Portiragnes
Portiragnes [poʁ.ti.ʁa.ɲə] (en occitan Portiranhas [pur.ti.'ra.ɲɔs]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Portiragnais. On distingue Portiragnes-Village et Portiragnes-Plage, station balnéaire.
Portiragnes | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Hérault Méditerranée | ||||
Maire Mandat |
Gwendoline Chaudoir 2020-2026 |
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Code postal | 34420 et 34450 | ||||
Code commune | 34209 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Portiragnais | ||||
Population municipale |
3 115 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 155 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 18′ 19″ nord, 3° 20′ 11″ est | ||||
Altitude | 15 m Min. 0 m Max. 41[1] m |
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Superficie | 20,16 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Unité urbaine | Portiragnes (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Agde | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.ville-portiragnes.fr/ | ||||
Géographie
Localisation
Portiragnes est situé le long de la Mer Méditerranée. La commune est bordée par celles de Béziers, Vias et Sérignan.
Communes limitrophes
Généralités
La partie côtière dite Portiragnes-Plage (La Redoute-plage jusqu'en 1985 ou parfois simplement : La Redoute) possède le caractère commun au littoral du Languedoc : un cordon de plages appréciées des touristes. Au nord et à l'ouest de Portiragnes-Plage dans un secteur compris entre la plage, l'étang de la Grand Maïre (commune de Sérignan) et le canal du Midi, on trouve une zone humide appelée « Grand Salan », lieu de reproduction de diverses espèces d'oiseaux (flamants roses, guépiers, hérons cendrés, huppes, colverts, tadornes, ibis… et depuis quelques années un couple de cigognes). À l'est de Portiragnes-plage, en direction de Vias, c'est le domaine des campings qui accueillent une vingtaine de milliers de personnes durant l'été. Au-delà du canal du Midi, en remontant vers le nord, on trouve le « village » puis une zone de garrigue en partie cultivée de vignes. L'« aéroport de Béziers - Cap d'Agde » s'y est implanté depuis la fin des années 1990. Dans la garrigue, il est possible d'observer des canepetières, espèce d'oiseaux rare (et protégée) dans la région.
Géologie
La plaine alluviale de l’Orb, dans sa partie basse, est pour une grande part composée de sédiments (quaternaire). De Béziers à la mer s’épandent les matériaux les plus fins, argiles et limons. Plus généralement, le double bassin de l’Hérault et de l’Orb porte les marques de l’ancienne transformation de ces fleuves en « ria » (ou aber) lors d’un relèvement eustatique (voir Eustatisme) durant le Pliocène. En dessous de Béziers, le lit majeur de l’Orb, encore discernable malgré les activités humaines, est encadré sur la rive gauche par un plateau de molasses marines[2],[3].
Mais, pour Portiragnes, le phénomène le plus marquant est l’importance des basaltes issus du volcanisme. Sur le territoire de la commune, le volcan de Roque-Haute est l’un des plus méridionaux d’une série de volcans alignés grossièrement nord-sud (partant du nord de Millaud jusqu’à une dizaine de kilomètres en mer au sud du Cap d’Agde) qui deviennent de plus en plus « jeunes » au fur et à mesure qu’on s’avance vers le sud. De type strombolien – donc au volcanisme explosif, projectif – le volcan de la Roque-Haute serait le plus jeune volcan du Languedoc, actif il y a « seulement » 0,56 million d’années (bien que d’autres proposent 0,8 ou 0,64 million d’années). Sa faible taille (il n’est qu’une modeste colline) indiquerait que ses éruptions ont peu duré (quelques jours ou semaines) et ont été peu productives. Manifestations secondaires du «point chaud» sous le Massif Central ou des étirements des rivages méditerranéens ? L’origine de ces volcans du Bas-Languedoc fait encore débat[4].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1994 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3,4 | 3,5 | 5,8 | 8,4 | 12,2 | 15,7 | 18,1 | 17,9 | 14,2 | 11,9 | 6,7 | 3,6 | 10,2 |
Température moyenne (°C) | 7,7 | 8,2 | 11 | 13,4 | 17,2 | 21,3 | 23,8 | 23,5 | 19,5 | 16,3 | 11,1 | 7,8 | 15,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,9 | 13 | 16,2 | 18,4 | 22,1 | 26,8 | 29,5 | 29,1 | 24,8 | 20,7 | 15,5 | 12,1 | 20 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,6 05.01.1995 |
−7,6 11.02.12 |
−8,7 02.03.05 |
−1,6 14.04.1998 |
3,4 01.05.01 |
7,4 12.06.19 |
9,8 13.07.00 |
10,1 30.08.1998 |
6,3 29.09.20 |
−0,8 31.10.1997 |
−7,4 22.11.1998 |
−8,1 17.12.01 |
−9,6 1995 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,1 13.01.04 |
23,7 22.02.19 |
28,1 30.03.12 |
32,5 08.04.11 |
33,6 28.05.06 |
39,7 28.06.19 |
38,5 11.07.03 |
39,1 04.08.18 |
34,8 23.09.18 |
33,1 02.10.1997 |
24,9 09.11.15 |
19,8 13.12.1998 |
39,7 2019 |
Ensoleillement (h) | 142,9 | 168,1 | 220,9 | 227 | 263,9 | 312,4 | 339,7 | 298 | 241,5 | 168,6 | 148,8 | 136,5 | 2 668,2 |
Précipitations (mm) | 56,5 | 57,8 | 28,6 | 49 | 50,8 | 27,1 | 10,9 | 26,8 | 70 | 79,1 | 67 | 54,9 | 578,5 |
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11].
