Saint-Chef

Saint-Chef est une commune française située dans le nord du département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Chef

Saint-Chef, place de la Mairie

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté de communes Les Balcons du Dauphiné
(siège)
Maire
Mandat
Alexandre Drogoz
2020-2026
Code postal 38890
Code commune 38374
Démographie
Gentilé Saint-Cheffois, Saint-Cheffoises
Population
municipale
3 637 hab. (2018 )
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 05″ nord, 5° 21′ 59″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 440 m
Superficie 27,16 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourgoin-Jallieu
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Chef
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Saint-Chef
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Saint-Chef
Liens
Site web Saint-chef.fr

    La commune de Saint-Chef compte plus de 3 000 habitants répartis sur 2 716 hectares, dans le nord-ouest du département de l'Isère, dans le canton de Bourgoin-Jallieu. Le relief tourmenté de ce vaste territoire culmine à 308 mètres d'altitude.

    Le bourg s'est développé autour d'un monastère fondé au VIe siècle, dans un vallon jadis appelé le val Rupian. Cette communauté religieuse fut une des plus puissantes de France avant de connaître le déclin, puis sa translation en 1774.

    Ce village a accueilli quelques personnes célèbres comme l'acteur Louis Seigner qui y est né et y a passé son enfance et l'écrivain Frédéric Dard, né à Jallieu (ville aujourd'hui raccrochée à Bourgoin), qui a passé une partie de sa vie. En hommage à Louis Seigner, un groupe scolaire portant son nom.

    Frédéric Dard, enfant du pays, a écrit :

    « Saint-Chef [...] somnole comme une bête heureuse à l'ombre de son abbaye. [...] C'est le lieu du recueillement, de la méditation, de la sérénité. »

    Ses habitants sont dénommés les Saint-Cheffois[1].

    Géographie

    Plan de Saint-Chef et des communes limitrophes

    Situation et description

    La commune est située au nord-est de Bourgoin-Jallieu (et donc à l'est de Lyon), en bordure de l'Isle Crémieu, pays du calcaire, un vallon composé de bois de châtaigniers, d'étangs et de plateaux propices à la vigne.

    Communes limitrophes

    Géologie

    La commune de Saint-Chef est située en bordure sud-orientale de la région naturelle de L'Isle-Crémieu qui est riche en débris d'oursins et quelquefois même de débris de crustacés[2].

    Climat

    Saint-Chef présente un climat de type semi-continental[3] qui se caractérise par des précipitations généralement plus importantes au printemps et en été qu'en hiver.

    Les étés sont cependant chauds et connaissent de nombreuses périodes orageuses intenses. Les hivers sont généralement assez froids et marqués par des gelées fréquentes, d'autant plus que le secteur resté très longtemps marécageux est souvent marqué par de nombreuses brumes matinales et des brouillards plus ou moins persistants durant les périodes froides.

    Hydrographie

    Le territoire de Saint-Chef est sillonné par deux modestes cours d'eau, le ruisseau de Saint-Savin au sud et le ruisseau du Ver, au nord.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Chef est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), forêts (23,2 %), zones urbanisées (9,2 %), zones humides intérieures (1,1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Risques sismiques

    La totalité du territoire de la commune de Saint-Chef est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[11].

    Terminologie des zones sismiques[12]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Toponymie

    La commune doit son nom à saint Theudère du Dauphiné, né dans le proche hameau de Arcisse, et mort en 575 à la recluserie de Vienne en Dauphiné. Il fonda au VIe siècle, sur le site de l'actuel Saint-Chef, un monastère dont subsistent de nombreux vestiges. Le village s'est développé autour de cette communauté religieuse et portait le nom de Sanctus Theudérium.

    D’après l’Histoire de la sainte église de Vienne depuis les premiers temps du Christianisme, le bourg fut appelé d’abord Saint-Theudère, ensuite Saint-Chef, à cause du chef (caput) du saint que l’on conservait en cet endroit-là[13].

    Victor Teste, auteur d'un Essai archéologique sur le monastère de l'église abbatiale de Saint-Chef en Dauphiné (1852), cite[14] l'historien Charvet, auteur d'une Histoire de la sainte église de Vienne (1761), qui indique qu'il s'agissait de la relique de saint Thibaud, archevêque de Vienne au Xe siècle[15]. Victor Teste mentionne ainsi les pèlerins qui aurait eu « pour habitude de dire : Allons au saint Chef » (Adeamus Sanctum Caput), expression qui serait ensuite passée au lieu. L'auteur Achille Raverat (1812-1890), dans son À travers le Dauphiné (1861), reprend cette même version.

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Moyen Âge et Temps modernes

    L'église Saint-Theudère en 1887.

    L'abbaye se développe au fil du temps. L'église abbatiale est datée des Xe et XIe siècles. Un premier château est construit sur la colline nord. Il sera suivi par deux autres, plus tardifs, toujours sur cette même colline mais plus à l'ouest. Après la Révolution française, l'abbaye est démantelée et ses bâtiments ré-utilisés pour la plupart, ou détruits pour certains autres. On peut s'y souvenir des pas des moines bénédictins dans le centre historique du village, résonnants au détour des ruelles, aux abords des maisons à tourelles et bâtiments du XVIe siècle. Daft y est passé.

