Roure

Roure est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Rourois.

Pour les articles homonymes, voir Roure (homonymie).

Roure

Le clocher de l’église Saint-Laurent et le village dominant la vallée de la Tinée.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Jean-Claude Linck
2020-2026
Code postal 06420
Code commune 06111
Démographie
Gentilé Rourois
Population
municipale
146 hab. (2018 )
Densité 3,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 05′ 28″ nord, 7° 05′ 20″ est
Altitude Min. 500 m
Max. 2 339 m
Superficie 40,3 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tourrette-Levens
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Roure
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Roure
Géolocalisation sur la carte : France
Roure
Géolocalisation sur la carte : France
Roure

    C'est un village médiéval à l'architecture agro-pastorale.

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à 1 100 m à l'entrée de la vallée de la Tinée, en lisière du Parc national du Mercantour.

    La commune a plusieurs hameaux :

    • hameau de Tiecs,
    • hameau de Tiecs
    • hameau de Valabre[1].

    Géologie et relief

    Entre en 1859 et 1926, de nombreuses mines de cuivre ont été exploitées. Les difficultés d'extraction ont entraîné leur arrêt. On procède encore à des recherches géologiques sur le site de Pitaffe.

    Roure est un site géologiquement intéressant car il se trouve au contact entre le permien et le trias. Sur le territoire de la commune, on trouve :

    Catastrophes naturelles - Sismicité

    Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[2]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le . L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Roure, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au "[3].

    Commune située dans une zone de sismicité moyenne[4].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[5] :

    • rivière la Tinée[6],
    • rivière La Vionène[7],
    • 11 ruisseaux de l'ubac, de valabre, de ferroul, de longon, de vionène, de penchiniéra, du lac noir, de la sagne, de l'arcane, de rougios, de pervoux,
    • vallon de mollières, du moulin,
    • riou blanco.

    Roure dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 250 équivalent-habitants[8].

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[9].

    Voies routières

    La commune est accessible depuis Nice par la RN 202 (route nationale 202) en direction de Digne, au pont de la Mescla, puis la RD 2205, la RD 30 et la RD 130.

    Outre le chef-lieu, la commune contient cinq hameaux : Rougios, perdu dans la montagne, Tiecs, la Cerise, Puch et Valabres, accessible par le GR 5 où il y avait un curé et une école jusqu'en 1904.

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Communes limitrophes

    Toponymie

    La première indication du village date de 1067 sous le nom de Rora, mot peut être dérivé du latin robur qui signifie "chêne".

    Le village accueillait et élevait des troupeaux de vaches et de chèvres pour le compte de propriétaires et ceux-ci réglaient leurs affaires sous un grand chêne[11].

    Roure pourrait aussi venir du libyque "Arur" signifiant 'dos' ou 'versant', et qui serait une indication géographique du village. La région d'Azur ayant connu la présence des Libyens, Numides puis Maures pendant des millénaires[12].

    Histoire

    Le fief appartient à la famille de Thorame-Glandèves.

    Le fief est ensuite acheté, vers 1340, par François Caïs, jurisconsulte à Nice. Le fief et son château sont convoités par Barnabé Grimaldi de Bueil car ils sont une enclave dans ses terres. Guillaume et Barnabé Grimaldi, fils d'Andaron Grimaldi devenu seigneur de Beuil par son mariage avec Astruge Rostang, demandent alors l'hommage à François Caïs. Barnabé n'ayant pas obtenu cet hommage, il attaque le château, mais est blessé par le fils de François Caïs, Bertrand. Remis de ses blessures, Barnabé Grimaldi réussit à prendre le château avec l'aide de sa parentèle, des habitants de Roure. Pour se venger, il tranche le poignet droit de Bertrand Caïs et lui crève les deux yeux avant de le laisser mourir, en 1353[13]. La reine Jeanne condamne Barnabé de Grimaldi et les habitants à payer 2 000 florins d'or. Mais le fief reste aux mains des Grimaldi de Bueil. Les autres parts du fief qui appartenaient à Pierre Balbi, seigneur de Valdeblore, de Marie, de Rimplas, de Saint-Sauveur, ont été confisquées et données à Jean Grimaldi de Bueil, en 1384. Les deux fils de Barnabé, Jean et Louis, ont été les acteurs principaux de la dédition de Nice à la Savoie, en 1388. Auparavant, le village est confisqué en aux Grimaldi pour être donné à un fidèle de la cause angevine, Pierre Balbi, seigneur de Tende[14].

    Le fief a appartenu aux Grimaldi de Bueil jusqu'à l'exécution d'Annibal Grimaldi, en 1621. Le château est alors détruit et le fief donné à la famille piémontaise Allbrione.