Trois espaces protégés sont présents sur la commune :
- la réserve naturelle nationale de Roque-Haute, créée en 1955 et occupant une superficie de 160 hasur le site d'un ancien volcan, elle protège un ensemble de mares temporaires (plus de 200) qui sont apparues après l'abandon d'une carrière de basalte[12],[13] ;
- « la Grande Maire », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 156 ha[14],[15] ;
- la « Roque Haute », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 5,6 ha[16],[17].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[19] :
- le « plateau de Roquehaute », d'une superficie de 154,83 ha, un site exceptionnel comprenant plus de 200 mares temporaires méditerranéennes d'une très grande richesse floristique et offrant de nombreux faciès et de nombreux éléments d'associations de l'Isoetion[20] ;
- « la Grande Maire », d'une superficie de 422 ha, une petite surface des milieux naturels typiques des côtes basses languedociennes : un cordon dunaire constitué des dunes typiques méditerranéennes de l'avant-dune, à la dune blanche et à la dune grise (dune fixée)t en bon état de conservation et, en arrière de ce cordon, une zone humide avec des formations imbriquées en mosaïque (sansouires, lagunes et prés salés) [21] ;
et un au titre de la directive oiseaux[19] :
- « est et sud de Béziers », d'une superficie de 6 102 ha, constituée d'une vaste mosaïque de zones cultivées ponctuées de haies et de petits bois et la proximité de zones humides littorales de grande étendue, favorable à de nombreuses espèces d'oiseaux à forte valeur patrimoniale : le Rollier d'Europe, l'Outarde canepetière, le Circaète Jean-le-Blanc, le Milan noir et le Bruant ortolan[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[23] :
- le « domaine de Roque-Haute » (127 ha), couvrant 2 communes du département[24] ;
- « la Grande Maïre » (388 ha), couvrant 2 communes du département[25] ;
- le « lido de la Grande Maïre » (15 ha), couvrant 3 communes du département[26] ;
- la « plaine de Béziers-Vias » (606 ha), couvrant 4 communes du département[27] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[23] : le « marais et ancien grau du Libron » (331 ha), couvrant 2 communes du département[28].
Urbanisme
Typologie
Portiragnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Portiragnes, une unité urbaine monocommunale[32] de 3 134 habitants en 2017, constituant une ville isolée[33],[34].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[35],[36].
La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[37]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[38],[39].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (33,8 %), zones agricoles hétérogènes (33,2 %), zones urbanisées (9,8 %), zones humides côtières (9,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,7 %), eaux maritimes (0,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %), terres arables (0,1 %)[40].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Attestée sous les formes Guilhelmus clericus de Portainiacos (vers 1035), Rostagnus de Porcairanicis en 1116, Bernardus de Porcairanicis en 1118, Petri Gaucelini de Porcairanegues en 1141, Porchairanegues en 1142, in castro de Porcairanicis en 1152, ad Porcaranecas en 1179, apud Porcarainegues en 1213, castrum de Porcairanicis en 1231, Azalais de Porcairagues au XIIIe siècle, de Porcayranicis en 1351, de Porcairanicis au XVIe siècle, Portiraignes en 1708, Portiragnes en 1740.
Domaine gallo-romain : latin Porcarius, surnom de basse époque + suffixe -anicis. Le changement Porc > Port peut s'expliquer par l'attraction tardive du mot « port », le village se trouvant au bord d'un étang asséché[41],[42]
Histoire
Les fouilles notamment du pont de la Roque-Haute et de Peiro Signado mettent en évidence, pour la Roque-Haute, une des plus anciennes installations du Néolithique (5750-5600 av. J.-C.) d’agriculteurs éleveurs dont l'origine semble toscane et, pour Peiro Signado, un peuplement également agricole mais d'origine différente, venant du nord[43].
