Sers (Hautes-Pyrénées)

Sers est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Sers.

Sers

Vue du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
Jean-Louis Noguère
2020-2026
Code postal 65120
Code commune 65424
Démographie
Gentilé Sersois
Population
municipale
115 hab. (2018 )
Densité 3,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 53′ 17″ nord, 0° 02′ 21″ est
Altitude Min. 928 m
Max. 2 872 m
Superficie 29,91 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Luz-Saint-Sauveur
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sers
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Sers
Géolocalisation sur la carte : France
Sers
Géolocalisation sur la carte : France
Sers

    Ses habitants sont appelés les Sersois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sers se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 38 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 17 km d'Argelès-Gazost[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Betpouey (0,8 km), Viey (1,3 km), Viella (2,3 km), Barèges (2,4 km), Esterre (2,9 km), Esquièze-Sère (3,5 km), Luz-Saint-Sauveur (3,7 km), Vizos (4,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sers fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays Toy, qui s'étend sur 43 302 hectares des gorges de Pierrefitte au col du Tourmalet et au cirque de Gavarnie[5],[6].

    Sers est limitrophe de sept autres communes dont Chèze au nord-ouest par un simple quadripoint, à la Soum de Coume de Port.

    Carte de la commune de Sers et des proches communes.

    Hydrographie

    Le Bastan, affluent droit du gave de Gavarnie, traverse les terres de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 8,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 291 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Barèges Ville », sur la commune de Barèges, mise en service en 1944[13]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 8,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 235,3 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 33 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 12,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 4]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[22],[23],[24].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « lac Bleu Léviste »[26], d'une superficie de 6 942 ha, présente une végétation caractéristique de la haute montagne pyrénéenne sur schistes et calcaires[27].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[28] :

    • le « cours moyen du Gave de Pau (Gave de Luz) et ruisseau de Bastan » (109 ha), couvrant 15 communes du département[29] ;
    • le « massif du pic du Midi de Bigorre - lac Bleu » (4 075 ha), couvrant 5 communes du département[30] ;
    • la « vallée d'Isaby » (2 648 ha), couvrant 4 communes du département[31] ;
    • le « versant sud du Soum d´Arrouy, du Gave au pic de Barbe » (4 507 ha), couvrant 9 communes du département[32] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 7],[28] :

    • le « bassin du Haut Adour » (27 303 ha), couvrant 18 communes du département[33] ;
    • les « vallées de Barèges et de Luz » (22 843 ha), couvrant 24 communes du département[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Sers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[35],[36],[37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luz-Saint-Sauveur, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[38] et 2 263 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[39],[40]. La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (58,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (33 %), forêts (5,8 %), prairies (2,3 %), zones urbanisées (0,2 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 199[44].
    Parmi ces logements, 21,6 % sont des résidences principales, 76,4 % des résidences secondaires et 2,0 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D918 et par la route départementale D147.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sers à l'est de Luz-Saint-Sauveur.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[45] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Nom occitan : Sers.

    Histoire

    Le , un décret impérial de Napoléon III concerne le reboisement forestier de la commune[46].

    Cadastre napoléonien de Sers

    Le plan cadastral napoléonien de Sers est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[47].

    Politique et administration

    La mairie en 2016.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1935 1945 Jean Marie Pelegry    
    1945 mars 1983 Laurent Bayle    
    mars 1983 en cours Jean-Louis Noguère PRG Président de la communauté de communes du Pays Toy de 2009 à 2011

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Vallée de Barèges, canton de Luz (depuis 1790)[48].

    Intercommunalité

    Sers appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en et qui réunit 46 communes.

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51]. En 2018, la commune comptait 115 habitants[Note 9], en augmentation de 9,52 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    214228343232283308312326293
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    294283285273265278276249230
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    227234202186170185193157171
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1561391221251041029291105
    2017 2018 - - - - - - -
    114115-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine environnemental

    • Serrafalcus squarrosus bab. (Johan Emmanuel Zettersted, 1857)[57].
    • Selinum Oreosolinum (Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck, Augustin Pyramus de Candolle, 1857)[58].

    Personnalités liées à la commune

    • Général Henri Pennette (1871 - 1959).
    • Saint-Justin - Sanctus Justinius, premier évêque de Tarbes au Ve siècle[59].

    Héraldique

    Blason
    D'azur au mont de trois coupeaux de sinople et à la crosse épiscopale de gueules brochant, senestrée d'un soleil non figuré de même.
    Détails
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (pas un seul métal sur ce blason !).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Vincent Chausenque - Les Pyrénées; ou, Voyages pédestres dans toutes les régions de ces montagnes depuis l'océan jusqu'à la Méditerranée, Volume 1 - 1834 -lire en ligne
    • Pierre Bernard Palassou - Suite des mémoires pour servir a l'histoire naturelle des Pyrénées, et des pays adjacens - 1819 - lire en ligne
    • Gustave Bascle Lagrèze - Histoire du droit dans les Pyrénées (comté de Bigorre) - arrestation de Bertrand, Ramond et Vital de Pujol - 1867 - lire en ligne
    • François Pasumot - Voyages physiques dans les Pyrénées en 1788 et 1789: Histoire naturelle d'une partie de ces montagnes; particulièrement des environs de Barege, Bagneres, Cauterès et Gavarnie. Avec des cartes géographiques - 1797 - lire en ligne
    • Revue d'Aquitaine: journal historique de Guienne, Gascogne, Béarn, Navarre, etc, Volume 11 - 1867 - sur Saint-Justin lire en ligne

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sers et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sers et Argelès-Gazost », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Sers », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Hautes-Pyrénées de plaines en vallées, Éditions de Plaines en Vallées, janvier 2007 (ISBN 2-9528222-0-4)
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Barèges Ville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Sers et Barèges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Barèges Ville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Sers et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    21. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    22. « Parc national des Pyrénées - la faune », sur www.pyrenees-parcnational.fr (consulté le )
    23. « Parc national des Pyrénées - le territoire », sur le site du parc national des Pyrénées (consulté le )
    24. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR7300931 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    28. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « cours moyen du Gave de Pau (Gave de Luz) et ruisseau de Bastan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    42. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    43. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    44. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Sers
    45. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    46. Bulletin des lois de l'Empire français, Volume 25, page 47.
    47. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Sers en 1835
    48. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    49. « Liste des juridictions compétentes pour Sers (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    52. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    54. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    55. Notice no PA00095424, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. Revue d'Aquitaine et du Languedoc, 1867, lire en ligne
    57. Johan Emanuel Zetterstedt, Plantes vasculaires Pyrénées principales, p. 298, lire en ligne
    58. Jean-Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck, Augustin Pyramus de Candolle, Flore française ou descriptions succinctes de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, p. 511, lire en ligne
    59. Adolphe Laurent Joanne, Itinéraire général de la France: Les Pyrénées et le réseau des chemins de fer du Midi et des Pyrénées, Volume 3, 1862, lire en ligne
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