Nangeville

Nangeville est une ancienne commune française située dans le département du département du Loiret en région Centre-Val de Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle du Malesherbois[1].

Nangeville

Héraldique
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Pithiviers
Intercommunalité CC du Pithiverais-Gâtinais
Maire délégué Marie-Françoise Fautrat
2016-2020
Code postal 45330
Code commune 45221
Démographie
Population 113 hab. (2013)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 18′ 36″ nord, 2° 19′ 23″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 142 m
Superficie 8,59 km2
Élections
Départementales Malesherbes
Historique
Commune(s) d'intégration Le Malesherbois
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Nangeville
Géolocalisation sur la carte : Loiret
Nangeville
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Nangeville
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Nangeville

    Géographie

    Localisation

    Carte de la commune de Nangeville et des communes limitrophes

    La commune de Nangeville se trouve dans le quadrant nord du département du Loiret, en limite du département de l'Essonne, dans la région agricole de la Beauce riche[2] et l'aire urbaine de Paris[3]. À vol d'oiseau, elle se situe à 54,6 km d'Orléans[4], préfecture du département, à 15,8 km de Pithiviers[5], sous-préfecture, et à 6,8 km de Malesherbes, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Malesherbes[3].

    Les communes les plus proches sont : Orveau-Bellesauve (km), Mainvilliers (3,4 km), Brouy (3,4 km, dans l'Essonne), Champmotteux (3,7 km, dans l'Essonne), Boigneville (4,7 km, dans l'Essonne), Blandy (4,9 km, dans l'Essonne), Coudray (5,3 km), Césarville-Dossainville (6,4 km), Prunay-sur-Essonne (6,5 km) et Mespuits (6,6 km)[6].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune[7].

    Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Nangeville comprend trois ZNIEFF[INPN 1].

    La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2[Note 1], dénommée « Coteaux de l'Essonne et de la Rimarde », d'une superficie de 1 812 hectares, s'étend sur 17 communes, dont Nangeville[DREAL 1]. Son altitude varie entre 90 et 140 m[INPN 2]. Les coteaux de l'Essonne et de la Rimarde sont un des espaces les plus intéressants du Loiret sur le plan biologique et écologique et géologique, tant pour les habitats naturels et les espèces d'intérêt patrimonial qu'ils abritent que pour le rôle fonctionnel qu'ils jouent. Les éléments singuliers et typiques de la flore sont notamment l'aster amelle (station très localisée), le carex de Haller, le lin de Léon, la violette des rochers ou encore le petit pigamon[INPN 3].

    La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 1, dénommée « Pelouses calcicoles des Grandes vignes », d'une superficie de 14 hectares, occupent le flanc Sud d'une vallée sèche, distante d'un peu moins de km au nord-ouest du bourg de Nangeville[DREAL 2]. Son altitude varie entre 115 et 130 m[INPN 4]. Ces pelouses naturelles sur calcaire appartiennent à l'ensemble des affleurements calcicoles de la cuesta beauceronne (vallée de l'Essonne) et plus particulièrement aux coteaux des environs de Malesherbes (Orveau-Bellesauve, Coudray, Malesherbes, Nangeville). Ce type de milieu est en forte régression dans la région et notamment dans le Gâtinais de l'Ouest[INPN 5].

    La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 1, dénommée « Pelouses du bois et du bas de la Meule », d'une superficie de 4 hectares, concerne deux communes (Nangeville et Brouy, en Essonne)[DREAL 3]. Son altitude est de 120 m[INPN 6]. Plusieurs fleurs figurent parmi les espèces déterminantes : la Campanule agglomérée (Campanula glomerata), le cardoncelle mou (Carthamus mitissimus), la laîche de Haller (Carex halleriana), le lin de léon (Linum leonii), l'orchis bouffon (Anacamptis morio), la raiponce orbiculaire (Phyteuma orbiculare) et la véronique de Scheerer (Veronica scheereri)[INPN 7].

    Zone Natura 2000

    La commune de Nangeville est intégrée depuis 2004 au réseau Natura 2000. Le site « Vallée de l'Essonne et vallons voisins », qui concerne 19 communes du Loiret, est en effet déclaré site d'importance communautaire (SIC) au titre de la directive directive habitats (92/43/CEE)[8] le puis zone spéciale de conservation (ZSC) le [9],[INPN 8].