    Depuis toujours, l'isolement du village obligea ses habitants à vivre en autarcie ne descendant de la montagne qu'à pied ou à dos de mulet. La route ne fut créée qu'après la Seconde Guerre mondiale, cependant en 1927 les habitants mettent en place un câble de 1 850 m de long porteur de wagonnets en bois et actionné par un moteur électrique[15]. Il fonctionna jusqu'en 1962 permettant d'assurer la descente de la production (lait, fromages et farine) et de remonter les provisions et le courrier. Dans le village même, des brouettes à moteur montées sur chenilles permettent le transport des objets lourds le long des ruelles en pente et des escaliers[16].

    La route d'accès n'est arrivée à Roure qu'en 1933. Le tronçon menant à la chapelle Saint-Sébastien date de 1968.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Blanc    
    mars 2008 2020 René Clinchard DVG Retraité
    2020 En cours Jean-Claude Linck    

    Budget et fiscalité 2019

    Mairie.

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[17] :

    • total des produits de fonctionnement : 346 000 , soit 1 715  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 407 000 , soit 2 013  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 404 000 , soit 1 999  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 286 000 , soit 1 415  par habitant ;
    • endettement : 63 000 , soit 310  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 8,79 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 24,89 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 45,54 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés en 2017[18].

    Intercommunalité

    Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.

    Urbanisme

    La commune a adhéré au "plan local d'urbanisme métropolitain", approuvé le [19].

    Typologie

    Roure est une commune rurale[Note 1],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2018, la commune comptait 146 habitants[Note 3], en diminution de 28,08 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +0,5 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    652434540577646692572592570
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    440478558504502535517510507
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    26322220319416724714514871
    1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 - -
    112147167195216202146--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[29] :

    • Écoles maternelles et primaires à Saint-Sauveur-sur-Tinée, Valdeblore,
    • Collège à Saint-Sauveur-sur-Tinée,
    • Lycée à Valdeblore.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[30] :

    • Médecins à Saint-Sauveur-sur-Tinée, Isola,
    • Pharmacies à Isola, Saint-Martin-Vésubie,
    • Hôpitaux à Saint-Martin-Vésubie, Villars-sur-Var.
    • cabinet médical sur place, médecin, ostéopathe, pédicure...

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • Vacherie du Tréous[32].

    Tourisme

    • Gîte d'étape communal[33].
    • Chambres d'hôtes.
    • Refuge de Longon[34].
    • Les Rourois avaient le bonheur de trouver dans leur village, le restaurant gastronomique Le Robur[35], qui s'est vu attribuer une étoile Michelin en .

    Commerces et services

    • Le village de Roure dispose d'une boulangerie qui est ouverte tous les samedis soirs (pour la traditionnelle pizza) et dimanches matins.
    • Buvette Communale, Le café intergénérationnel[36].
    • La commune dispose de services de proximité[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune possède deux bâtiments inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.

    • La chapelle Saint-Sébastien[42] a été construite pour conjurer le danger de la peste de 1510 à 400 m à la sortie du village. Elle est décorée de fresques naïves du peintre Andrea de Cella[43]. Les fresques murales comprennent six panneaux consacrés à la vie de saint Bernard de Menthon et six autres, en vis-à-vis, racontant des épisodes de la vie de saint Sébastien. Sur le mur du fond, on peut voir, au sommet, le Christ sortant du tombeau, en dessous, au milieu, saint Bernard de Menthon tient le diable enchaîné. À sa gauche est représenté saint Sébastien percé de flèches et, côté opposé, saint Roch tenant un bourdon de pèlerin et montrant la plaie de sa cuisse qui est un stigmate de la peste pour la guérison de laquelle on l’invoquait[44].
    Une des particularités de la chapelle est la fresque dite des « Vices »[45]. Elle a été commandée par les villageois dans un but moralisateur pour rappeler le châtiment réservé aux personnes ayant fauté par la chair. Cette fresque a probablement été voulue par la communauté villageoise à la suite du péché de chair commis 83 ans plus tôt entre l’abbé Pierre Blanqui et Delphine, femme de Jean Bovis.
    À l'extérieur, un bénitier à tête sculptée.

    Le patrimoine de la commune présente également plusieurs lieux et monuments :

    Église de Valabres.

    Patrimoine religieux :

    • l'église Notre-Dame-des-Neiges, du XVIe siècle au hameau de Valabres[46] ;
    • la chapelle Saint-Pierre des Pénitents Blancs[47], construite au XVIIIe siècle, transformée en mairie ;
    • la chapelle Notre-Dame-des-Grâces[48], ou de la Madone, datant du XVe siècle située à l'entrée du village ;
    • la chapelle Sainte-Anne du XVIIe siècle au hameau de Tiecs[49] ;
    • le monument aux morts[50].

