Boris « Dov » Kaufman. Le culte comporte des éléments de traditions juive et chrétienne jusqu'en 2005, date à laquelle il devient strictement juif[3]^,[4]^,[5]. La communauté Beit T'shuva fait partie du Congrès des organisations et des communautés juives religieuses de Russie[6].

En 2010, The Christian Science Monitor rapporte que la synagogue Beit T'shuva est un lieu de rencontre entre Juifs et non-juifs[7].

En 2017, la synagogue, dans un état critique, est rénovée grâce à un financeur local[1].

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Beit T'shuva » (voir la liste des auteurs).

(en) Vadim Stein, « Старейшая биробиджанская синагога получила «вторую жизнь» », sur dvnovosti.ru,‎ 9 septembre 2017.
(ru) Vladimir Ivachtchenko, « Не было ни одного раввина, а теперь сразу два », Kommersant, Birobidjan, n^o 159,‎ 4 septembre 2001 (lire en ligne) :
« Правда, пока у биробиджанского раввина все-таки нет настоящей, построенной в соответствии с заповедями синагоги. Он принимает прихожан в обычной бревенчатой избе, купленной много лет назад для немногочисленных [...]. »
.
(en) Lisa Dickey, « Birobidzhan - Back to the Synagogue », Russian Chronicles, blog du Washington Post, 12 septembre 2007.
(en) Steve Nettleton, « Emigration to Israel empties 'homeland' for Jews contrived in the Stalinist era » [archive du 27 novembre 2007], Exodus from the east, CNN, 2001.
(en) Colin McMahon, « Jewish Republic Struggles to Retain Identity » [archive du 9 janvier 2008], Chicago Tribune, 7 avril 2001.
(ru) « БИРОБИДЖАН :: община », sur base.ijc.ru,‎ archive du 12 janvier 2011 (consulté le 18 février 2019).
(en) Alfonso Daniels, « Why some Jews would rather live in Siberia than Israel », The Christian Science Monitor, Birobidjan,‎ 7 juin 2010 (lire en ligne).

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[dvnovosti-1] (en) Vadim Stein, « Старейшая биробиджанская синагога получила «вторую жизнь» », sur dvnovosti.ru,‎ 9 septembre 2017.

[2] (ru) Vladimir Ivachtchenko, « Не было ни одного раввина, а теперь сразу два », Kommersant, Birobidjan, n^o 159,‎ 4 septembre 2001 (lire en ligne) :
« Правда, пока у биробиджанского раввина все-таки нет настоящей, построенной в соответствии с заповедями синагоги. Он принимает прихожан в обычной бревенчатой избе, купленной много лет назад для немногочисленных [...]. »
.

[3] (en) Lisa Dickey, « Birobidzhan - Back to the Synagogue », Russian Chronicles, blog du Washington Post, 12 septembre 2007.

[4] (en) Steve Nettleton, « Emigration to Israel empties 'homeland' for Jews contrived in the Stalinist era » [archive du 27 novembre 2007], Exodus from the east, CNN, 2001.

[5] (en) Colin McMahon, « Jewish Republic Struggles to Retain Identity » [archive du 9 janvier 2008], Chicago Tribune, 7 avril 2001.

[6] (ru) « БИРОБИДЖАН :: община », sur base.ijc.ru,‎ archive du 12 janvier 2011 (consulté le 18 février 2019).

[7] (en) Alfonso Daniels, « Why some Jews would rather live in Siberia than Israel », The Christian Science Monitor, Birobidjan,‎ 7 juin 2010 (lire en ligne).