    Époque contemporaine

    Entre 1790 et 1794, Saint-Chef absorbe les communes éphémères d'Arcisses, Chamont, Crucilleux, Laval-de-Saint-Chef, Montcarra, Trieux et Vercin.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1953 2001 Pierre Grataloup DVD Notaire
    Conseiller général du Canton de Bourgoin-Jallieu (1958-1976)
    mars 2001 2008 René Fanget    
    mars 2008 2020 Noël Rolland UMP-LR Cadre
    2020 En cours Alexandre Drogoz    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La ville est jumelée avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2018, la commune comptait 3 637 habitants[Note 3], en augmentation de 1,08 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5822 2292 9542 9983 3973 2983 4113 5583 650
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 5563 5503 3393 1623 0602 9262 9952 9502 859
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 7682 7372 0801 7741 7161 6361 5831 4131 308
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 3271 3351 4871 7982 3092 8923 1973 4493 608
    2018 - - - - - - - -
    3 637--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

    Équipements et clubs sportifs

    L'équipe de football de la commune est le FC Balmes Nord-isere[21].

    Équipement sanitaire et social

    La commune héberge deux établissements médico-sociaux sur son territoire :

    • l'IME du Grand Boutoux est un établissement d'accueil et d'hébergement médico-éducatif.
    • la maison de retraite intercommunale présente une capacité d'accueil de 106 lits[22]

    Animations et festivités

    Chaque année, la commune de Saint-Chef organise une riche palette d'animations :

    • la fête vigneronne de la Saint-Valentin (en février), accompagnée d’une foire aux vins et produits régionaux.
    • les Musées en Fête (les 3es weekends de mai) et de nombreuses activités en lien avec l'enfant du pays Frédéric Dard, dont la célèbre enquête policière à la San-Antonio dans le centre historique du village.
    • la Fête de la musique (en juin) sur le parvis de l’église et la place de la Mairie, pour une soirée sous le signe des musiques du monde.
    • les Journées européennes du patrimoine (les 3es weekends de septembre), qui permettent de découvrir gratuitement le musée et les fresques de Saint-Chef.
    • le festival Gospel (en octobre) spectacle de chant avec de très belles voix de jeunes et de moins jeunes gens.
    • le concours les 3 glorieuses de la boule rupéenne (en octobre) concours contenant en tout 12 compétitions allant du double au simple toutes divisions en passant par le mixte et le junior.

    Médias

    Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Cultes

    La communauté catholique et l'église de Saint-Chef (propriété de la commune) est rattachée à la paroisse Saint François d'Assise dont la maison paroissiale est située à Bourgoin-Jallieu. Celle-ci est également rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[23].

    Économie

    L'économie de la commune repose sur l'agriculture, la viticulture (« vin de pays des balmes dauphinoises ») et le tourisme.

    Autrefois il y existait une activité textile et métallurgique[24].

    Culture locale et patrimoine

    L'abbaye de Saint-Chef

    Cette abbaye voit son originé vers l'an 500. L'église Saint-Theudère des XIIe et XIIIe siècles, avec son portail gothique flamboyant et son orgue[25], a été classée monument historique en 1840 par Prosper Mérimée[26].

    Le bâtiment principal abrite l'un des plus importants ensembles de fresques romanes de France datant du XIIe siècle, sur le thème de l'Apocalypse, classées également monument historique[27] (L'intéret historique et artistique de ses fresques leur valent d'être reproduites au sein de la Cité de l'architecture et du patrimoine de Paris.).

    L'église Saint-Barthélémy de Chamont

    Située à trois kilomètres du corps principal du village, dans le hameau de Chamont, cette église fut érigée en 1879. En 1982, elle devint désaffectée mais, en 2001, une association proche du prieuré lyonnais de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X racheta le bâtiment. Depuis, elle est desservie par ses prêtres y officiant selon la forme tridentine du rite romain.

    Les autres monuments

    • Dans le village, le visiteur peut découvrir de nombreux bâtiments liés à l'abbaye avec ses maisons de chanoines.
    • La tour du Poulet, des XIV, XVe et XVIIIe siècles, est le dernier vestige de l'ancien château fort de Montcarra, bâti par le chevalier Bertrand Carra en 1309. Le château fut incendié par l'archevêque de Vienne en 1402, car la famille des Torchefelon, qui en était propriétaire, se refusa de lui rendre hommage. Ensuite le château fut de la famille des Alleman[28],[29].
    • Le château Teyssier de Savy, ou le Grand château[30], est un manoir des XVe – XVIe siècle, remanié au XVIIIe siècle, cité depuis le XIVe siècle. La petite bourgade qui s'est développée à partir du milieu du Moyen Âge, autour du monastère fondé au VIe siècle était protégé par une muraille et un château, détruit en 1576. L'édifice actuel a été reconstruit à la fin du XVIe siècle après les guerres de religion. Il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 6 juillet 2000[31].
    • La Maison Minsac, labellisé Patrimoine en Isère[32].
    • La maison forte de Marchil, de la fin du XVe siècle[28].

