Pierrefort

Pierrefort (Pèirafòrt en occitan) est une commune française, située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ne doit pas être confondu avec Château de Pierrefort.

Pierrefort

Vue générale de Pierrefort.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Saint-Flour
Intercommunalité Saint-Flour Communauté
Maire
Mandat
Philippe Mathieu
2020-2026
Code postal 15230
Code commune 15152
Démographie
Gentilé Pierrefortais, Pierrefortaises
Population
municipale
891 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 55′ 21″ nord, 2° 50′ 19″ est
Altitude 950 m
Min. 730 m
Max. 1 115 m
Superficie 24,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Flour-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Pierrefort
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Pierrefort
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Pierrefort
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Pierrefort
Liens
Site web pierrefort.fr

    Géographie

    Commune du Massif central sur le Vezou, elle fait partie du parc naturel régional des Volcans d'Auvergne.

    Localisation

    Le pays de Pierrefort se situe dans la partie méridionale du département, à la limite des départements du Cantal et de l'Aveyron. Une grande partie du territoire est compris dans le parc des Volcans d'Auvergne au sud. L'activité volcanique est visible un peu partout sur le territoire. Situé entre le Plomb du Cantal (1855 m) et la vallée de la Truyère (650 m), le pays de Pierrefort présente un fort dénivelé (1855 m - 650 m) pour une altitude moyenne de 1000 m. Cette situation offre donc une grande variation de paysages alternant montagnes, rivières, forêts de hêtres ou de conifères, de plateaux volcaniques ou de schiste. Le territoire communal est bordé à l'ouest à deux reprises par le Brezons, un affluent de la Truyère.

    Communes limitrophes

    Climat

    Climat de moyenne montagne. La neige est présente en abondance la plupart des hivers. Pendant la période estivale, il peut y faire très chaud.

    Pierrefort bénéficie d'un bel ensoleillement tout au long de l'année (+ de 2000h par an, selon Météo France[1] )

    Les communes du Cantal, dont Pierrefort, sont régulièrement soumises à de violents orages d'été. Selon les spécialistes, les observations d'éclairs y sont parmi les plus spectaculaires de France.

    Urbanisme

    Typologie

    Pierrefort est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,5 %), forêts (11,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), zones urbanisées (3,6 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la commune provient d'un château qui autrefois surveillait la vallée de la Truyère. Il a été démantelé.

    La toponymie de certains lieux du canton (Boussac, Paulhenc, Trénac) indique qu'il y a eu une occupation à l'époque gallo-romaine dans le secteur. En effet, la majorité des noms se terminant en ac signifie: "la villa de...". par exemple, Boussac était la villa de Buccius ou Buttius[9],[10].

    Histoire

    Sous Charlemagne, il est nécessaire de mettre un peu d'ordre dans l'immense empire qu'est la France. On institue donc des organes réguliers du pouvoir central appelés "comtés". Le canton de Pierrefort est rattaché au grand comté d'Auvergne. Ce grand comté est lui-même divisé en cinq comtés mineurs. Le canton de Pierrefort est situé sur la vicomté de Carlat à l'ouest et sur le comté de Tallende à l'est. Les comtés sont eux aussi divisés en vicairies. Pour Pierrefort, à l'est la vicairie de la Planèze et à l'ouest, la vicairie de Barrès.

    La naissance de Pierrefort (XIIe – XIIIe siècle)

    À l'origine, la terre de Pierrefort appartient à Astorg de Curiole et Bernard Jurquet, qui est de la famille d'Oradour (tous deux sont de redoutables seigneurs).

    En 1050, l'héritière des Jurquet épouse Astorg de Peyre. La terre passe ainsi dans les mains des seigneurs de Peyre, originaires du Gévaudan. C'est à ce moment-là que naît le Fort des Peyre, donc le village de Pierrefort.

