Rosis

Rosis est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Rosis

Mairie de Rosis, située à Andabre

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc
Maire
Mandat
Anne-Lise Sautérel
2020-2026
Code postal 34610
Code commune 34235
Démographie
Population
municipale
280 hab. (2018 )
Densité 5,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 20″ nord, 3° 00′ 16″ est
Altitude Min. 272 m
Max. 1 123 m
Superficie 52,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bédarieux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Rosis
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Rosis
Géolocalisation sur la carte : France
Rosis
Géolocalisation sur la carte : France
Rosis

    Géographie

    Carte

    La commune est située sur les Monts de l'Espinouse, dans le territoire du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

    Communes limitrophes

    Hameaux

    Église romane Notre-Dame-de Douch et Stèle au maquis Bir-Hakeim
    Le hameau de Douch


    • Andabre ;
    • les Avels ;
    • le Bosc ;
    • le Cabaret ;
    • Caissenols (inhabité) ;
    • Les Cambaults ;
    • le Carrousel ;
    • les Combes ;
    • Compeyre ;
    • Cours ;
    • le Cros ;
    • Douch ;
    • la Fage ;
    • le Fageas ;
    • la Gineste ;
    • Héric ;
    • Madale ;
    • la Matte ;
    • Nostre Seigné (inhabité) ;
    • la Palisse ;
    • Perpignan de la Grave ;
    • Rosis ;
    • Rogainard ;
    • Sénas ;
    • les Taillades ;
    • le Tourel ;
    • le Vialais (inhabité).


    Andabre, allée centrale du parc : carte postale (1ère moitié du xxe siècle).

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 306 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[6]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 128,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 53 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    Trois espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[21] :

    • « le Caroux et l'Espinouse », d'une superficie de 2 316 ha, un site remarquable par sa position intermédiaire entre les domaines atlantique, continental et méditerranéen. Il accueille les tourbières les plus méridionales du Massif central[22]

    et un au titre de la directive oiseaux[21] :

    • la « montagne de l'Espinouse et du Caroux », d'une superficie de 3 392 ha, connue pour la diversité des formations végétales et pour sa grande faune, en particulier le mouflon introduit avec succès il y a plusieurs décennies, son intérêt ornithologique est moins connu[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[24] :

    • les « gorges d'Albine » (150 ha), couvrant 3 communes du département[25] ;
    • les « gorges de Colombières » (318 ha), couvrant 2 communes du département[26] ;
    • les « gorges d'Héric » (1 587 ha), couvrant 3 communes du département[27] ;
    • le « plateau du Caroux » (387 ha), couvrant 4 communes du département[28] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[24] : le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Rosis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[30],[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (99 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (23,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,7 %), zones urbanisées (0,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes masage de Rosis (1650), Rozis (1680), Rosis (1770)...

    Il s'agit d'un terme hydronymique tiré d'un thème prélatin *rhod- à valeur inconnue[36].

    Histoire

    L'actuel territoire de Rosis est le résultat de plusieurs remaniements des limites. Sous l'ancien régime, l'essentiel de la commune dépendait du diocèse de Castres et de la sénéchaussée de Béziers. La paroisse de Notre-Dame-de Douch dépendait de la communauté de Taussac, mais servait de paroisse à une importante partie de la population de Rosis. Cette paroisse dépendait au religieux du diocèse de Béziers, au civil du diocèse civil de Castres. La commune de Rosis a été constituée en 1830 à partir de la commune disparue de Saint-Gervais-Terre (ou Saint-Gervais-Terre-Foraine), qui avait été elle-même constituée à partir de l'ancienne communauté de Saint-Gervais-Terre. Une partie des terres ont été rattachées aux communes de Castanet-le-Haut, Saint-Gervais-sur-Mare, Saint-Geniès-de-Varensal. Enfin Douch et quelques hameaux comme Madale, Héric, etc. ont été détachés de Taussac-la-Billière pour être rattachés à Rosis.

    En raison de sa géographie montagneuse, la commune possédait une mairie à Andabre et une mairie annexe à Rosis. Des registres d'état-civil étaient tenus dans chacune de ces mairies, malgré le petit nombre des actes enregistrés.

    Dans le hameau de Douch eut lieu, le , un des premiers combats importants de la Résistance (mentionné par le général de Gaulle). Il opposa un groupe de 47 maquisards dirigés par Christian de Roquemaurel à une colonne allemande forte de 200 hommes. Les maquisards se replièrent non sans avoir imposé de fortes pertes à l'ennemi.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    depuis 1995  ? Jacques Mendes SE Retraité
    Maire - vice-président de la communauté de communes de la Montagne du Haut Languedoc
    vice-président du parc naturel régional du Haut-Languedoc
    2020 En cours Anne-Lise Sautérel    
    Les données manquantes sont à compléter.
    Rosis

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2018, la commune comptait 280 habitants[Note 8], en diminution de 7,89 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6491 4981 7001 7838569901 000900861
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    879934891840830720741684641
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    608592606546534569572547513
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    425343269244257261294299304
    2013 2018 - - - - - - -
    304280-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Les armoiries de Rosis se blasonnent ainsi :

    Écartelé : au premier d'or à une machine à fabriquer les clous de sable, au deuxième et au troisième de sinople à une rose d'or, au quatrième d'or à une tête de mouflon de sable.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Rémi Azemar, « Un menhir en réemploi ? : commune de Rosis (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 15, , p. 3-5
    • Gilbert Massol, « Quelques éléments du petit patrimoine architectural rural de la haute vallée de Douch (commune de Rosis, Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 23, , p. 225-240
    • Gilbert Massol, « La restauration du moulin à eau de la Fage (commune de Rosis) : première partie », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 34, , p. 187-190
    • Gilbert Massol, « La restauration du moulin à eau de la Fage (commune de Rosis) : seconde partie », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 35, , p. 171-173

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Les Aires - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Rosis et Les Aires », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Les Aires - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Rosis et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Rosis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR9101424 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « site Natura 2000 FR9112019 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Rosis », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « gorges d'Albine » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « gorges de Colombières » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « gorges d'Héric » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « plateau du Caroux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « massif de l'Espinouse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    36. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 329
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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