    Patrimoine culturel

    • La Maison du patrimoine, située dans une ancienne maison de chanoine du XVIe siècle, présente de manière moderne et ludique la commue de Saint-Chef, riche de près de 15 siècles d'histoire : de l'origine de la construction du monastère bénédictin à l'interprétation des plus belles fresques de l'église abbatiale, symbole du paradis céleste, en passant par la présentation des traditions locales toujours aussi présentes et des enfants du pays tels Frédéric Dard, Louis Seigner…

    Personnages historiques

    • Thibaut de Vienne (927-1001), né au château de Tolvon (Dauphiné), élevé à la cour royale de Bourgogne, instruit à l'abbaye Saint-Theudère de Saint-Chef, archevêque de Vienne de 957 à 1001, grand rassembleur, battant monnaie (le denier argent Thibaud), canonisé par le peuple dauphinois, dont le culte fut approuvé par Pie X en 1902 et inscrit au diocèse de Grenoble. Il fut, aux Xe et XIe siècles, l'un des promoteurs de l'abbatiale romane Saint-Theudère participant à la réalisation de ses fresques qui font de nos jours la renommée mondiale de la commune. Thibaut de Vienne eut dans sa lignée un autre saint, l'un de ses arrière-petits-neveux, dont il prophétisa la haute destinée : Thibaut de Provins (1039-1066). Les deux Thibaut appartiennent au lignage célèbre des Bosonides, puissants et violents féodaux de l'époque.
    • Antoine Pécaudy de Contrecœur (1596-1688), capitaine du régiment de Carignan-Salières en Nouvelle-France. Premier seigneur de la seigneurie de Contrecœur, devenue Ville de Contrecœur (Québec). Cette ville fut jumelée à celle de Saint-Chef (1972).
    • Theudère du Dauphiné (VIe siècle), moine et saint catholique, enfant du pays et fondateur du monastère autour duquel s'est développé le village.
    • Hugues de Saint-Cher ou saint Chef, cardinal en 1245.
    • Charles Legros, né à Saint-Chef en 1834, physiologiste et médecin, professeur d'anatomie à Paris, décédé en 1874.
    • Marius Riollet (1880-1962), historien, satirique et dramaturge.
    Place Louis Seignier

    Personnalités artistiques

    Personnages de fiction

    • L'inspecteur Alexandre-Benoît Bérurier et sa nièce Marie-Marie, deux personnages de la série de romans San-Antonio, habitent à Saint-Chef que l'on peut retrouver sous le nom de Saint-Locdu le Vieux dans les San-Antonio.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé au 1) et 4) au soleil d’argent rayonnant d’or, au 2) et 3) de gueules aux clés passées en sautoir surmontées d’une tiare le tout d’argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 27 octobre 2019
    2. Site de Persée, Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, année 1963, volume 32
    3. Annick Auffray, Alain Brisson, Agnès Tamburini, Valérie Dziak, Véronique Maloisel, Sophie Martinoni-Lapierre, « Climat de la région Rhône-Alpes », sur rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    12. François Zénon Collombet, Histoire de la sainte église de Vienne depuis les premiers temps du Christianisme, jusqu'a la suppression du siége, en 1801, Volume 2, Lyon, (lire en ligne), p. 168.
    13. Victor Teste, « Essai archéologique sur le monastère de l'église abbatiale de Saint-Chef en Dauphiné », Revue du Lyonnais, vol. IV, , p. 85-94, notamment p.86 (lire en ligne).
    14. Claude Charvet, Histoire de la sainte église de Vienne, 1761, Chez C. Cizeron, 798 p. (lire en ligne), p. 454.
    15. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. Site fff.fr, page sur le club FC Balmes Nord-Isère, consulté le 19 mai 2020.
    21. Site fhf.fr, page sur la maison de retraite intercommunale de Saint-Chef, consulté le 20 octobre 2019
    22. site diocese-grenoble-vienne.fr, page sur la paroisse Saint François d'Assise., consulté le 19 mai 2020.
    23. Généralités, Chroniques de Saint-Chef en Dauphiné
    24. Orgue de tribune, et partie instrumentale de l'orgue
    25. « Eglise Saint-Theudère », notice no PA00117249, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. Notice no PM38000259, base Palissy, ministère français de la Culture.
    27. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 978-2-911148-66-8), p. 696.
    28. Rayonnement militaire. La guerre contre les Torchefelon, Chroniques de Saint-Chef en Dauphiné, accès le 9 octobre 2016.
    29. Sandrine Anselmetti, « Le château Teyssier de Savy », sur Isère Magazine, (consulté le ).
    30. « Château de Saint-Chef », notice no PA38000011, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Barbara Franzé, La Pierre et l'image. L'église de Saint-Chef-en-Dauphiné, Paris, Picard, 2011, 284 p., 273 ill. (ISBN 978-2-7084-0877-7)

    Articles connexes

    Liens externes

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