    La présence de la famille de Peyre sur les terres de Pierrefort est confirmée en 1177 par la donation de plusieurs droits sur le hameau de Fraissinet (près d'Oradour) au monastère de Bonneval par Guibert de Peyre.

    C'est entre 1200 et 1250 exactement, que la famille de Pierrefort, qui est une branche de la famille de Peyre, apparaît. Désormais, le prénom sera suivi de "Peyre de Pierrefort" puis uniquement de "Pierrefort". Guillaume de Peyre de Pierrefort est le premier à s'appeler ainsi. Il est cité en 1250.

    Cela se passe en parallèle de la construction du château. Sa situation privilégiée sur un éperon basaltique et entouré de grosses murailles, le rend imprenable jusqu'au XVIIe siècle.

    À la même période Marc de Peyre de Pierrefort prétend le titre de premier baron d'Auvergne en raison de sa participation à la Croisade des Albigeois. Ce titre est revendiqué par les barons d'Apchon, grands rivaux des Peyre. L'affaire n'est réglée que 150 ans plus tard (le ) et donne avantage aux barons de Peyre. Ce titre leur procure plusieurs avantages financiers, terriens et juridiques ainsi qu'une reconnaissance de supériorité sur les autres baronnies. (cet acte est mis en doute par les historiens, mais la noblesse de ce temps accepte le document et le prend pour véritable).

    La guerre de Cent Ans (1337 - 1453)

    Au XIVe siècle, Pierrefort est la ville principale d'une baronnie et cela n'échappe pas aux Anglais. En 1337, la frontière anglaise se trouve au Pont de Tréboul. En 1360, Pierrefort est attaqué mais les murailles résistent un certain temps aux assauts britanniques. Finalement, Pierrefort est occupé et incendié deux fois avant 1363 et une fois partiellement avant 1373. L'édifice le plus endommagé est l'église Saint-Jean-Baptiste construite à l'extérieur de l'enceinte. Peu après, Pierrefort est choisi comme point de réunion avec les Anglais. Mais la guerre n'est pas terminée ; de nombreuses bandes armées sont encore sur le territoire. Et point de Jeanne d'Arc à Pierrefort.

    C'est Bernard d'Armagnac (comte de Padirac, vicomte de Carlat et de Murat, et par mariage, comte de la Marche, de Castres et duc de Nemours) qui "boute" les Anglais hors du territoire de Pierrefort en 1427.

    Les guerres de Religion (2de moitié du XVIe)

    En 1562, la France est secouée par les guerres de Religion.

    Dans un rapport au Roi Henri IV, le président de Vernyes (Président du Parlement de Paris au XVIe siècle) décrit le château de Pierrefort comme incommode et ses chemins impraticables pour les canons. On ne peut pas y tenir un siège. Le château de Pierrefort est donc choisi comme magasin d'approvisionnement pour les armées du Roi.

    Pierrefort du XVIe au XVIIe, la fin de la baronnie

    Au début du XVIe siècle Bertrand de Pierrefort meurt sans postérité. Sa veuve donne la baronnie à René d'Hérail, son neveu. En échange, celui-ci prend le nom et les armes des Pierrefort. Cette coutume est très répandue. Lors d'un legs l'héritier doit obligatoirement ajouter à son propre nom et à ses armes, ceux du défunt. L'héritier devient également vassal des personnes (roi, seigneurs plus puissants, monastère...) dont le défunt était lui-même vassal.

    Dès lors, le château n'est plus habité et seul un gardien y est maintenu. Ce dernier habite la maison située près de la mairie actuelle.

