Puiseux-le-Hauberger

Puiseux-le-Hauberger est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Puiseux.

Puiseux-le-Hauberger
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC Thelloise
Maire
Mandat
Bruno Caleiro
2020-2026
Code postal 60540
Code commune 60517
Démographie
Gentilé Puisotins
Population
municipale
857 hab. (2018 )
Densité 160 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 59″ nord, 2° 14′ 16″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 134 m
Superficie 5,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Puiseux-le-Hauberger
Géolocalisation sur la carte : Oise
Puiseux-le-Hauberger
Géolocalisation sur la carte : France
Puiseux-le-Hauberger
Géolocalisation sur la carte : France
Puiseux-le-Hauberger
Liens
Site web http://www.puiseuxlehauberger.fr

    Géographie

    La commune était traversée par la route nationale 1, qui a été déviée dans les années 1970 afin d'éviter le village[1].

    Communes limitrophes de Puiseux-le-Hauberger
    Dieudonné
    Bornel Neuilly-en-Thelle
    Fresnoy-en-Thelle

    Hydrographie

    Le ru de la Gobette la traverse. La Gobette se jette dans l'Esches, affluent de la rive droite de l'Oise, donc un sous-affluent de la Seine.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontoise - Aero », sur la commune de Boissy-l'Aillerie, mise en service en 1946[8] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 638,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 29 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Puiseux-le-Hauberger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,2 %), forêts (14 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    La commune de Puiseux-le-Hauberger s’est appelée par le passé : Puteus (Puits) Aquas (Eaux) en 673, Putcolx Juxta Bornellum en 1260, Pulcoli en 1161 puis : Puisieux en Chambly, Puiseux près de Beaumont-sur-Oise, Puiseux près de Bornel, Puisieux le Haut-Bergier, Puiseux, et Piseux.

    Comment est-elle devenue Puiseux-le-Hauberger ?

    • Le mot Puiseux vient du fait qu’elle soit située au fond d’une dépression (puits).
    • Hauberger : parce qu’au Moyen Âge, la spécialité de ce petit village était la confection de hauberts (cottes de mailles) ; le haubert est un long manteau de mailles de fer, à manches, et parfois à capuche et gants ou mitaines. Cette cotte est composée d'anneaux enclavés les uns dans les autres : les clavels[22].

    Histoire

    La terre appartenait à la paroisse de Saint-Germain-l'Auxerrois à Paris qui en vendit une partie pour participer au paiement de la rançon de François Ier.

    Sous Louis XIV la seigneurie appartenait à François d'Aguesseau. Louis de Conflans d'Armentières, vicomte d'Oulchy, la possédait pendant la première moitié du XVIIIe siècle.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Neuilly-en-Thelle[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Méru

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[25],[26].

    La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1957 1986 Georges Vogel PCF Conseiller général de Neuilly-en-Thelle (1976 → 1982)
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1986[28] septembre 2003[29] Yvon Viet Union de la gauche Démissionnaire
    septembre 2003[29] mars 2014 Brigitte Poupard   Analyste en gestion des ressources humaines
    mars 2014[30],[31] 17 mai 2015[32] Jean-Louis Vogel SE Expert-comptable
    Décédé en fonction
    juillet 2015[22] mai 2020 Joseph Karst SE Retraité
    mai 2020 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Bruno Caleiro[réf. nécessaire] LR Responsable de Secteur, conseiller départemental depuis 2021

    Démocratie participative

    La commune s'est dotée d'un conseil municipal d'enfants[33].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2018, la commune comptait 857 habitants[Note 7], en augmentation de 3 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    279381411356411422440482511
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    513485505490461396441394373
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    370322327375370336326270280
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    337379431587773790832838844
    2013 2018 - - - - - - -
    832857-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007
    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (juin 2020). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (53,3 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 53,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,6 %, 15 à 29 ans = 18,5 %, 30 à 44 ans = 22,7 %, 45 à 59 ans = 26,1 %, plus de 60 ans = 14,2 %) ;
    • 46,7 % de femmes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 16,1 %, 30 à 44 ans = 23,7 %, 45 à 59 ans = 22,7 %, plus de 60 ans = 19,1 %).
    Pyramide des âges à Puiseux-le-Hauberger en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,3 
    3,6 
    75 à 89 ans
    7,1 
    10,2 
    60 à 74 ans
    11,7 
    26,1 
    45 à 59 ans
    22,7 
    22,7 
    30 à 44 ans
    23,7 
    18,5 
    15 à 29 ans
    16,1 
    18,6 
    0 à 14 ans
    18,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Manifestations culturelles et festivités