    Le site, très éclaté, se compose d’une multitude d’îlots plus ou moins isolés, qui se répartissent sur une surface de plus de 60 000 hectares, entre la vallée de la Juine à l’ouest et la vallée de l’Essonne à l’est, dans la petite région naturelle du Pithiverais. Le site lui-même ne couvre qu’une surface de 969 hectares[DREAL 4]. Il s’agit d’un ensemble formé par les coteaux et les vallées qui constituent l’entité la plus étendue et la plus remarquable du Loiret au titre de la flore calcicole. On recense plusieurs espèces végétales en limite de leur aire de répartition (cardoncelle douce, baguenaudier). Les fonds de vallée de la ZSC renferment plusieurs vastes mégaphorbiaies et stations marécageuses[INPN 9]. Outre les espèces thermophiles des pelouses, sont intégrées au site des espèces est-européennes également en limite d’aire de répartition comme l’inule hérissée et les pétasites. De manière complémentaire dans l’intérêt floristique, un très important cortège mycologiques, lichenique et entomologique a été identifié[INPN 9].

    Selon le FSD (Formulaire Standard des Données), le site Natura 2000 est occupé par une diversité d’habitats inscrits a l’annexe 1, dont on retiendra tout particulièrement les pelouses sèches seminaturelles et faciès d’embroussaillement sur calcaire[INPN 9]. La présence de populations d'espèces d'insectes inscrites à l’annexe II de la directive 92/43/CEE comme le lucane cerf-volant (Lucanus cervus) ou l'écaille chinée (Euplagia quadripunctaria) et de poissons comme le chabot commun (Cottus gobio), la bouvière (Rhodeus amarus ) ou la lamproie de Planer (Lampetra planeri) caractérisent le site[INPN 9].

    Le secteur de Nangeville comprend plusieurs noyaux du site Natura 2000 correspondant à des pelouses sèches sur calcaire[DREAL 5],[DREAL 6].

    Histoire

    En 1229, Hugues de Nangeville vend au chapitre de Sens le tiers de la dîme du village. Vingt-deux ans plus tard, ces terres sont partagées entre le chapitre (chanoines) et Jean, dit « Le Loup ».

    En 1268, la pierre tombale de Thibaut de Nangeville repose dans l’église. Son épouse est Jehanne de « Boissi », fille de Jehanne de Nangeville. Un autre homme repose à partir de 1350 dans cette église, il s’agit de Pierre de Brétigny.

    Sous Charles V, Jean d’Outarville, propriétaire de la « Tour Quarrée », dont l’emplacement reste encore un mystère, devient seigneur du village, puis, Pierre de Nangeville, premier sergent d’armes aux gardes du corps de Charles XII, dispose de sa pierre tombale dans l’église. La famille De Nangeville semble s'éteindre au XVIe siècle.

    Durant cette même époque, une fille d’un autre Jean d’Outarville, se marie avec Raymonnet Bardin. Ces Bardins ont été seigneurs « en partie » de Nangeville, car peut-être n’avaient-ils acheté qu’une partie du village.

    C’est en 1579, qu’une petite fille Bardin se marie avec Jacques d’Adonville. Celui-ci devient alors seigneur de la « Tour Quarrée », en plus de ses seigneuries de La Baste, Raizeux (près de Mantes), et de Roinvilliers (à proximité de Bois-Herpin), et, vraisemblablement choisit-il de vivre à Nangeville.

    Héraldique

    Les armes de Nangeville se blasonnent ainsi :

    D'or à la croix d'azur cantonnée de quatre lions de gueules.

    Adopté le 26 septembre 1995

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de Nangeville acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[10] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[11]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[12].

    La commune est membre de la Communauté de communes du Malesherbois depuis sa création le jusqu'à sa disparition le , un établissement public de coopération intercommunale issu de la transformation en communauté de communes du S.I.Vo.M de la Région de Malesherbes, créé en [13].

    Circonscriptions de rattachement

    La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Nangeville est alors incluse dans le canton de Malesherbes, le district de Pithiviers et le département du Loiret[14].

