Clairy-Saulchoix

Clairy-Saulchoix est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Clairy-Saulchoix

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CA Amiens Métropole
Maire
Mandat
Benoît Dumeige
2020-2026
Code postal 80540
Code commune 80198
Démographie
Population
municipale
374 hab. (2018 )
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 51′ 23″ nord, 2° 10′ 48″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 124 m
Superficie 6,52 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Somme
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Clairy-Saulchoix
Géolocalisation sur la carte : Somme
Clairy-Saulchoix
Géolocalisation sur la carte : France
Clairy-Saulchoix
Géolocalisation sur la carte : France
Clairy-Saulchoix
Liens
Site web http://www.commune-clairysaulchoix.fr/

    Géographie

    Description

    Clairy-Saulchoix est un village périurbain picard de l'Amiénois situé au sud-ouest et à une dizaine de kilomètres d'Amiens. Le village est tangenté par le tracé actuel de l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029)[Note 1].

    Il est aisément accessible depuis les autoroutes A16 et A29, ainsi que de l'ensemble des voies de communication irriguant la métropole picarde.

    La commune est constituée de son chef-lieu, Clairy, et d'un hameau, Saulchoix, situé à km du village.

    La commune est marquée par l'attraction d'Amiens, de nombreux habitants y travaillent[1]

    Communes limitrophes

    Guignemicourt Saleux
    Pissy N Vers-sur-Selles
    O    Clairy-Saulchoix    E
    S
    Revelles Creuse

    Sol, hydrographie, relief

    Au nord, le sol d'argile rouge est compact, peu perméable. Au sud, une mince couche cultivable repose sur un sol de marne grisâtre. En 1899, les puits communaux descendent chercher une eau calcaire à 110 mètres de profondeur. Une vallée sèche, allant de Clairy aux coteaux du sud du territoire, anime le plateau sur lequel repose le village[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Clairy-Saulchoix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,2 %), zones urbanisées (4,8 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le lieu était dénommé Clari en 1152[10].

    Fortium-Clairiacum, forme latinisée, porte vraisemblablement le sens de « forteresse élevée dans un lieu clair, une clairière »[2].

    Le décret impérial du fixe définitivement le nom de Clairy-Saulchoix[2].

    Saulchoix évoque un lieu planté de saules[11].

    Histoire

    Préhistoire

    Un tombeau avec des vases gallo-romains a été mis au jour dans l'ancien cimetière, entre Clairy et Saulchoix, ainsi qu'un monument druidique[12]. L'archéologie aérienne a mis en évidence l'existence de trois enclos funéraires circulaires distants les uns des autres, dont un grand[13] ainsi que des traces d'une importante villa occupée de la Tène au VIe siècle[14].

    Moyen Âge

    Une butte élevée marquait encore, à la fin du XIXe siècle, l'emplacement d'un château féodal, avec ses souterrains[15],[12].

    L'emplacement du lieu au bord d'un plateau dominant la voie normale de passage d'Amiens vers Rouen le prédestinait à avoir un château fort assurant la surveillance de cette liaison. Sous sa protection vinrent s'agglomérer tout naturellement les habitants de Clairy.

    Le premier seigneur de Clairy dont le souvenir soit parvenu jusqu'à nous se nomme Raoul de Fort-Clairy ; vivant au commencement du VIIe siècle, sa grande vertu lui avait attiré la considération de tous. Il fonda l'église Saint-Nicolas, toujours ainsi nommée, mais dont malheureusement il ne reste rien[2].

    Au IXe siècle, les incursions des normands sont pour Clairy et ses environs un véritable désastre. Au Moyen Âge, la puissante maison des seigneurs de Picquigny possédait de nombreux biens à Clairy acquis auprès d'Evrard de Fouilloy, évêque d'Amiens sans doute afin de financer la construction de la cathédrale au début du XIIe siècle. Par ailleurs, Gérard de Picquigny, mort en 1198 avait donné plusieurs fermes de Clairy à l'abbaye du Gard. Au mois de juin 1377, le chapitre d'Amiens rachète une partie de Clairy à Enguerrand de Cröy.

    Le village a possédé une maladrerie, la mare aux malades rappelle encore son existence en 1899[2].

