Opuscules philosophiques et littéraires, la plupart posthumes ou inédites

Les Opuscules philosophiques et littéraires, la plupart posthumes ou inédites[1] est un recueil de textes du XVIII^e siècle constitué par Jean Baptiste Antoine Suard et Simon-Jérôme Bourlet de Vauxcelles et édité à Paris par l’imprimerie du Chevet en 1796. Il se présente sous la forme d'une monographie de 270 pages in-12° ; quelques exemplaires ont été imprimés en in-8° sur papier vélin[2].

Opuscules philosophiques et littéraires

Auteur	Denis Diderot Émilie du Châtelet Thomas et al.
Pays	France
Genre	Recueil philosophique
Éditeur	imprimerie du Chevet (cour de Rohan)
Date de parution	1796

Il contient les 8 textes suivants :

p. 1, des Réflexions sur le bonheur par madame du Chastelet ;
p. 45, une Anecdote sur le Roi de Prusse par Thomas ;
p. 73, L’Entretien d'un philosophe avec la maréchale de *** de Denis Diderot.
p. 111, Du bonheur des sots par M. Necker ;
p. 125, Le bon homme, Conte moral ou Histoire scandaleuse ;
p. 132, Le vrai philosophe par César Chesneau Dumarsais[3]
p. 169, Les femmes par le feu abbé Galliani (sic) ;
p. 187, Le Supplément au voyage de Bougainville de Denis Diderot.

Ce recueil hétéroclite semble s'articuler autour de Diderot : deux de ses œuvres y sont reprises et le Supplément au voyage de Bougainville qui occupe à lui seul près d'un tiers du volume, apparait en fait pour la première fois ici sous forme de monographie.

Notes et références

inédites (sic) : opuscule est pourtant bien masculin, actuellement.
Comme indiqué en regard de la page de titre.
Il s'agit du texte de l'article Philosophe, inséré dans l'Encyclopédie, vol. XII (1765), p. 509b–511a. Au sujet de ce texte et de son attribution, voir N. Cronck, Voltaire éditeur du Philosophe de Du Marsais, La Lettre clandestine (Paris, ISSN 1242-3912), 2008, n° 16, en particulier les pages p. 179-180.

Liens externes

Un exemplaire disponible dans Gallica.
(de) Présentation de l'ouvrage, Allgemeine Literatur Zeitung, 5 janv. 1797, nr 5, p. 1 en ligne

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[1] édites (sic) : opuscule est pourtant bien masculin, actuellement.

[2] Comme indiqué en regard de la page de titre.

[3] Il s'agit du texte de l'article Philosophe, inséré dans l'Encyclopédie, vol. XII (1765), p. 509b–511a. Au sujet de ce texte et de son attribution, voir N. Cronck, Voltaire éditeur du Philosophe de Du Marsais, La Lettre clandestine (Paris, ISSN 1242-3912), 2008, n° 16, en particulier les pages p. 179-180.