    Après la destruction du château, Pierrefort sombre lentement dans le désintéressement de ses propriétaires. Cette tendance s'accélère en 1748 lorsque Marthe d'Hérail de Pierrefort, dernière héritière des Pierrefort, épouse Hyacinthe de Saint-Martin d'Aglié, marquis de Rivarol en Piémont. Leur fille a épousé le François-Ignace de Lavaissière de Cantoinet. Sa galanterie et ses singularités défrayèrent longtemps la chronique scandaleuse du pays. Elle avait su persuader l'intendant du pays pour obtenir la construction d'un chemin partant d'Entraygues-sur-Truyère où elle possédait le château de Candèze, pour se rendre au château de Cantoinet où elle demeurait, près de Sainte-Geneviève-sur-Argence.

    La Révolution française

    Pendant la Révolution, l'église de Pierrefort sert de temple de la raison (temple ou l'on célèbre la nouvelle religion et le culte de l'Être suprême). Plusieurs croix sont également arrachées.

    Malgré l'abandon du château par ses propriétaires et les destructions de la Révolution, Pierrefort est encore décrit au XIXe siècle, comme "l'endroit le plus considérable du Cantal et le centre de cette contrée"[11].

    En , la Foraine de Pierrefort est érigée en commune.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020 Louis Galtier UMP-LR Fonctionnaire
    Conseiller général du canton de Pierrefort (1988 → 2015)
    mai 2020 En cours Philippe Mathieu   Cadre de La Poste

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].

    En 2018, la commune comptait 891 habitants[Note 2], en diminution de 2,52 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,54 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2171 2661 3551 3421 3751 3781 2751 1681 218
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1011 1221 1341 2381 1101 0921 1911 2311 207
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2131 2601 2071 1511 1581 1231 1241 0881 067
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 0671 0901 1311 0911 0171 002932921911
    2013 2018 - - - - - - -
    914891-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    • Chaque année, la course cycliste "Etape Sanfloraine" traverse Pierrefort en août. En Juillet, c'est la Pierrefortaise. Un club cycliste Pierrefortais a été créé récemment[Quand ?].
    • Pierrefort propose un club de football.
    [réf. nécessaire]

    Loisirs

    • Médiathèque du Pays de Pierrefort
    • Théâtre : tous les deux ans a lieu une pièce de théâtre jouée par des comédiens amateurs (les Amis de théâtre de Pierrefort). Leur répertoire est varié.
      • "Les enfants d'Edouard" de M.G Sauvajon
      • "Le bal des voleurs" de J.Anouilh
      • "La poudre aux yeux" de E.Labiche
      • "Dix petits Nègres" d'après A.Christie
      • "La savetière prodigieuse" de F.G Lorca
      • "Treize à table" de M.G Sauvajon
      • "Dormez je le veux"
      • "Feu la mère de Madame" de G.Feydeau
      • "La barque sans pêcheur" d'Alejandro Casona
      • "Les rustres" de C.Goldoni
      • "La perruche et le poulet" de R.Thomas
      • "La Sauvage" de J.Anouilh
      • "À propos de pattes" de E.-J.Sorson
      • "Franches lippées" de T.Bernard
      • "La dame de l'aube" d'Alejandro Casona(2009)
    • La Galerie d'art : « les Éléphants d’Armand », est située au cœur même du village de Pierrefort (place de la Fontaine). Lorsque l'on pénètre à l'intérieur, on ne peut qu'être surpris de voir un tel objet en terre auvergnate. C'est un réel dépaysement, nous quittons momentanément le Cantal pour nous introduire dans le continent africain.

    Nous découvrons ainsi des tableaux provenant d'Afrique du Sud (notamment du peintre Matondo) mais aussi des sculptures d'éléphants du célèbre sculpteur Van Den Bergue.

    • La Ballade culturelle propose des spectacles tout au long de l'année dans différentes communes du Pays de Pierrefort.