    Temps modernes

    Au XVe siècle, l'invasion de la Picardie par Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, est une époque terrible : le sang coule à flots et la terreur est partout. Le , ses troupes prennent Clairy, rançonnent le village et brûlent le château.

    Lors de la huitième guerre de religion, le , les Espagnols s'emparèrent du village d'où ils pouvaient surveiller l'espace au loin. Ils y font un long séjour qui ne cesse qu'au terme du siège d'Amiens (1597) en 1597 par Henri IV.

    C'est à la fin du XVIe siècle, que la maison de Picquigny s'allie à la famille de Créquy. Le dernier seigneur de Clairy fut Charles de Créquy, Comte de Clairy, devenu veuf en 1615, cet ancien maître de camp d'un régiment d'infanterie, père de huit enfants, se retire au mois de juillet 1623 dans la congrégation des prêtres de l'Oratoire. Mêlé aux intrigues politiques de son temps, sa terre de Clairy fut ruinée et dégradée par ordre de la cour et le château abattu avec toutes ses dépendances. Ainsi disparaissait le manoir féodal de Clairy qui n'avait pas été sans gloire durant le Moyen Âge.

    À la fin du XIXe siècle, le village possède encore un moulin à vent. Son château, à trois kilomètres de Saulchoy, compte treize habitants. Une carrière de craie assure les besoins locaux pour la construction[2].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Clairy-Saulchoix est membre depuis janvier 2007 de la communauté d'agglomération Amiens Métropole, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020 Denis Mille[16],[17]    
    mai 2020[18] En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Benoît Dumeige   Agriculteur

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2018, la commune comptait 374 habitants[Note 4], en diminution de 1,32 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    515521537498527555573561558
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    562548497449418419388345353
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    334331294276253253266245278
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    274292313364361390359388374
    2018 - - - - - - - -
    374--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

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    L'école de Clairy Saulchoix est fermée depuis septembre 2011, sur décision de l'Inspection académique, à la suite d'une suppression de poste d'enseignant.

    Les enfants de Clairy scolarisables en maternelle et primaire sont accueillis dans le cadre d'un Regroupement pédagogique intercommunal avec les communes de Bovelles, Briquemesnil, Ferrières, Guignemicourt, Pissy et Seux.

    Ce regroupement dispose d'une cantine située à Pissy.

    Des garderies sont organisées à Ferrières et à Guignemicourt[23].

    Autres équipements

    La salle communale, bibliothèque.

    Cultes

    Pour le culte catholique, par décision de l'évêque d'Amiens, depuis le 1er janvier 2003, Clairy-Saulchoix dépend de la paroisse St-Simon du Molliénois.

    Économie

    Le village a conservé un caractère rural marqué, avec, en 2007, ses neuf exploitations agricoles orientées vers la polyculture et l'élevage[24].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Nicolas date du XVe siècle, bâtie en pierres, réparée avec des briques. Elle possède une tour carrée plus récente surmontée d'une flèche octogonale volontairement inclinée pour résister aux vents dominants (Clairy, point élevé de la Somme, servait aux Allemands de poste d'observation pendant la Seconde Guerre mondiale).
      Elle fait l'objet au cours des siècles de plusieurs travaux de remaniements et de restaurations, en particulier à la fin du XIXe siècle avec le pavage du chœur et de la nef, le plancher sous les bancs, l'installation des vitraux aux quatre fenêtres du chœur.
      L'église possède de très belles statues, notamment celles de saint Vast en bois polychrome, classée monument historique[25] et de saint Nicolas, en pierre du XVIe siècle[26] ainsi qu'une corniche en bois avec blochets représentant des têtes humaines et des fleurons.
    • Le château de Saulchoix, construit probablement sur les ruines d’un édifice plus ancien pour François de Louvencourt en 1679. Son architecture de briques et de pierres rappelle le style Louis XIII malgré sa construction sous le règle de Louis XIV. Il a été remanié aux XVIIIe et XIXe siècles, avec son parc et appartient depuis 1821 à la même famille. À l'ouest, une chapelle. À l'est, côté jardin une orangerie brique et pierre. Dans le prolongement du corps de logis, deux petits pavillons ont été reconstruits en brique.
      La propriété de 18 hectares compte aussi des bâtiments de ferme, utilisés jusqu’au début du XXe siècle.
      Le parc du château, propriété privée, peut être visité l'été[27],[28],[29].
    • Le calvaire Saint-Vast (du nom de l'ancien cimetière supprimé en 1785 où étaient enterrés les défunts des paroisses de Guimicourt, Pissy, Revelles et Clairy-Creuse), est édifié en 1864 à partir d'un menhir découvert en 1842 au Saulchoix par M. A. de Gillès. « Cette pierre levée fut dressée sur l'emplacement d'un vieux cimetière et surmontée d'une croix en fer. Au pied, sur une plaque de bronze, a été gravée une inscription rappelant que ce calvaire a été érigé, le , pour conserver le souvenir du cimetière de Saint-Vast, désaffecté en 1785.
      Ce lech, taillé en losange, a 2 m 10 de haut, non compris les 0m 80 qui sont dans le sol. Il est large à sa base de 1 mètre et vers le milieu de lm30; son épaisseur est de 0m50 environ[12] ».
    • Chapelle funéraire du château de 1679 dans laquelle reposent cinq membres de la famille de Gillès[27].

