Plédéliac

Plédéliac [pledeljak] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Plédéliac

L'église Saint-Malo.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Maire
Mandat
Michel Vimont
2020-2026
Code postal 22270
Code commune 22175
Démographie
Gentilé Plédéliacais, Plédéliacaise
Population
municipale
1 457 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 00″ nord, 2° 23′ 12″ ouest
Altitude 102 m
Min. 17 m
Max. 111 m
Superficie 51,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Plénée-Jugon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Plédéliac
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Plédéliac
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Plédéliac
Géolocalisation sur la carte : France
Plédéliac
Liens
Site web pledeliac.fr

    Géographie

    Localisation

    Plédéliac est située entre Dinan et Lamballe, à 11 km à l'est de Lamballe.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    La commune de Plédéliac comprend, outre le bourg, de nombreux lieux-dits, parmi lesquels : le Chêne-au-Loup, Saint-Jean, la Chênaie, la Tortillais, la Bertière, la Denais, le Fougeray, le Frêne, Saint-Maleu, le Plessis-Camet, la Villéon, Loiserie, le Pré, le Saint-Esprit-des-Bois, le Chef-du-Bois, la Ville-Morvan, la Brousse, la Goudais, le Clos, le Lié, la Plançonnais, Saint-André, la Pefferie, etc.

    Trois forêts couvrent une partie de la commune :

    • la forêt de Saint-Aubin (forêt privée 2 600 ha),
    • la forêt de Coat-Jégu (forêt privée),
    • la forêt de la Hunaudaye (1 040 ha).

    Hydrographie

    • Le lac de barrage sur l'Arguenon de la Ville Hatte borde la partie est de la commune (où se trouve notamment implantée une base nautique réputée).
    • Le Guébriand y prend sa source dans la forêt de la Hunaudaye.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 729 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Quintenic », sur la commune de Quintenic, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 743,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1950 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Plédéliac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), zones agricoles hétérogènes (21,7 %), terres arables (20,2 %), prairies (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), eaux continentales[Note 6] (1,1 %), zones urbanisées (1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Pledelia en 1187 et en 1200, Pledeliau en 1219, Parrochia de Pludeliau et Pledelia en 1234, Pludelia en 1248, 1264, 1298 et vers 1330, Pledeliat en 1364, Pledelia en 1420, 1514, 1536 et en 1583, Pledeliac en 1569[21].

    Son nom vient du breton ploe qui désigne une paroisse et de Théliau ou Théleau[21].

    Le nom en gallo est Plédélia[22].

    Histoire

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    Moyen Âge

    L'allée couverte qui se situait à proximité du village de Saint-André attestait d'une présence humaine des environs de Plédéliac dès la Préhistoire. Cependant, la paroisse n'est évoquée dans les documents historiques qu'à partir du Moyen Âge.

    En 1214, le duc de Bretagne, Pierre Mauclerc, autorise les Tournemine à construire une forteresse. Il leur offre pour cela les terres de Pléhérel, de Landébia et de la forêt alors dite « de Lamballe ». Puis, les seigneurs de la Hunaudaye et de Penthièvre accueillent sur leurs terres les religieux du prieuré du Saint-Esprit et de l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois, qui contribuent au défrichement, à la mise en valeur du territoire et au développement de techniques agricoles nouvelles.

    La forteresse de la Hunaudaye, construite à partir de 1220, était la clé du Penthièvre ; érigée en baronnie au XVe, elle résista aux tentatives de démolition de la Révolution.

    Dès l'époque médiévale, l'importance de la forêt sur le territoire est cruciale. L'antique forêt de Lanmeur est rebaptisée forêt de la Hunaudaye lors de la montée en puissance des Tournemine, les seigneurs du château de la Hunaudaye.

    Peu à peu, c'est autour de l'église paroissiale Saint-Malo que se développe le bourg de Plédéliac. La seigneurie de La Hunaudaye, quant à elle, est érigée en baronnie des États de Bretagne le .

    Époque Moderne

    Au cours de la Révolution, le château et l'abbaye de Saint-Aubin sont pillés, comme tant d'autres en France, mais ne sont pas détruits.

    Jusqu'au début du XXe siècle, la forêt de la Hunaudaye est exploitée pour le charbon et le bois d'œuvre, ce qui apporte un complément important à la vocation agricole de la commune.

    Les guerres du XXe siècle

    Le monument aux Morts porte les noms de 138 soldats morts pour la Patrie[23] :

    • 124 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
    • 14 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

    Au cours de la Seconde Guerre mondiale, en 1943 précisément, un maquis vient se fixer à la Hunaudaye et plusieurs parachutages d'armes sont effectués en 1944 dans les Landes de Plédéliac.

