Saint-Pardoux-la-Rivière

Saint-Pardoux-la-Rivière est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Pardoux et Rivière.

Saint-Pardoux-la-Rivière

La mairie de Saint-Pardoux-la-Rivière.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais
Maire
Mandat
Sylvie Gouraud
2020-2026
Code postal 24470
Code commune 24479
Démographie
Population
municipale
1 171 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 29′ 39″ nord, 0° 44′ 48″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 332 m
Superficie 23,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nontron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Pardoux-la-Rivière
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Pardoux-la-Rivière
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Pardoux-la-Rivière
Liens
Site web saint-pardoux-la-riviere.fr

    De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Saint-Pardoux-la-Rivière.

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Pardoux-la-Rivière et des communes avoisinantes.

    Saint-Pardoux-la-Rivière est limitrophe de sept autres communes. Au nord-ouest, Savignac-de-Nontron n'est limitrophe que sur environ 25 mètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 025 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[7] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 56 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pardoux-la-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41 %), zones agricoles hétérogènes (37,3 %), prairies (11,6 %), zones urbanisées (4,9 %), terres arables (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne  qui traverse la commune du nord-est au sud  à Saint-Pardoux-la-Rivière, impactant ses rives notamment au niveau du bourg, et jusqu'à une largeur pouvant atteindre 400 mètres à l'est du lieu-dit le Queyroy[20],[21].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Pardol la Ribiera[22].

    Histoire

    En , à la suite d'une rafle commanditée par René Bousquet, 172 personnes de confession juive sont rassemblées à Saint-Pardoux-la-Rivière, avant d'être transférées à Nexon. Ils partent ensuite vers les camps de Drancy et d'Auschwitz[23].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Pardoux-la-Rivière est le chef-lieu du canton de Saint-Pardoux-la-Rivière qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Nontron[24].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[25]. La commune est alors rattachée au canton du Périgord vert nontronnais.

    Intercommunalité

    Fin 1995, Saint-Pardoux-la-Rivière intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert, dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[26],[27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1977 1989 Henri Brives PS Chef d'entreprise, Conseiller général du canton de Saint-Pardoux-la-Rivière (1994-2001)
    1989 1995 Jean-Marie Guillout RPR Conseiller général du canton de Saint-Pardoux-la-Rivière (1988-1994)
    1995 2001 Georges Colas PS Conseiller général du canton de Saint-Pardoux-la-Rivière (2001-2015)
    mars 2001[28] mai 2020 Maurice Combeau SE[29] Cadre retraité
    mai 2020 En cours Sylvie Gouraud SE  

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Pardoux-la-Rivière relève[30] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage de Saint-Pardoux-la-Rivière.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2018, la commune comptait 1 171 habitants[Note 6], en diminution de 3,62 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2641 2731 3431 4751 5571 5191 5201 5951 646
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5941 6501 7341 6431 7281 8302 1871 8091 761
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7691 7771 8131 6341 6721 6571 5321 4731 457
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 4531 3601 3471 3091 1741 0911 1551 1991 182
    2018 - - - - - - - -
    1 171--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    La commune est dotée d'une maison de santé pluridisciplinaire où exercent trois médecins généralistes, quatre infirmières, des kinésithérapeutes et un podologue, ainsi qu'un ORL, un gastro-entérologue, un rhumatologue et un chirurgien des membres supérieurs. De plus, une psychologue, une diététicienne et différents spécialistes y interviennent[34],[35].

    Sport

    Chaque année, à la mi-août, se tient sur deux jours une compétition automobile : le « Rallye 24 »[36],[37].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête du Spardos chaque année en juillet (22e édition en 2019[38] avec marché de nuit, vide-greniers et concerts.

    Économie

    Emploi

    En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 429 personnes, soit 36,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (68) a augmenté par rapport à 2010 (41) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 122 établissements[40], dont soixante-six au niveau des commerces, transports ou services, 21 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, seize dans la construction, quinze dans l'industrie, et quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[41].

    Entreprises

    Le bâtiment des Tanneries de Chamont.

    Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Gauthier transports » (transports routiers de fret interurbains), implantée à Saint-Pardoux-la-Rivière, se classe en 5e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 14 960 k€[42].

    La société Ayrens, l'un des cinq derniers fabricants français de parapluies, est établie à Saint-Pardoux-la-Rivière où elle emploie une douzaine de personnes en 2014[43].

    Parmi la vingtaine de tanneries subsistant en France début 2016, les « Tanneries de Chamont » sont implantées dans le bourg, en bordure de la Dronne. Ayant employé jusqu'à cinquante personnes par le passé, elles en emploient encore huit pour un chiffre d'affaires annuel de trois millions d'euros[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pardoux, édifiée en 1606 et restaurée en 1748[45].
    • Le monument aux morts de la guerre 1914-1918 situé à côté de l'église est inscrit au titre des monuments historiques en 2015[46]. Œuvre du sculpteur Eugène Piron, il représente un soldat de la Première Guerre mondiale en uniforme déclarant : « On ne passe pas ».
    • L'ancien hôtel des Voyageurs, du XVIe siècle, présente une fenêtre sculptée, inscrite depuis 1976 au titre des monuments historiques[47].
    • Musée de la Carte postale en Périgord de 1898 à 1920.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Louis Dubut de Laforest (1853 - 1902), écrivain et journaliste de la fin du XIXe siècle, est né dans le bourg de Saint-Pardoux-la-Rivière et est enterré dans son cimetière.
    • Anne Lacaton (1955-), architecte, colauréate du Prix Pritzker 2021 avec son associé Jean-Philippe Vassal[48], est née à Saint-Pardoux-la-Rivière.
    • Kito de Pavant (1961), de son vrai nom Christophe Fourcault de Pavant, est un navigateur né à Saint-Pardoux-la-Rivière.
    • Léon Sireyjol (1861-1942) est un homme politique décédé à Saint-Pardoux-la-Rivière.

    Héraldique

    Blason
    D'azur au pont de trois arches d'or sur une rivière ondée d'argent, sommé d'un léopard d'or.
    Détails
    Armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Pardoux-la-Rivière et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Pardoux-la-Rivière et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. PPR inondation - 24DDT20120001 - Dronne, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
    21. [PDF] Rivière la Dronne - Saint-Pardoux-la-Rivière - Plan de prévention du risque inondation, p. 15, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 3 avril 2014.
    23. Roger Rosello, La mémoire des 172 juifs arrêtés en 1942 honorée, Sud Ouest édition Périgueux du 14 mai 2012
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    26. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
    27. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 24 novembre 2020.
    28. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 30 août 2014.
    29. Voici vos 557 maires, édition spéciale de Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 21.
    30. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. Émilie Delpeyrat, « Pourquoi cette maison respire la santé », Sud Ouest édition Dordogne, 1er février 2018, p. 12-13.
    35. Maisons de santé pluridisciplinaires, Communauté de communes du Périgord Nontronnais.
    36. Adrien Larelle, « Le Rallye 24 revient sur les routes du Périgord vert », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 35.
    37. Rallye 24 Dordogne Périgord, ewrc-results.com, consulté le .
    38. Daniel Syriex, « La 22e nuit du Spardos se prépare », Sud Ouest édition Périgueux, 20 juillet 2019, p. 20c.
    39. Dossier complet - Commune de Saint-Pardoux-la-Rivière (24479) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
    40. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    41. Dossier complet - Commune de Saint-Pardoux-la-Rivière (24479) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 janvier 2019.
    42. « Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 39.
    43. Hervé Chassain, « Il mise sur la pluie », Sud Ouest édition Périgueux, 26 février 2014.
    44. Patricia Marini-Metge, « Le cuir bien tanné », Le Mag no 201, supplément à Sud Ouest, 6 février 2016, p. 29-31.
    45. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 237-238.
    46. Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2015, Légifrance, consulté le 23 juillet 2016.
    47. « Hôtel des Voyageurs », notice no PA00082885, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 juillet 2016.
    48. Benoît Martin, « Le « Prix Nobel » d'architecture », Sud Ouest édition Dordogne, 17 mars 2021, p. 14.
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