    La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[15]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[16]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[17]. L'acte II intervient en 2003-2006[18], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Nangeville aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
    DistrictPithiviers1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Pithiviers de 1790 à 1795[19],[14]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[20].
    CantonMalesherbes1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Nangeville est rattachée au canton de Malesherbes[21]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Malesherbes1801-2015Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[22]. Nangeville est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Malesherbes[23],[19].
    Malesherbes2015-ÉlectoraleLa loi du [24] et ses décrets d'application publiés en février et [25] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Malesherbes[25]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale destinée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[26].
    ArrondissementPithiviers1801-1926AdministrativeNangeville est rattachée à l'arrondissement de Pithiviers par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[19],[23].
    Orléans1926-1942Sous la Troisième République, en raison d'un endettement considérable et de l'effort nécessaire pour la reconstruction post-Première Guerre mondiale, la France traverse une crise financière. Pour réduire les dépenses de l’État, Raymond Poincaré fait voter plusieurs décrets-lois réformant en profondeur l’administration française : 106 arrondissements sont ainsi supprimés, dont ceux de Gien et de Pithiviers dans le Loiret par décret du [27]. Nangeville est ainsi transférée de l'arrondissement de Pithiviers à celui d'Orléans[28],[29].
    Pithiviers1942-La loi du rétablit l'arrondissement de Pithiviers[29]. Nangeville est alors à nouveau rattachée à l'arrondissement de Pithiviers[30].
    Circonscription législative5e circonscription2010-ÉlectoraleLors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Un nouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[31],[32]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[33]. La réforme n'affecte pas Nangeville qui reste rattachée à la cinquième circonscription[34].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Nangeville est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[30], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Nangeville, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[35], pour un mandat de six ans renouvelable[36]. Il est composé de 11 membres [37]. L'exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

    En , Nangeville devient Commune déléguée de la Commune nouvelle de Le Malesherbois [1].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    novembre 2005 décembre 2015 Marie-Françoise Fautrat UMP Conseillère régionale (2010-2015)

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en [39],[Note 2].

    En 2013, la commune comptait 113 habitants, en diminution de −3,42 % par rapport à 2008 (Loiret : 2,42 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    181197185199188188191213210
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    201213193186196197205180167
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    17919316918215913012810795
    1990 1999 2006 2008 2011 2013 - - -
    88101116117116113---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin[41].

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Inventaire national du patrimoine naturel

    Site de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement Centre-Val de Loire

    Autres sources

    1. « arrêté de création » (consulté le )
    2. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le )
    3. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Nangeville" et "Orléans" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre "Nangeville" et "Pithiviers" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    6. « Villes les plus proches de Nangeville », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    7. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le )
    8. Directive habitats
    9. « Arrêté du 29 novembre 2011 portant désignation du site Natura 2000 vallée de l'Essonne et vallons voisins », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    10. Motte 2003, p. 24
    11. Motte 2003, p. 23
    12. « Les grands principes de la loi municipale de 1884 », sur le site du sénat, (consulté le )
    13. « Communautés de communes de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le )
    14. Prudhomme 1798, p. 162.
    15. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 3.
    16. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 41-46.
    17. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 61-72.
    18. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 118-138.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Nangeville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    20. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l’œuvre révolutionnaire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le ).
    21. Denis Jeanson, « Cantons de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ), p. 6.
    22. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le )
    23. « Arrêté du 9 vendémiaire an X portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 42 », sur https://gallica.bnf.fr (consulté le )
    24. « LOI no  2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral », JORF no 0114 du 18 mai 2013 p. 8242, (consulté le ).
    25. « Décret n° 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    26. « Question no 460 de M. Jean-Jacques Cottel », sur http://questions.assemblee-nationale.fr/, (consulté le ).
    27. Masson 1984, p. 395.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Denis Jeanson, « Arrondissements dans la région Centre », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le )
    30. « Rattachements administratifs de la commune de Nangeville », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Législatives 2012 : élections selon des modalités révisées. », sur http://www.vie-publique.fr/ (consulté le ).
    32. « Délimitation des circonscriptions législatives - Loi ratifiant l'ordonnance n° 2009-935 du 29 juillet 2009 portant répartition des sièges et délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés », sur le site du sénat (consulté le ).
    33. « Carte du découpage législatif du Loiret », sur http://www.elections-legislatives.fr/ (consulté le ).
    34. « Rattachements dans le Loiret avant et après la réforme de 2010 », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    35. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
    36. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL (consulté le )
    37. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
    38. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    39. [ Calendrier départemental des recensements], sur le site de l'Insee.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années .
    41. « Eglise Saint-Martin de Nangeville à LE MALESHERBOIS », sur Office de Tourisme du Grand Pithiverais (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Directive  92/43/CEE du Conseil concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages, 31992L0043, adoptée le 21 mai 1992, JO du 22 juillet 1992, p. 7–50, entrée en vigueur le 10 juin 1992 [consulter en ligne, notice bibliographique]
    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
    • Jean-Louis Masson, Provinces, départements, régions : l'organisation administrative de la France, Paris, Fernand Lanore, , 703 p. (ISBN 2-85157-003-X, lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

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