    Après la Libération, le maquis de Plédéliac érige un camp d’internement pour anciens collaborateurs. Cette situation illégale ne durera que quelques jours[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1946 Louis Le Mazier SFIO agriculteur
    conseiller général (1945-1946)
    1977 1987 Marcel Meslay PS  
    - mars 2001 Hélène Hamon DVD retraitée
    mars 2001 mars 2008 Madeleine Houzé DVG sans profession
    mars 2008 23 mai 2020 Alain Briens DVD agriculteur en retraite
    23 mai 2020 En cours Michel Vimont[25]    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 1 457 habitants[Note 7], en augmentation de 6,82 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6881 7131 7631 9032 0072 0172 0242 0442 128
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0542 0512 0772 1622 2552 2112 2552 3022 186
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0842 0411 9591 7371 7071 6441 5621 4361 388
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 3991 3901 3361 3001 2321 2381 2561 2581 318
    2017 2018 - - - - - - -
    1 4391 457-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Évènements

    Le 1er week end du mois d'août depuis 1974, la fête du bois au village d'antan est organisée par l'association de la [30].

    Sports

    Associations sportives : (club de football), les Avirons d'Armor (club d'aviron) ou Hunaudaye Tonic ("Gym Tonic"), des associations touchant à l'art comme la chorale de la Hunaudaye, l'art floral, la troupe de théâtre "Pécroute & Co", mais aussi des associations diverses telles que le club de chasse ou l'association "Awar Bonyolo", œuvrant pour le Burkina.

    Culture locale et patrimoine

    Château de la Hunaudaye.

    Lieux et monuments

    La commune compte quatre monuments historiques et 22 monuments inventoriés :

    • l'église Saint-Malo,  Inscrite MH (1926, Façade et nef)[31] ;
    • le château du Guillier, XVIIe siècle,  Inscrit MH (1990, Façades et toitures du logis (parties XVIIe et XVIIIe siècles) , de la chapelle et des dépendances (XVIIIe siècle) ; cour ; jardin à la française ; grande allée du parc)[32] ;
    • le château de la Hunaudaye, XIIIe siècle,  Classé MH (1922, 1930, Le château : classement par décret du 18 février 1922 - La parcelle dite Les Glacis, entourant le château : classement par arrêté du 27 novembre 1930).[33] ;
    • le château de Saint-Aubin, construit en 1900[34] pour la famille Palluel, à proximité de l'emplacement de l'ancienne abbaye de Saint Aubin, détruite, dont restent quelques vestiges (anciens logements). Le domaine passe en 1904 aux de Guényveau par mariage[réf. nécessaire]. Ce château, de plan complexe, à plusieurs corps de bâtiments, est implanté dans un vaste domaine forestier parcouru d'avenues et entouré d'un parc. Une orangerie est adossée à la façade sud du logis. Le puits possède une superstructure en ferronnerie. Les communs sont construits en pierre et brique. Propriété privée, ne se visite pas ;
    • allée couverte et alignement de Saint-André,  Classé MH (1970, Allée couverte et alignement de menhirs)[35] ;
    • l'allée couverte des Jeannetières ;
    • les vestiges de l'abbaye de Saint-Aubin ou Saint-Aubin-des-Bois (XIIe siècle), inventorié au titre des monuments historiques[36] ;
    • La chapelle du Saint-Esprit, (XXe siècle), située au lieu-dit le Saint-Esprit-des-Bois et reconstruite vers 1925. Elle abrite une statue de saint Jean Baptiste datée du XIVe siècle, un retable en bois porte les armes de la famille de Rieux, propriétaire de La Hunaudaye aux XVIIe et XVIIIe siècles. La chapelle conserve les tableaux de Philippe intitulés La Sainte Famille et La Mort (1781)[37],[38] ;
    • le manoir de Belouze, XVIe siècle, est aujourd'hui une ferme-auberge pédagogique, accueillant surtout les enfants et les classes de découverte, principalement autour du thème de la nature.
    • l'écomusée de la Ferme d'Antan : musée ouvert au public depuis 1978, il restitue la vie d'une ferme dans les années 1920[30].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Amiot, « L'Abbaye de Saint-Aubin des Bois », dans Le Pays de Dinan, 1981, pp. 71-80.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Quintenic - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Plédéliac et Quintenic », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Quintenic - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Plédéliac et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Pledeliac ».
    22. « Plédélia » sur chubri-galo.bzh/
    23. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    24. Jacqueline Sainclivier, « Le retour à la paix dans l'Ouest, de 1944 à ? », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest. Tome 104, numéro 1, 1997. p. 105.
    25. « Municipales à Plédéliac. Michel Vimont est devenu maire samedi », Ouest-France, (lire en ligne).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. L' écomusée de la Ferme d'Antan.
    31. « Église Saint-Malo », notice no PA00089397, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Château du Guillier », notice no PA00089759, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Château de la Hunaudaye », notice no PA00089396, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Porte la date.
    35. « Allée couverte et alignement de menhirs indicateurs de Saint-André », notice no PA00089395, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « abbaye de Saint-Aubin-des-Bois », notice no IA22000209, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « chapelle du Saint-Esprit », notice no IA22000128, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Les objets inventoriés de la chapelle », base Palissy, ministère français de la Culture.
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