Sous la Révolution, Portiragnes est un petit village de 60 feux en tout. Les maisons, minuscules, sont en minorité par rapport aux écuries "patus" et pailliers. Les notables - tous parents ou alliés - sont les propriétaires des troupeaux, des champs et des pâturages. Ils ne vivent pas au village (mais à Villeneuve, Cers ou Béziers). Plusieurs façades d'aujourd'hui (rue Muette, du Vieux-Puits, de la Tour, place Saint-Jacques) portent des dates antérieures à 1789[44]…
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2018, la commune comptait 3 115 habitants[Note 7], en diminution de 3,41 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Culture locale et patrimoine
Animal totémique
Lou Biou (en occitan : lo Buòu), qui signifie « le bœuf » ou « le taureau », fait partie des animaux totémiques de l’Hérault. C'est en 2005, d'après un travail auprès des écoliers de Portiragnes, que l'histoire du taureau va naître. Suivant les recommandations des enfants, trois amis vont donner vie au « Biou » en 2009.
Féria
La féria de Portiragnes se déroule chaque année.
Héraldique
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Les armoiries de Portiragnes se blasonnent ainsi : |
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Personnalités liées à la commune
- Portiragnes est le lieu d'origine de la trobairitz occitane Azalaïs de Porcairagues.
- Sébastien Castella, matador.
- Portiragnes est la ville natale du botaniste Pierre Duchartre (né en 1811, décédé en 1894).
Jumelages
Portiragnes est jumelée avec Vieille-Brioude (France).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Portiragnes sur le site de l'Institut géographique national
- H2Geau, « Atlas des zones inondables du bassin versant de l’Orb par analyse hydrogéomorphologique », Direction régionale de l’environnement Languedoc-Roussillon, Montpellier, 2005, p. 13 ainsi que « Carte géologique du bassin versant de l’Orb et tronçons de l’Orb (d'après la carte géologique du BRGM 1/1 000 000 modifiée) », p. 11.
- Amberta, Paul Aguilarb, Jean-Pierre et Michaux, Jacques, « Évolution géodynamique messino-pliocène en Languedoc central: le paléo-réseau hydrographique de l'Orb et de l'Hérault (sud de la France) », Geodinamica Acta Volume 11, Issues 2-3, March-August 1998, Pages 139-146, Elsevier SAS, doi:10.1016/S0985-3111(98)80010-7
- Dautria J.-M., « Présentation du Volcanisme récent du Bas- Languedoc », Document PDF, Université de Montpellier 2, Montpellier, sd (2009 ?), p. 1 et 2 lien : http://www.gm.univ-montp2.fr/spip/IMG/pdf/Volcanisme.pdf
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Réserve naturelle de Roque-Haute. », sur www.reserves-naturelles.org (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « la Grande Maire », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le )
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- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Portiragnes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101430 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « site Natura 2000 FR9112022 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 300
- Toponymie des villages autour de Béziers
- Guilaine Jean, Manen Claire, Vigne Jean-Denis et al. "Pont de Roque-Haute Nouveau regard sur la néolithisation de la France méditerranéenne", CRPPM EHESS Archives d'Écologie Préhistorique, Toulouse, 2007 Voir aussi le musée Jean-Saluste à Portiragnes où de nombreuses pièces issues des fouilles sont exposées
- Delhon Geneviève, Delhon Jacques "Portiragnes Chroniques d'un village pendant la période révolutionnaire, ed. de la Ville de Portiragnes, Portiragnes, 1989
- Portiragnes Passion, « Elections municipales portiragnaises et ses évolutions (redif.). », sur blog.com, Photo Portiragnes Passion, (consulté le ).
- « Biterrois : Gwendoline Chaudoir, la maire de Portiragnes rejoint Agir la droite constructive », Midi libre, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Crozals, « Pierre Duchartre 1811-1894 : sa vie, sa correspondance », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, t. 1, , p. 119-165
- Geneviève Delhon et Jacques Delhon, Portiragnes : chronique d'un village pendant la période révolutionnaire, Portiragnes, Ville de Portiragnes, , 23 p.
- J.C. Ecallier, « Les poteries des Jonquies à Portiragnes (Hérault) : données analytiques nouvelles », Bulletin de la Société préhistorique française,
- Jean Grimal, « Le fonds de cabane mailhacien des "jonquies" à Portiragnes (Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 2, , p. 85-96
- Jean Grimal, « A propos du croissant-Chenet de Portiragnes », Bulletin de la Société d'études scientifiques de Sète et de sa région, no 3, , p. 36-47
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Portiragnes (1342-1839) [1,81 ml]. Cote : 209 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie de Portiragnes
- Portail des communes de France
- Portail de l’Hérault