Solers

Solers est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Solers

La place de la mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Gilles Groslevin
2020-2026
Code postal 77111
Code commune 77457
Démographie
Gentilé Solersois
Population
municipale
1 186 hab. (2018 )
Densité 189 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 28″ nord, 2° 43′ 01″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 102 m
Superficie 6,28 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Coubert
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Solers
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Solers

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Solers dans le département de Seine-et-Marne.

    Solers se situe à environ 10 km au sud-est de Brie-Comte-Robert.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 62 mètres à 102 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 91 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Solers.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,96 km[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,2 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,3 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 715 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,6 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] à 11,6 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Solers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Coubert, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[21] et 5 102 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 70 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés[26].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,5% ), forêts (16,3% ), zones urbanisées (9,1 %)[27].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 537 dont 84,1 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 15,7 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84,4 % contre 14,8 % de locataires et 0,8 % logés gratuitement[31].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars du réseau Transdev No 30A (Tournan-en-Brie – Melun)[32].

    Toponymie

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    Sollarium (vers 1100) ; Solerre (1248) ; Solerrium (1264) ; Solorra, Solairia, Soulloire en la chastelerie de Meleun (1320) ; Soloirre, Soloerre, Soloiere, Solorre (1370) ; Solairre (1384) ; Soulleres (1454) ; Soullerre ou pays de Brye (1494) ; Sollerre en Brye (1669) ; Soulers (1669) ; Soullaire (1682) ; Soullers (1720) ; Sollers (1723) ; Soleire en Brie (1756) ; Soulaire ou Soulerre (XVIIIe siècle) ; Soleres (1788)[réf. nécessaire].

    Histoire

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    En 1789, Solers faisait partie de l'élection de Rozay et de la généralité de Paris et était régi par la coutume de Melun[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Claude Magnin PCF  
     ? En cours Gilles Groslevin    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [33],[34].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Solers est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [35],[36],[37].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[38]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[35],[39].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [35],[40].

    Population et société

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

    En 2018, la commune comptait 1 186 habitants[Note 6], en diminution de 5,95 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    376431396355386332334320325
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    290288318308320302341378339
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    330326329275333331339360372
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    4204015036921 0991 2431 2791 2841 288
    2013 2018 - - - - - - -
    1 2611 186-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 491, représentant 1 285 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 740 euros[45].

    Emploi

    En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 95, occupant 601 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 74,6 % contre un taux de chômage de 5,1 %. Les 20,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8,3 % de retraités ou préretraités et 3,9 % pour les autres inactifs[46].

    Entreprises et commerces

    En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 73 dont 6 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 16 dans la construction, 16 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 5 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 9 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 10 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 8 étaient relatifs aux autres activités de services[47].

    En 2020, 16 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 15 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[48].

    Agriculture

    Solers est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[49].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[50]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 5 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 133 ha en 1988 à 252 ha en 2010[49]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Solers, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Solers entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[49],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 5 4 3
    Travail (UTA) 29 9 7
    Surface agricole utilisée (ha) 666 756 756
    Cultures[51]
    Terres labourables (ha) 664 753 750
    Céréales (ha) 427 s s
    dont blé tendre (ha) 269 324 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 118 96 s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) s 43 s
    Élevage[49]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 42 1 2

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux remarquables

    La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[52].

    Autres monuments

    • L'église Saint-Martin-et-Saint-Bruno, auquel il convient d’ajouter le patrimoine mobilier classé suivant :
      • Statue de Saint Martin (Au fond de la nef )[53] ;
      • Tableau de Saint François [54] ;
      • Tableau de Saint Martin [55] ;
      • Ciborium (trompe-l'oeil) (Choeur)[56] ;
      • Statue de Saint Bruno (Au fond de la nef)[57] ;
      • Cloche en bronze[58] ;
      • Tableau du maître-autel, cadre : La Vierge et saint Joseph retrouvant Jésus dans le Temple (Choeur)[59] ;
      • Tableau : Jésus chez Marthe et Marie (Nef, mur nord, au-dessus de la porte d'entrée)[60] ;
      • Confessionnal (Nef)[61] ;
      • Autel (maître-autel) (Choeur)[62] ;
      • Tableau : Saint Bruno (À droite du maître-autel)[63] ;
      • Meuble de sacristie[64].
    • L'ancienne chapelle d'un couvent de Chartreux :
      • le clocher est carré à contreforts coiffé en bâtière, nef unique couverte en charpente ;
      • il y a plusieurs tableaux du XVIIe et du XVIIIe.
    • Une croix des Chartreux, en pierre, qui date de 1636 ;
    • Cimetière militaire allemand ;
    Cimetière militaire de Solers

    Le cimetière militaire allemand se trouve à 50 km au sud-est de Paris et à la périphérie du village de Solers. Y reposent 2 228 soldats allemands de la Seconde Guerre mondiale[65].

    Autres

    Le , un train en panne arrêté sur le viaduc a été heurté par le train suivant et plusieurs voitures sont projetées sur l'autre voie. Un 3e train qui revient vers Paris percute ces voitures et franchit le parapet pour tomber dans l'Yerres en contrebas[66].

    Héraldique

    Blason
    De gueules à saint Martin à cheval, partagent son manteau avec un mendiant, le tout d'argent posé sur une terrasse du même, au soleil levant d'or[67].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Solers - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Solers » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    2. « Plan séisme consulté le 6 juillet 2021 ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yerres (F4--0210) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Coubert (F4815100) » (consulté le ).
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 24 novembre 2018
    6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    7. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    8. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Solers et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
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