Mousseaux-lès-Bray

Mousseaux-lès-Bray est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Mousseaux.

Mousseaux-lès-Bray

La mairie-école.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Bassée - Montois
Maire
Mandat
Francis Flamey
2020-2026
Code postal 77480
Code commune 77321
Démographie
Gentilé Mousseautois
Population
municipale
674 hab. (2018 )
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 39″ nord, 3° 13′ 45″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 132 m
Superficie 8,33 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bray-sur-Seine
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Mousseaux-lès-Bray
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Mousseaux-lès-Bray
Géolocalisation sur la carte : France
Mousseaux-lès-Bray
Géolocalisation sur la carte : France
Mousseaux-lès-Bray

    Géographie

    Localisation

    La commune est située au sud-est du département de Seine-et-Marne rive gauche dans la vallée de la Seine en limite du département de l'Yonne.

    Le village contigu à Bray-sur-Seine est à 21 km au sud-ouest de Provins.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 54 mètres à 132 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 65 mètres d'altitude (mairie)[2].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Mousseaux-lès-Bray.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

    • la Seine, fleuve long de 774,76 km[3] ;
      • le canal de Bray à la Tombe, long de 10,12 km[4], ancien canal de dérivation de Bray à la Tombe (désaffecté depuis 1979), qui conflue avec la Seine ;
        • le canal 01 des Communes, 8,45 km[5], qui conflue avec le canal de Bray à la Tombe ;
          • le fossé 01 des Grands Clos, canal de 0,94 km[6], qui conflue avec le canal 01 des Communes ;
    • le fossé 01 du Bois du Chapitre, canal de 0,38 km[7], qui conflue avec le fossé 01 des Pâtures de Champ Grand.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,06 km[8].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[9].

    La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[10],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[11].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 4 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 688 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,4 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,9 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[12]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[14]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 46 km à vol d'oiseau[15], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[16] à 11,6 °C pour 1991-2020[17].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[19],[Carte 1] :

    • la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[20],[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Mousseaux-lès-Bray comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[22],[Carte 2], les « Marais du Grand Champ et bois du Chapitre » (101,3 ha), couvrant 2 communes du département[23]. , et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[22], la « vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassée) » (14 216,75 ha), couvrant 26 communes du département[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Mousseaux-lès-Bray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[25],[26],[27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bray-sur-Seine, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[28] et 3 301 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[29],[30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[31],[32].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 66 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés[33] dont Avigny.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2% ), zones urbanisées (6,6% ), forêts (5% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1% ), eaux continentales[Note 7] (0,2 %)[34].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[35],[36],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[37].

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[38],[39].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 332 dont 95,6 % de maisons et 4,4 % d'appartements[Note 8].

    Parmi ces logements, 89,5 % étaient des résidences principales, 1,9 % des résidences secondaires et 8,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84 % contre 13,5 % de locataires[40] dont, 5,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 2,5 % logés gratuitement.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars No 2 du réseau de bus Cars Moreau (Fontaine-Fourches - Montereau-Fault-Yonne)[41].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Apud Moncellos juxta Braium en 1246[42] ; Villa de Moncellis en 1256[42] ; Monceaux lez Bray en 1458[42] ; Les Mouceaulx de Bray en 1505[43] ; Le fief de Mouceaulx en 1587 ; Monceaulx' en 1674[44].

    Mousseaux: Pluriel de l'oïl moncel, « Petits monts »[45].

    L'étymologie de Bray serait gauloise ; elle signifierait : « lieu marécageux ».

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 mars 2008 Michel Baranger    
    mars 2008 En cours Bernard Deretz[46] sans étiquette  

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [47],[48].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Mousseaux-lès-Bray gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[49].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[50]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[49],[51].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [49],[52],[53].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[54].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[56].

    En 2018, la commune comptait 674 habitants[Note 10], en diminution de 8,67 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    269182215213266303353342336
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    330337325325353355371381403
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    397381363381450497527494463
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    514550509501604617654660665
    2013 2018 - - - - - - -
    738674-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête de la Saint-Fiacre qui se tient le premier week-end du mois de septembre. Avec un concours de voitures anciennes, braderie et jeu pour enfants. Elle se tient toute une journée.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 280, représentant 711 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 700 euros[59].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 118, occupant 284 actifs résidants.

    Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 63,1 % contre un taux de chômage de 11,1 %.

    Les 25,9 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,2 % de retraités ou préretraités et 5,9 % pour les autres inactifs[60].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 33 dont 3 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 4 dans la construction, 9 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans les activités financières et d'assurance, 9 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 1 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 5 étaient relatifs aux autres activités de services[61].

    En 2019, 9 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 8 individuelles.

    Une sucrerie qui faisait travailler des dizaines de personnes était installée sur la commune. Elle fut distillerie d'alcool et est fermée en 2013 et peut-être avant.

    Agriculture

    Mousseaux-lès-Bray est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[62].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[63]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 15 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 42 ha en 1988 à 81 ha en 2010[62]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Mousseaux-lès-Bray, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Mousseaux-lès-Bray entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[62],[Note 12]
    Nombre d’exploitations (u) 15 11 9
    Travail (UTA) 32 31 26
    Surface agricole utilisée (ha) 632 800 726
    Cultures[64]
    Terres labourables (ha) 616 781 713
    Céréales (ha) 451 506 s
    dont blé tendre (ha) 299 349 274
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 76 s s
    Tournesol (ha) 39 s 38
    Colza et navette (ha) s s 66
    Élevage[62]
    Cheptel (UGBTA[Note 13]) 2 1 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Maur.

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    9. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    11. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    13. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de Mousseaux-lès-Bray » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Zones ZNIEFF de Mousseaux-lès-Bray » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    3. « Mousseaux-lès-Bray - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 1er novembre 2020 ».
    2. « Mousseaux-lès-Bray » sur Géoportail. Carte IGN classique.
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Seine (----0010) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Dérivation de Bray à la Tombe (F2--3202) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal 01 des Communes (F2--2902) ».
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Grands Clos (F2--2922) ».
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois du Chapitre (F2408102) ».
    8. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 octobre 2019
    9. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    10. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    11. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Mousseaux-lès-Bray et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mousseaux-lès-Bray », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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