    Le Foyer culturel et de loisirs de Puiseux-le-Hauberger organise une brocante de printemps au village, dont la 17e édition a eu lieu le [1]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et Monuments

    Il existe plusieurs monuments à Puiseux-le-Hauberger :

    Église.
    Château.
    Borne royale 22.
    • L'église Saint-Germain
      Son chœur est du XIIe. Sa nef du XVIIe (1618) recèle la tombe d'un seigneur de la maison de Conflans, mort en 1640[22].
    • Le château de Puiseux
      Le château, propriété privée qui n'est pas ouverte à la visite, fut d'abord un petit pavillon construit en 1610. Au XVIIe, il fut agrandi. Le pavillon central a trois étages en pierre blanche. À droite et à gauche, des galeries cintrées imaginées ou refaites avec adresse au XIXe, joignent le corps principal à deux bâtiments dont l'un, du XVIIIe est nommé le château d'Aguesseau. En effet, le marquis Henri François d'Aguesseau, chancelier de France sous le roi Louis XV, posséda Puiseux. Le château, entièrement rénové, a été, au cours du XXe siècle, la demeure de la Famille de Maistre, descendante du célèbre philosophe savoyard, Joseph de Maistre[22].
    • La borne royale
      Puiseux le Hauberger était traversé par la Route Royale no 1. À l'entrée de la commune, en venant de Paris, se trouve toujours une borne royale. Ornée d'une fleur de lys en bas-relief dans un ovale surmonté du nombre 22, elle indique la distance depuis Paris en demi-lieues de Poste[22]. 1 demi-lieue de Poste = 1000 toises = 1 949 m. Soit 1949 × 22 = 42,878 km de Paris Notre-Dame. Ce type de borne en grès d'une hauteur hors tout de 1,42 m était posée le long de toutes les routes royales de France. À la Révolution, la fleur de lys a été martelée et la borne retournée et le nombre 44 (en km) gravé face à la route.
      Une borne identique portant le nombre 23 se trouvait à la sortie de la commune en direction de Beauvais (toujours visible dans le parc d'un château-hôtel de la région ainsi que sa consœur 21, originairement placée au sud de Puiseux le Hauberger un peu avant l'entrée de la commune). Ces bornes royales étaient toujours installées à droite de la route en allant vers la capitale.
    • Les panneaux historiques
      La commune possède également des panneaux Michelin en béton et pierre de Volvic, panneaux de signalisation, panneaux indicateurs de direction datant des années 1950 et 60, seuls témoignages toujours présents de l'important passé routier de Puiseux-le-Hauberger. Quelques bornes hectométriques sont encore en place dans la commune, situées contre les murs des maisons.
    • Le relais de la Poste aux Chevaux
      Entièrement restauré et heureusement sauvé par la Compagnie Emmaüs, cet édifice important servait autrefois de relais pour la poste aux chevaux et le service des diligences[22].
      Le relais de poste de Puiseux-le-Hauberger était le premier en partant de Paris, ou le dernier avant Paris, où les voyageurs avaient la possibilité de dormir. Il contenait 80 chevaux en permanence, une maréchalerie, une bourrellerie, une charronnerie, une sellerie, une réserve à fourrage et des postillons de service jour et nuit. L'on y servait quotidiennement des repas à tous les voyageurs dans la salle d'auberge, ainsi qu'au personnel employé au relais.
      Le maître de poste de Puiseux, propriétaire du relais de poste, réunissait à lui seul les fonctions actuelles de chef de gare, d'hôtelier-restaurateur, de garagiste, de receveur des postes et aussi celle du plus important employeur de la commune. Le maître de poste prêtait souvent ses chevaux en renfort pour les travaux des champs comme lors des fenaisons. Chaque relais de poste possédait une ferme qui permettait de fournir les volailles, les cochons, les légumes, etc. pour le service de la table de l'auberge du relais. Celle du Relais de Puiseux se situait à droite de la route partant vers Beauvais au début de la montée nord de la commune.
