Nailhac

Nailhac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Nailhac

Le bourg de Nailhac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort
Maire
Mandat
Francis Aumettre
2020-2026
Code postal 24390
Code commune 24302
Démographie
Gentilé Nailhacois
Population
municipale
321 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 36″ nord, 1° 09′ 11″ est
Altitude Min. 161 m
Max. 357 m
Superficie 19,35 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton Haut-Périgord noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Nailhac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Nailhac
Géolocalisation sur la carte : France
Nailhac
Géolocalisation sur la carte : France
Nailhac

    Géographie

    Généralités

    L'étang du Coucou, entre Nailhac (au second plan) et Hautefort.

    Dans le quart nord-est du département de la Dordogne, la commune de Nailhac se situe en Pays d'Hautefort, sur les hauteurs calcaires et gréseuses[1] comprises entre les vallées de l'Auvézère et de la Vézère. S'étendant sur 19,35 km2, elle est brièvement bordée à l'est par un sous-affluent de la Vézère, le Taravellou, ruisseau qui marque la limite avec Badefols-d'Ans.

    L'altitude minimale, 161 mètres, se trouve à l'extrême nord de la commune, à l'étang du Coucou, en limite de Hautefort. L'altitude maximale avec 357 mètres est localisée au sud, entre les lieux-dits Fonvaysse et Puy la Cassade, en limite de La Chapelle-Saint-Jean.

    Le bourg de Nailhac, traversé par la route départementale (RD) 62E3, se situe, en distances orthodromiques, trois kilomètres et demi au sud de Hautefort et seize kilomètres au nord-ouest de Terrasson-Lavilledieu.

    La commune est également desservie par les RD 70 et 71, ainsi que par la RD 704, axe Limoges-Gourdon.

    Communes limitrophes

    Carte de Nailhac et des communes avoisinantes.

    Nailhac est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 952 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[8] et qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 12,7 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Nailhac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,5 %), prairies (26,2 %), forêts (24,9 %), cultures permanentes (12,2 %), terres arables (3,1 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Nailhac proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[19] :

    • la Baronie
    • Beausoleil
    • Bernaud
    • la Blanchie
    • Bonnefond
    • le Bos
    • les Champagnes
    • les Chapelots
    • Chassaignas
    • Chassaing
    • la Chaumière
    • la Chaumière[Note 5]
    • la Combette
    • Conangle
    • le Coucou
    • les Counoullières
    • la Croix-de-Bernaud
    • la Croix-de-Suze
    • le Cros
    • le Cuvier
    • les Escures
    • Fonceviane
    • Font de l'Orme
    • Fonvaysse
    • la Francille
    • la Gerbaudie
    • le Grand Maine
    • la Guillou
    • la Jalovie
    • Lacaud
    • Lacqueduc
    • Lorserie
    • les Maltraits
    • Marsingeas
    • la Métairie Neuve
    • las Mottas
    • Passemaitre
    • le Petit Maine
    • Pierregouneix
    • las Placas
    • Planeau
    • la Pouyade
    • Puy la Cassade
    • Puy-las-Vignas
    • la Razoire Haute
    • la Reille
    • las Rémondias
    • la Rochette
    • les Sarlandes
    • la Seguinie
    • le Sol
    • le Terrail
    • la Thière
    • Toutouleix
    • la Tricherie
    • le Trou de Bounidome
    • Vars
    • Vars Bas
    • le Verdier.

    Toponymie

    Le nom de la commune est tiré du latin Novalia signifiant « terres nouvellement défrichées », auquel a été ajouté le suffixe -acum, indiquant le « domaine des terres nouvellement défrichées »[20].

    La graphie du lieu varie entre Naillac en 1120, Noalhac au XIIIe siècle, Nouaillac trois siècles plus tard, Naliac sur Le Grand Atlas de Johannes Blaeu au XVIIe siècle[21], de nouveau Naillac sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789[22] et jusqu'à la fin du XIXe siècle[20], avant de prendre la graphie actuelle.

    En occitan, la commune porte le nom de Nalhac[23].

    Histoire

    Le territoire communal a été occupé au Néolithique comme le prouve un site mis au jour au lieu-dit Chassaing. Cet endroit élevé fut, au début du XIVe siècle, une bastide dotée d'une charte de franchises, ainsi qu'un centre paroissial et le siège d'une capitainerie dépendant de la châtellenie d'Ans[24]. Elle était dotée d'une église en 1414[20].