    Personnalités liées à la commune

    • En 1415, Jean IV d'Aumont et de Clairy est tué à Azincourt[2].

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    d'azur à la fasce d'argent chargée de trois tourteaux de sable[Note 5].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. . La photo aérienne du village montre une parallèle au nord du tracé actuel de la RN 29 qui est manifestement l'ancien tracé de la route
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Jacques Dulphy indique dans le site :http://armorialdefrance.fr/blog_billets.php?page=27 : « La commune ne fait pas usage de ce blason que l'on retrouve depuis peu sur certains sites en ligne, et sur des sites qui l'y ont repris. Il ne correspond a priori ni à un choix municipal, ni à une famille du lieu, ni à aucun blason en rapport avec le village. Il est en tout point ressemblant au blason de la famille LAndouillette, (excusez du peu), dont le marquis René Landouillette (1649 - 1711), né à La Flèche, fut notamment maître de forges à l’arsenal de Toulon en 1684, et à ce titre l'un des principaux fournisseurs de boulets de canons du Roi; boulets qui sont figurés sur ses armes sous l'aspect de tourteaux de sable. Mais il n'a jamais eu aucun rapport avec la commune de Clairy-Saulchoix ! ».

    Références

    1. « Bienvenue sur le site de Clairy-Saulchoix », sur le site officiel de la commune (consulté le ).
    2. Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M. Vaquet, 1899, archives départementales de la Somme, Amiens. Lire en ligne sur le site des archives départementales .
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. « Clairy-Saulchoix »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur le site du Quid (consulté le ).
    11. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 138 (ASIN B000WR15W8).
    12. A. Ponchon, « Les menhirs de la Somme », L'homme préhistorique, no 6, , p. 165-175, notamment 173 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    13. « Trois enclos circulaires distants les uns des autres, dont un grand », notice no ARR22_678022759Z, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    14. « Très grande villa orientée à l'est-sud-est, entourée d'une enceinte dont la fondation de craie apparaît partiellement », notice no ARR22_SD802904ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    15. « Motte en terre de forme ovale,de 30 X 20 m, pour une élévation de 5 m. », notice no ARR22_90802892ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    16. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    17. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    18. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. Site communal[réf. incomplète].
    24. Adja Nafi Mbaye, « À dix kilomètres au sud-ouest d’Amiens, Clairy-Saulchoix cultive avec soin sa spécificité : un territoire de 650 hectares consacrés pour l’essentiel à l’agriculture », sur le blog d'Adja Mbaye - Journaliste, (consulté le ).
    25. « Statue : Saint Waast », notice no PM80000450, base Palissy, ministère français de la Culture.
    26. « Statue : Saint Nicolas », notice no PM80005169, base Palissy, ministère français de la Culture.
    27. Thierry Griois, « Des bâtiments et le parc du méconnu château de Clairy-Saulchoix se visitent l’été : Depuis deux ans, Solange et Yves de Saint Jouan ouvrent au public leur propriété de 18 hectares qui se trouve dans leur famille depuis bientôt deux cents ans », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    28. « Jardin d'agrément du château de Saulchoix », notice no IA80000420, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « PA80000066 », notice no PA80000066, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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