    Vie associative

    De nombreuses associations sont présentes à Pierrefort :

    • Association les Tersons avec sa Fête des Tersons Aubrac (15 jours avant Pâques)
    • Eruptions de couleurs avec sa Fête de la Peinture (2e samedi de juillet)
    • La Petite Boule Montagnarde avec son Championnat d'Europe de Boules carrées
    • l’Association Familiale et rurale (CLSH en été, nombreuses activités durant les vacances scolaires pour enfants et adultes)
    • Association Mémoire
    • Associations sportives:
      • Family Footbal,
      • Etoile Sportive Pierrefortaise (club de foot)
      • Association basket Pierrefort (pour enfants et adultes)
    • Amicale des Sapeurs-pompiers
    • Association des vieux camions rouges
    • Association des donneurs de sang
    • Montrozier-club (club des aînés ruraux)
    • Association chrétienne d'entraide et d'animations des personnes âgées
    • Association pour l'Animation du Pays de Pierrefort (randonnées accompagnées, VTT, tir à l'arc, orientation...)
    • Société de pêche
    • Association de chasse
    • Comice agricole
    • Pierrefort détente (cours de gym)
    • Club cycliste, depuis

    Économie

    • Agriculture et élevage (bovins essentiellement)
    • Artisans : menuiserie, plomberie, couvreurs, travaux publics, électriciens, maçons,
    • Commerces : boulangerie, boucheries, cafés, hôtels, restaurants, fleurs et décoration, fromageries, supérettes, librairie-papeterie, salons de coiffure
    • Services : maison des services, médiathèque, office de tourisme, banques, médecins, pharmacies, vétérinaires, kinésithérapeute, dentiste, infirmières, maison de retraite, centre pour handicapés, assurances, école primaire, collège, taxis, transporteur, la Poste

    Tourisme : aire d'accueil pour camping cars, D 990 - côte de Chabridet - nord du bourg, route de Saint-Flour, devant le collège.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Jean-Baptiste
    Monument aux morts
    • Ancienne ville fortifiée
    • Église paroissiale Saint Jean-Baptiste
    • Monument aux morts érigé en 1927, œuvre du sculpteur Maurice-Joseph Grandet[16]
    • Chapelle et moulin de Planchis

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste Devillas, député à l'Assemblée nationale de 1789 à 1791, président du Conseil général du Cantal en 1804 et 1807.
    • Armand Bory (1844-1931), député du Cantal (1891-1898) et (1910-1914), conseiller général du canton de Pierrefort (1880-1925)
    • Jean Todt, président de la Fédération internationale de l'automobile, né à Pierrefort. Une rue à son nom a été inaugurée à Pierrefort le .
    • Sylvie Pullès, accordéoniste, médaillée de la ville.

    Héraldique

    Le blasonnement de Pierrefort est : D'or à la bordure de gueules

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Ambiances climatiques dans le Cantal • dZiGue », sur dZiGue, (consulté le )
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984, p. 99-100, à Bossay
    10. Bénédicte Boyrie-Fénié, Jean-Jacques Fénié, Toponymie des Pays Occitans, Édicions Sud-Ouest, 2007, p. 147
    11. Revue de la Haute Auvergne, Cahier de doléances, Jean Hannequin, 1996
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. « Monument aux morts de Pierrefort », notice no PA15000053, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    Les différents ouvrages notés ci-dessous parlent de Pierrefort. Ils sont disponibles à la médiathèque du Pays de Pierrefort.

    Villes et Villages du Cantal ; Louis Taurant

    • Louis Taurant, Le Cantal, c’était hier,
    • Le Cantal, Les éditions du bastion
    • Marie-Claire Ricard, Hervé Monestier, Villages d'Auvergne,
    • Cantal, le Guide
    • Monique Roque, Pierre Soissons, Vaches rouges, montagne à vaches
    • Christian Marchi, Le Cantal, Paris, Encyclopédie Bonneton
    • Henri Vincenot, Les étoiles de Compostelle
    • Patrick Süskind, Le parfum
    • Paul Bélard,
      • Moissons d’enfance,
      • La Rivière aux écrevisses,
    • Musée d'Orsay, Un ensemble art nouveau ; la donation Rispal.

    Liens externes

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