Prix Balzac
Le prix Balzac est un prix littéraire créé par Bernard Grasset dans les années 1920 et financé par Basil Zaharoff[1], pour primer les ouvrages de la maison d’édition[2].
Lauréats
- 1920 : Hubert-Fillay pour "Mon Blois à moi ..." Victor Hugo[3]
- 1922 : Émile Baumann pour Job le prédestiné[4]
- 1923 : Jean Giraudoux pour Siegfried et le Limousin[5]
- 1924 :
- Pierre Dominique pour Notre-Dame de la sagesse
- Paule Régnier pour La Vivante Paix[6]
- André Thérive pour Le plus grand péché[7]
- 1925 :
- Edmond André Rocher pour Les pires joies[8]
- 1944 : Jean-Marie Aimot pour La Carrière de Raoul Champfrond[9]
- 1975 : Jean d'Ormesson pour Au plaisir de Dieu[10]
- 1981 : Roger Ikor pour l’ensemble de son œuvre[11]
- 1986 : Robert Doisneau[12]
Notes et références
- « Basil Zaharoff en début d'article », sur rosinelagier.com (consulté le )
- Maïlys Masimbert, « Comment sont financés les prix littéraires ? », slate.fr, 5 novembre 2013
- « Hubert-Fillay », sur BnF (consulté le )
- « Émile Baumann », sur www.collectionnelson.fr (consulté le )
- « Jean Giraudoux », sur BnF (consulté le )
- « Paule Régnier », sur Gallica, L'Œuvre, (consulté le )
- « André Thérive », sur actualitte.com (consulté le )
- « Cote 19800035/1392/60829 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Jean-Marie Aimot », sur books.google.fr (consulté le )
- « Jean d'Ormesson », sur mediatheque-tampon.fr (consulté le )
- « Roger Ikor », sur Universalis (consulté le )
- « Robert Doisneau (page 8) », sur museejeancouty (consulté le )
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