Saint-Crépin-d'Auberoche

Saint-Crépin-d'Auberoche est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Crépin.

Saint-Crépin-d'Auberoche

Le village de Saint-Crépin-d'Auberoche.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Clovis Tallet
2020-2026
Code postal 24330
Code commune 24390
Démographie
Gentilé Saint-Crépinois
Population
municipale
349 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 27″ nord, 0° 53′ 22″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 241 m
Superficie 9,56 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton Isle-Manoire
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Crépin-d'Auberoche
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Crépin-d'Auberoche
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Crépin-d'Auberoche
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Crépin-d'Auberoche
Liens
Site web saint-crepin-dauberoche.fr

    Géographie

    Généralités

    Le lit du Manoire à sec à Saint-Crépin-d'Auberoche.

    Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune de Saint-Crépin-d'Auberoche se situe à la limite du Périgord noir et du Périgord central. S'étendant sur 9,56 km2, elle est traversée d'est en ouest sur environ trois kilomètres par le Manoire, un affluent de l'Isle.

    L'altitude minimale, 140 mètres, se trouve à l'ouest, là où le Manoire quitte la commune et entre sur celle de Saint-Pierre-de-Chignac. L'altitude maximale avec 241 mètres est localisée au nord, au lieu-dit Petit Vertiol.

    La route départementale 6089 (l'ancienne route nationale 89) dessert la commune, traversant le village de Saint-Crépin-d'Auberoche qui se situe, en distances orthodromiques, quatorze kilomètres à l'ouest de Thenon et quinze kilomètres au sud-est de Périgueux.

    Le sentier de grande randonnée GR 36 tangente le territoire communal à l'est, sur une centaine de mètres, en limite de Milhac-d'Auberoche.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Crépin-d'Auberoche et des communes avoisinantes en 2016, avant la création de la commune nouvelle de Bassillac et Auberoche.

    Saint-Crépin-d'Auberoche est limitrophe de trois autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Crépin-d'Auberoche
    Bassillac et Auberoche
    Saint-Pierre-de-Chignac
    Saint-Geyrac

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 946 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 36 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 44 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Crépin-d'Auberoche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,1 %), zones agricoles hétérogènes (41,2 %), prairies (4,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,8 %), terres arables (2,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2012 pour le Manoire et ses rives, concernant la zone entre la route départementale 6089 et la ligne ferroviaire[21],[22].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Saint-Crépin-d'Auberoche proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[23] :

    • Bas Russa
    • la Basse Picaudie
    • la Bombarie
    • la Borie
    • Chabaneix
    • la Charbonnière
    • le Cluzeau
    • Combas
    • Font de Vertiol
    • Fontaine de Chabaneix
    • la Forêt
    • la Gaillardie
    • la Gassia
    • les Gillerdies
    • le Grand Chemin
    • Haut Russa
    • l'Hébrardie
    • Lac Berche
    • Maison Neuve
    • la Merlatie
    • le Pech du Lys
    • Petit Vertiol
    • le Pey du Luc
    • la Picaudie
    • le Pigeonnier
    • le Pinier
    • la Place Ronde
    • Puygolfier
    • la Queue du Pré
    • la Renaudie
    • la Sigonie
    • la Tuilière
    • la Tuilière Basse.

    Toponymie

    Le nom de la commune fait référence à saint Crépin, martyr au IIIe siècle[24]. La seconde partie du nom s'explique par son appartenance à l'ancienne châtellenie d'Auberoche[24].

    En occitan limousin[25], la commune porte le nom de Sent Crespin d'Auba Ròcha[26].

    Les habitants de Saint-Crépin-d'Auberoche se nomment les Saint-Crépinois[27].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu apparaît au XIIIe siècle sous la forme Sanctus Crispinus[24].

    Au XIVe siècle, Saint-Crépin (Saint Crespi) faisait partie de la châtellenie d'Auberoche[28].

    Les 24 et , le vicomte Arnaud de Bourdeille, gouverneur du Périgord, et sa troupe mettent en déroute les croquants à Saint-Crépin[29],[24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Crépin-d'Auberoche a été rattachée au canton de Saint-Pierre-de-Chignac qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[30].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[31]. La commune est alors rattachée au canton Isle-Manoire, dont le bureau centralisateur est fixé à Boulazac.

    Intercommunalité

    En 2001, Saint-Crépin-d'Auberoche intègre dès sa création la communauté de communes Isle Manoire en Périgord. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par une intercommunalité élargie, Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[32],[33].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981  ? Pierre Labrue    
             
    juin 1995[34]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Clovis Tallet SE[35] Contrôleur territorial

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Crépin-d'Auberoche relève[36] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

    En 2018, la commune comptait 349 habitants[Note 6], en augmentation de 12,58 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    289234247280284323312357345
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    347369365347379396390401353
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    349366352298290293269283263
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    246191175237229227261294341
    2018 - - - - - - - -
    349--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[40], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 140 personnes, soit 41,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-huit) a fortement augmenté par rapport à 2010 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt établissements[41], dont dix au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un dans l'industrie[42].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Distinction culturelle

    Saint-Crépin-d'Auberoche fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Crépin-d'Auberoche et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Crépin-d'Auberoche et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. PPR inondation - 24DDT20100004 - Manoire, DREAL Aquitaine, consulté le 9 février 2019.
    22. [PDF] Saint-Crépin-d'Auberoche - Plan de prévention du risque inondation p. 5, DREAL Aquitaine, consulté le 9 février 2019.
    23. « Saint-Crépin-d'Auberoche » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2014)..
    24. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000 (ISBN 2-86577-215-2), p. 311.
    25. Patrick Ranoux (préface de René Pijassou), Atlas de la Dordogne-Périgord, ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996 (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
    26. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 mars 2014.
    27. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 8 décembre 2014.
    28. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 242.
    29. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 105.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    32. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
    33. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 11 novembre 2020.
    34. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
    35. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 22.
    36. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Dossier complet - Commune de Saint-Crépin-d'Auberoche (24390) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    41. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    42. Dossier complet - Commune de Saint-Crépin-d'Auberoche (24390) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    43. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 59.
    44. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 112-113.
    45. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 213.
    46. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 117-118.
    47. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 291.
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