Lahourcade

Lahourcade est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Lahourcade

L’église.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Bernard Gobert
2020-2026
Code postal 64150
Code commune 64306
Démographie
Population
municipale
698 hab. (2018 )
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 19″ nord, 0° 36′ 58″ ouest
Altitude Min. 110 m
Max. 267 m
Superficie 10,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mourenx
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lahourcade
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Lahourcade
Géolocalisation sur la carte : France
Lahourcade
Géolocalisation sur la carte : France
Lahourcade

    Le gentilé est Lahourcadais[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lahourcade se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 26 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 2,9 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Noguères (2,6 km), Mourenx (2,8 km), Pardies (2,8 km), Os-Marsillon (3,8 km), Abos (4,4 km), Bésingrand (4,4 km), Monein (4,9 km), Abidos (4,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lahourcade fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Communes limitrophes de Lahourcade[7]
    Os-Marsillon
    (par un quadripoint)
    Mourenx Noguères
    Lagor Pardies
    Lucq-de-Béarn Monein

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Lahourcade.

    La commune est drainée par la Baysère, le Geü, le Luzoué, un bras du Luzouré, un bras du ruisseau le Luzoué, le ruisseau de Lassabaigt, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[8],[Carte 1].

    La Baysère, d'une longueur totale de 20,4 km, prend sa source dans la commune de Monein et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baïse à Mourenx, après avoir traversé 6 communes[9].

    Le Geü, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune de Lucq-de-Béarn et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 5 communes[10].

    Le Luzoué, d'une longueur totale de 19,7 km, prend sa source dans la commune de Monein et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 9 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 251 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Monein », sur la commune de Monein, mise en service en 1971[17]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 183,3 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 16 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 13,4 °C pour 1981-2010[22], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[25], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 6] encore vivace[26],[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Lahourcade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mourenx, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,7 %), terres arables (31,9 %), forêts (27,5 %), prairies (4,3 %), zones urbanisées (3,5 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Lieux-dits et hameaux

    • Anglande.

    Toponymie

    Le toponyme Lahourcade apparaît sous les formes lo Casteg et la Mo de Pardies (1344[33], notaires de Pardies[34]), Laforcade de Pardies (1438[33], notaires d'Oloron[35]), Laforcade deu Casterot de Pardies et Laforcada (respectivement 1540[33] et 1572[33], réformation de Béarn[36]), Lafourcade (1607[33], règlement de Lagor[37]), Sainte Agathe de Lahorcade (1678[33], insinuations du diocèse d'Oloron[38]) et Lafforcade (1704[33], dénombrements d'Orthez[39]).

    Son nom béarnais est La Horcada[40] ou La Hourcade[41], signifiant forêt de chênes[42].

    Anglade, ancienne ferme de la commune, est mentionnée en 1572[33] (réformation de Béarn[36]).

    Histoire

    Paul Raymond[33] note qu'en 1385 Lahourcade comptait 48 feux et dépendait du bailliage de Lagor et Pardies.

    Politique et administration

    Situation administrative

    Lahourcade a fait partie de l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui de Pau[43].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1983 Sylvestre Ladaurade    
    1983 2008 Jean-Pierre Ladaurade    
    2008 2014 Gérard Paloumet    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de trois structures intercommunales[44] :

    • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
    • le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d’eau du bassin des baises ;
    • le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

    En 2018, la commune comptait 698 habitants[Note 9], en diminution de 0,71 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    820757737798778780745700645
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    638635602606638614582570558
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    576556553498510501514442414
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    480644710665724685700725689
    2018 - - - - - - - -
    698--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn et de celle de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole (élevage, maïs).

    Culture locale et patrimoine

    Équipements

    La commune dispose d'une école primaire et d'une salle multi-sport.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    6. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Lahourcade » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lahourcade », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Lahourcade », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lahourcade et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Lahourcade et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Lahourcade », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Fiche communale de Lahourcade », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « la Baysère ».
    10. Sandre, « le Geü ».
    11. Sandre, « le Luzoué ».
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    14. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Monein - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Lahourcade et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Monein - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Lahourcade et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lahourcade », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mourenx », sur insee.fr (consulté le ).
    31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    33. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    34. Notaires de Pardies – Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
    35. Notaires d'Oloron – Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    36. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle »..
    37. Règlement de Lagor, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
    38. Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle..
    39. Dénombrements d'Orthez, manuscrits du XVIIe et du XVIIIe siècles, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
    40. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    41. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    42. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, notice BnF no FRBNF35515059), p. 194..
    43. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de Pau, de Bayonne et d'Oloron-Sainte-Marie du département des Pyrénées-Atlantiques » [PDF], sur un site de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques, (consulté le ).
    44. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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