      Durant la Révolution française, le relais de poste de Puiseux a vu passer un grand nombre de nobles et de personnes partant en émigration vers l'Angleterre, les Pays-Bas et l'actuelle Belgique. Puiseux était une étape sur l'itinéraire le plus court pour rejoindre une frontière.
      Parmi les personnages imaginaires passant à Puiseux-le-Hauberger, figurent notamment les trois mousquetaires allant récupérer les célèbres ferrets de la reine dans le roman d'Alexandre Dumas ; également Fantine du roman Les Misérables d'Hugo allant chercher du travail à Montreuil, après avoir confié sa fille Cosette aux aubergistes Thénardier à Montfermeil situé à l'est de Paris.
      Également, parmi les personnalités historiques, lors du "retour de l'aigle" (l'ex-empereur Napoléon revenant de l’île d'Elbe) en , Puiseux-le-Hauberger a vu passer beaucoup de royalistes quittant Paris avant l'arrivée de Napoléon pour les Cent-Jours. Le comte d'Artois (futur Charles X, frère du défunt Louis XVI et du roi Louis XVIII parti par la route passant par Chantilly) accompagné par des milliers de gens, dont les étudiants en droit de Paris à pied, les régiments de la Maison du Roi, Alfred de Vigny habillé en mousquetaire gris, le peintre Théodore Géricault, Chateaubriand et son épouse, les dignitaires de la cour, le duc de Berry, les maréchaux Berthier, Mac Donald, Marmont, Victor, etc.
      Louis Aragon a décrit cette épopée dans son livre " La Semaine Sainte " en citant plusieurs fois Puiseux-le-Hauberger.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Philippe Delattre, « Grand succès pour la brocante du Foyer culturel et de loisirs : Avec le soleil enfin revenu et une bonne douceur en journée, des milliers de chineurs ont afflué sur la brocante de printemps organisée dimanche dernier par le Foyer culturel et de loisirs, le long du stade », L’Écho du Thelle, no 629, , p. 14.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pontoise - Aero - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Puiseux-le-Hauberger et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pontoise - Aero - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Puiseux-le-Hauberger et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Alice Ancelin, « Puiseux-le-Hauberger, jadis connu pour ses cottes de maille : Troisième opus de notre série d’articles consacrés aux villages de la Communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner », L’Écho du Thelle, no 642, , p. 5.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    25. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    26. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    27. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
    28. « Les maires de Puiseux-le-Hauberger », FranceGenWeb (consulté le ).
    29. « Brigitte Poupard élue maire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Brigitte Poupard, la deuxième adjointe du maire, démissionnaire pour raison de santé, a été élue vendredi, à l'unanimité moins une voix ».
    30. « Puiseux-le-Hauberger : une liste face au maire sortant », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Audit des finances à venir à Puiseux-le-Hauberger », Le Courrier picard, (lire en ligne) « Il y avait foule vendredi 28 mars, en mairie, pour l’élection du nouveau maire, Jean-Louis Vogel. Grand vainqueur de l’élection municipale, Jean-Louis Vogel, tête de liste de l’opposition au maire sortant, a été élu maire en présence de Brigitte Poupard, son prédécesseur élue en 2003 après avoir effectué un mandat d’adjointe au maire ».
    32. A. M., « Puiseux-le-Hauberger : La commune pleure son maire disparu », Oise Hebdo, (lire en ligne).
    33. « 26 personnes pour nettoyer le village : Une opération de nettoyage de printemps a été organisée à l’initiative des jeunes élus du Conseil municipal des enfants samedi dernier », L'Écho du Thelle, no 631, , p. 14.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Évolution et structure de la population à Puiseux-le-Hauberger en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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