    La plus ancienne mention écrite connue de Nailhac date de l'an 1120 dans une bulle de Calixte II[25]. et concerne l'église Sanctus Stephanus de Naillac, qui dépendait de l'abbaye de Tourtoirac[20]. En , l'archevêque de Bordeaux Bertrand de Got, en déplacement à l'abbaye de Tourtoirac, fait visiter par ses gens la paroisse de Nouaillac, « ancien prieuré avec titre de prévôté »[25].

    Passée sous la tutelle du comté de Périgord, la paroisse de Naillac est vendue le par le roi de France Henri IV au seigneur François d'Hautefort[25].

    En 1790, la paroisse devient une commune[26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune de Nailhac a, dès 1790, été rattachée au canton de Hautefort qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[26].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[27]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Haut-Périgord noir.

    En 2017, Nailhac est rattachée à l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[28],[29].

    Intercommunalité

    Au , Nailhac intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Hautefort. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1959   Sylvain Floirat    
             
    mars 2001 mars 2008 Michel Joffre   Agriculteur
    mars 2008
    (réélu en mai 2020)
    En cours Francis Aumettre SE[32] Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Nailhac relève[33] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Nailhac se nomment les Nailhacois[34].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 321 habitants[Note 6], en augmentation de 4,9 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 068744816895910975886941977
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9429599509591 0071 027998979885
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    880866871758712710667631565
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    487429378345299281271297322
    2018 - - - - - - - -
    321--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La confrérie de la noix du Périgord de Nailhac, lors de la fête de la noix 2016.

    La fête de la noix se déroule chaque année le troisième week-end d'août. Elle est l'occasion pour Nailhac de montrer son savoir-faire local sur la nuciculture. Cet événement est ponctué de nombreuses activités et démonstrations sur la noix et ses produits dérivés, la présence de la confrérie de la noix du Périgord[38], le repas traditionnel périgourdin, une brocante-vide-greniers, un marché aux produits locaux, des jeux pour enfants, un défilé de chars et un feu d'artifice.

    Économie

    La principale activité économique est l'agriculture et plus particulièrement l'élevage bovin et la nuciculture, notamment la noix corne et la noix franquette.

    Emploi

    En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 137 personnes, soit 42,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (seize) a augmenté par rapport à 2010 (dix) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-six établissements[40], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de l'Invention-de-Saint-Étienne[42] du XIIIe siècle possède un clocher à peigne pouvant abriter quatre cloches. Aujourd'hui, il n'en subsiste plus qu'une datée de 1726[43], les trois autres ayant été fondues pendant la Révolution. L'église conserve La Résurrection, tableau de Raymond Biaussat.

    La commune abrite également plusieurs cluzeaux.

    À cette architecture s'ajoute un paysage où la balade et la randonnée permettent de découvrir le patrimoine local : noyeraies omniprésentes qui représentent l'essentiel de l'activité économique, l'étang du Coucou, lavoirs et la butte de Chassaing où l'on retrouve l'univers de La Petite Nicette du roman d'Eugène Le Roy, etc.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Deux lieux-dits du même nom, tous deux situés au sud-est de la commune, l'un en bordure de la route départementale 70, l'autre entre le Cuvier et Touvent.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Brive - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Nailhac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. « Nailhac » sur Géoportail (consulté le 24 août 2015)..
    20. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 244.
    21. Le Royaume de France, René Malherbe éditeur, 1987, (ISBN 2-905780-31-2), p. 177, fac-similé de Le Grand Atlas de Johannes Blaeu de 1664.
    22. « Naillac » sur Géoportail (consulté le 23 août 2015)..
    23. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 14 mars 2014.
    24. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 76.
    25. Abbé Farnier, Autour de l'abbaye de Ligueux, tome II, Le livre d'histoire-Lorisse, 2003 (fac-similé de l'édition de 1931), (ISBN 2-84373-342-1), p. 233-234, 239.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    28. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    29. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    30. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
    31. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 6 novembre 2020.
    32. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 9.
    33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    34. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 23 août 2015.
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Aimie Faconnier, « Nouvelle confrérie autour de la noix ? », Sud Ouest édition Périgueux, 17 août 2015, p. 15.
    39. Dossier complet - Commune de Nailhac (24302) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 décembre 2018.
    40. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    41. Dossier complet - Commune de Nailhac (24302) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 décembre 2018.
    42. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 51.
    43. « cloche », notice no PM24000465, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 22 août 2015.
    44. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 393.
    45. Michel Pitout, « L'incroyable destin de Sylvain Floirat », Sud Ouest édition Périgueux, 24 août 2015, p. 19.
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