    Autres patrimoines :

    • le four communal[51], en service le week-end ;
    • le moulin[52] à farine et à huile[53], qui est, de par sa double fonction, unique en son genre dans les Alpes-Maritimes. Il a été restauré par l'Association 3PR, pour le patrimoine Roure[54] ;
    • le vieux lavoir à trois arches ;
    • les murs et linteaux[55] ;
    • le castel, ancienne maison forte démantelée en 1621 ;
    • l'arboretum Marcel Kroenlein sur quinze hectares entre 1 280 et 1 700 m d'altitude. On y trouve des collections de conifères, de joubarbes, d'érables, de genévriers et de rosiers. Des sculptures y sont présentées[56] ;
    • le plateau de Longon - traversé par le GR 5 - et son refuge, surplombé par les monts Gravières (2 331 m) et Autcellier ;
    • les blockhaus de Valabres principal et annexe, construits entre 1931 et 1935 face au centre de résistance de Rimplas[57] ;
    • au hameau de Tiecs : le menhir ou Peira, monolithe en grès rose de 2,27 mètres de haut, découvert en 1969 par P. Bodard.

    Héraldique

    Blason
    D’argent au chêne rouvre arraché de sinople, englanté d’or posé sur un mont escarpé de pourpre mouvant de la pointe[58].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Le hameau oublié de Valabre
    2. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
    3. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
    4. Didacticiel de la règlementation parasismique
    5. Hydrographie
    6. rivière la Tinée
    7. rivière La Vionène
    8. Description de la station de ROURE
    9. Table climatique
    10. Réseau régional de transport
    11. Vexillologie Provençale : Roure
    12. Chorographie du comte de Nice par le baron Louis Durante
    13. Georges Barbier, Châteaux et places fortes du comté de Beuil, p. 178, année 1994, no 11, Texte.
    14. G. Xhayet, op. cit., p. 421.
    15. Les gens sont vraiment différents ici
    16. Le village de Roure
    17. Les comptes de la commune
    18. Chiffres clés en 2017. Dossier complet
    19. Le PLU a fait l’objet d’une mise à jour par arrêté métropolitain du 2 septembre 2015 et la modification no 2 a été approuvée par délibération du Conseil Métropolitain du 29 juin 2017
    20. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Établissements d'enseignements
    30. Professionnels et établissements de santé
    31. aroisse Notre-Dame de la Tinée
    32. Vacherie du Tréous
    33. Gîte d’étape communal
    34. Refuge de Longon
    35. Auberge Le Robur
    36. Buvette Communale
    37. Services de proximité
    38. « Église Saint-Laurent », notice no PA00080829, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Notice no PM06000863, base Palissy, ministère français de la Culture triptyque : l'Assomption de la Vierge
    40. Église Saint Laurent
    41. Andrea de Cella
    42. « Chapelle Saint-Sébastien », notice no PA00080828, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Notice no PM06000854, base Palissy, ministère français de la Culture peintures monumentales : Scènes de la vie de saint Sébastien et de saint Bernard
    44. Chapelle-saint-sebastien-et-saint-bernard-roure
    45. La frise dite "des vices" de la chapelle Saint-Sébastien de Roure
    46. Chapelle Notre Dame des Neiges
    47. Chapelle Saint Pierre (Pénitents Blancs)
    48. Chapelle Notre Dame des Grâces
    49. Chapelle Sainte Anne Tiecs
    50. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954).
    51. Four Communal
    52. Ancien moulin, fontaine, lavoir
    53. Le moulin de Roure
    54. A3PR Association pour le patrimoine Roure
    55. Les murs et linteaux de Roure
    56. Michèle Ramin, Arbres de la Tinée et du Comté. L'arboretum de Roure, conservatoire de nos forêts, p. 156-159, Nice-Historique, année 1993, no 3-4, Texte.
    57. « blockhaus dit ouvrage d'avant-poste de Valabres principal », notice no IA06000033, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. La Tinée : Roure, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Archives de la commune, Inventaire établi par JC Linck, archiviste communal bénévole.
    • Roure, un village de la Tinée
    • L'histoire de Roure
    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée : pp. 863 à 865 : Roure
    • Murs et linteaux
    • Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)
      Vallées de la Tinée : Roure, Chapelles Saint-Sébastien-et-Bernard, l'église Saint-Laurent, p. 88
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Roure, p. 995
    • Peintures murales décors peints, Vallée de la Tinée, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.
      *La Tour-sur-Tiné; *Clans; *Valdeblore Saint-Dalmas; *Roure; *Roubion; *Saint-Étienne-de-Tinée; *Quelques saints représentés dans les vallées de la Tinée; *Les chapelles peintes de la Vallée de la Tinée
    • Village de Roure, par JPB le mer.
    • Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
      Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Roure, p. 74
    • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

    Articles connexes

    Liens externes

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