Noguères

Noguères (en béarnais, gascon ou occitan : Noguèras) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Noguères (homonymie).

Noguères

La mairie de Noguères.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Firmin Lara
2020-2026
Code postal 64150
Code commune 64418
Démographie
Population
municipale
140 hab. (2018 )
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 22′ 20″ nord, 0° 35′ 39″ ouest
Altitude Min. 104 m
Max. 152 m
Superficie 1,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mourenx
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Noguères
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Noguères
Géolocalisation sur la carte : France
Noguères
Géolocalisation sur la carte : France
Noguères

    Géographie

    Localisation

    La commune de Noguères se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 4,1 km de Mourenx[3], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Pardies (0,9 km), Mourenx (1,3 km), Bésingrand (2,2 km), Os-Marsillon (2,5 km), Lahourcade (2,6 km), Abos (3,0 km), Artix (3,5 km), Abidos (3,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Noguères fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Communes limitrophes de Noguères[6]
    Os-Marsillon
    Mourenx Pardies
    Lahourcade

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Noguères.

    La commune est drainée par la Baïse de Lasseube, la Baysère, le Luzoué, un bras de la Baysère, un bras du ruisseau le Luzoué, la Lèze, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    La Baïse de Lasseube, d'une longueur totale de 40,6 km, prend sa source dans la commune de Gan et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Abidos, après avoir traversé 14 communes[8].

    La Baysère, d'une longueur totale de 20,4 km, prend sa source dans la commune de Monein et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baïse à Mourenx, après avoir traversé 6 communes[9].

    Le Luzoué, d'une longueur totale de 19,7 km, prend sa source dans la commune de Monein et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 9 communes[10].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 219 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lagor », sur la commune de Lagor, mise en service en 1962[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 111,5 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 13 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[24],[Carte 2] :

    • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 6] encore vivace[25] et une au titre de la « directive Oiseaux »[24],[Carte 3] :
    • le « barrage d'Artix et saligue du gave de Pau », d'une superficie de 3 360 ha, une vaste zone allongée bordant les saligues du gave[Note 7], et incluant des terres agricoles et urbaines en amont d'un barrage[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Noguères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[27],[28],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mourenx, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[30] et 14 288 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (31,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (35,3 %), forêts (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), zones urbanisées (13,2 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Les Abadiasses.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 32 et 33, à proximité immédiate de la sortie 9 (Artix) de l'autoroute A64.

    Toponymie

    Le toponyme Noguères apparaît sous les formes Nogueras (XIe siècle[36], d'après Pierre de Marca[37]) et Nogeriœ (1344[36], notaires de Pardies[38]).

    Son nom béarnais, gascon ou occitan est Noguèras[39], ce qui signifie "les noyeraies", soit les plantations de noyers.

    Le toponyme Abadiasse, ancienne école, est mentionné en 1775[36] (terrier de Noguères[40]).

    Histoire

    Paul Raymond[36] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

    En 1385, on y comptait 11 feux et la paroisse dépendait du bailliage de Lagor et Pardies. La seigneurie de Noguères dépendait des marquis de Gassion.

    Située dans le bassin de Lacq, Noguères abrita de 1960 à 1991 l'usine Pechiney, une fonderie d'aluminium alimentée en électricité par la centrale électrique d'Artix.

    C'est l'une des premières villes à bénéficier d'un phare terrestre, en l'occurrence les flammèches de l'usine de Lacq dès les années 1950.

    Politique et administration

    Liste des maires de Noguères
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Pierre Lansou    
    2008 En cours Jean-Luc Martin    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Noguères fait partie de quatre structures intercommunales[41] :

    • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
    • le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d'eau du bassin des baises ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].

    En 2018, la commune comptait 140 habitants[Note 10], en diminution de 2,78 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    180191248197202214216196184
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    174181184182176155146134126
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    151151150127130139133103100
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    193168186195160145150151152
    2013 2018 - - - - - - -
    144140-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Centre industriel.

    Économie

    En 1960 une usine d'aluminium est créée à Noguères, qui fut fermée en 1991.

    Noguères fait l'objet d'un plan de prévention des risques technologiques, lié aux activités chimiques installées sur la commune[46], tout comme les villes de Bésingrand, Os-Marsillon, Pardies, Mourenx et Artix.

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Une rue.

    Patrimoine religieux

    Église Saint-Laurent.

    L'église Saint-Laurent[47] date partiellement de 1712 et fut remaniée en 1898.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    6. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    7. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Noguères » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Noguères », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Noguères », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Noguères et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Noguères et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Noguères », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Noguères », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « la Baïse de Lasseube ».
    9. Sandre, « la Baysère ».
    10. Sandre, « le Luzoué ».
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Lagor - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Noguères et Lagor », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Lagor - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Noguères et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Noguères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7212010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Unité urbaine 2020 de Mourenx », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    31. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    32. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    33. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    36. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    37. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    38. Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    40. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    46. Arrêté préfectoral prescrivant l'élaboration d'un plan de prévention des risques technologiques
    47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Laurent

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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