Monterblanc

Monterblanc [mɔ̃tɛʁblɑ̃] est une commune française située dans le canton d'Elven et le département du Morbihan, en région Bretagne.

Monterblanc

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération
Maire
Mandat
Alban Moquet
2020-2026
Code postal 56250
Code commune 56137
Démographie
Gentilé Monterblancais, Monterblancaise
Population
municipale
3 287 hab. (2018 )
Densité 129 hab./km2
Population
agglomération
126 266 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 36″ nord, 2° 40′ 49″ ouest
Altitude 89 m
Min. 46 m
Max. 151 m
Superficie 25,41 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Monterblanc
(ville isolée)
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vannes-3
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Monterblanc
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Monterblanc
Géolocalisation sur la carte : France
Monterblanc
Géolocalisation sur la carte : France
Monterblanc
Liens
Site web Le site de la commune

    Géographie

    Monterblanc fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.

    Communes limitrophes de Monterblanc
    Locqueltas Plaudren Elven
    Saint-Avé Saint-Nolff

    La commune de Monterblanc est située à une dizaine de kilomètres au nord de Vannes, sur le flanc sud des landes de Lanvaux. D'une superficie de 25 km2, la commune s'étire sur km du nord au sud, sur sa plus grande longueur, et de 5,5 km d'est en ouest, sur sa plus grande largeur.

    La commune est bordée au nord par l'Arz, un affluent de l'Oust et est traversée par quelques ruisseaux : ceux du Faouëdic, de Luhan, de Rudevent et de Condat.

    À noter la présence sur le territoire de la commune, en totalité, de l'aérodrome de Vannes-Golfe du Morbihan et, partiellement, du camp de Meucon, une base arrière militaire créée durant la guerre franco-prussienne de 1870.

    Ses habitants sont les Monterblancais et Monterblancaises.

    La commune est jumelée avec celle d'Ytrac (Cantal).

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 913 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ave », sur la commune de Saint-Avé, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 994,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 14 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] à 12,4 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Monterblanc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Monterblanc, une unité urbaine monocommunale[16] de 3 275 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (25,8 %), terres arables (23,1 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), prairies (18,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,3 %), zones urbanisées (4,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    La première mention historique du bourg pourrait être Budwere, selon une mention du cartulaire de Redon[23] Attesté sous les formes Monsterblanc en 1455 [24], puis Mousterblanc[réf. nécessaire].

    Littéralement « moutier blanc », ancien français moustier « église, monastère » cf. Moutier, suivi de l'adjectif blanc cf. Noirmoutier. Francisation probable de l'ancien breton Mousterwenn, composé de mouster « moutier » et de wenn > gwenn « blanc ».

    En breton moderne Sterwenn. Ster- étant la forme contractée de Mouster, par surpression de la première syllabe de [monster] et maintien de la seconde [ster] qui a pris une signification différente, il est devenu homophone de stêr « rivière », c'est pourquoi Sterwenn est compris « rivière blanche », Il existe la variante bretonne Mouster-wenn[25].

    Histoire

    Les plus anciennes présences historiques attestées sur le territoire communal datent de l'âge du bronze[26] (dépôt du Mangoro de la Madeleine). La découverte de 4 souterrains sur la commune (Le Guernevé, Kerbelaine, Kerdanéguy et Palhouarn), datant de l'âge du fer[27], laisse à deviner une implantation humaine plus forte.

    Un monastère était desservi par des moines qui dépendaient certainement du monastère de Redon, comme semble le suggérer le cartulaire de Redon : un habitat (Budwere ?) y est mentionné en 852 pour la première fois[28]. Ce monastère aurait été détruit durant les raids vikings au Xe siècle[23], le territoire est alors rattaché, au siècle suivant, à la paroisse de Plaudren[23].

    Le territoire monterblancais, comme les paroisses voisines, prit une grande part dans la chouannerie morbihannaise. Ainsi, le , une colonne chouanne tentant de s'emparer de Vannes est défaite par les forces de la République à Mangolérian.

    Le XIXe siècle voit Monterblanc, ancienne trève de la paroisse de Plaudren et dépendant de la seigneurie de l'Argoët, s'affranchir de la tutelle de ses voisines. Érigée en paroisse en 1802 [23], elle reçoit son premier vicaire, Joseph Le Texier[23], en 1821.

    Bunker allemand sur le terrain d'aviation.

    La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle voient la création d'infrastructures dont l'intérêt dépasse celui de la commune : le camp militaire, dit camp de Meucon, s'installe à l'ouest en 1877[29] et est desservi dès 1902 par le chemin de fer (ligne Vannes-Locminé), un petit aéroport complète le dispositif en 1926[30].Ce terrain devient une base de la Luftwaffe en 1940 pour les bombardiers Heinkel 111 du KG100 "Viking" remplacés en 1941 par la chasse (JG2) défendant les bases sous-marines.

    Depuis la réforme des cantons en 2015, la commune est dans le canton de Vannes-3 du département Morbihan (depuis 1801, elle était dans le canton d'Elven).

    Héraldique

    Monterblanc porte:

    • Taillé, de sinople semé de mouchetures d’hermine de sable, et de gueules à une clef de sable versée posée en barre accompagnée en pointe d’une double arche en ogive du même ; une traverse d’argent brochante sur la partition.
      * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (hermine de sable sur sinople, cle et arches de sable sur gueules).
    • Devise : néant.

    Anciennes maisons nobles

    À la « montre » (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du et du , on ne comptabilise la présence d'aucun noble de Monterblanc. Monterblanc dépendait autrefois de Plaudren.

    Temps modernes

    En 1872, un trésor monétaire contenant 17 monnaies en argent datant du XVIe siècle fut trouvé par un paysan à Monterblanc. Il avait été enfoui peu après 1591, date de la monnaie la plus récente du lot (donc probablement pendant les Guerres de la Ligue et plus précisément la Huitième guerre de Religion)[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs de la commune de Monterblanc de 1802 à nos jours
    Période Identité Étiquette Qualité
    1802 1803 Jean Le Guerer    
    1803 1805 Julien Le Guevel    
    1805 1811 Joseph Daniel    
    1811 1814 Jean Le Guerer (2e fois)    
    1814 1824 Jean Sébastien Guyodo    
    1824 1869 Mathurin Eveno (Croix de la Légion d'Honneur)    
    1869 1885 Joachim Eveno (fils de Mathurin)    
    1885 1909 Joseph Guyodo    
    1909 1917 Joseph Conan    
    1917 1919 Mathurin Prono (faisant office de Maire)    
    1919 1947 Joseph Dréano    
    1947 1965 André Le Texier    
    1965 1977 Jean Marie Prono    
    1977 1983 Jacques Fraval De Coatparquet    
    1983 1989 Armel Le Penven    
    1989 1995 Jean Eveno    
    1995 mars 2008 Daniel Boursicot    
    2008 2014 Joseph Cloarec    
    2014 28 mai 2020 Gérard Guilleron    
    28 mai 2020 En cours Alban Moquet[32]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2018, la commune comptait 3 287 habitants[Note 6], en augmentation de 1,39 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    831944894921911928913966976
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0029811 0219609619839851 0291 051
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0261 0181 0359741 5319721 0451 3271 172
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    8961 1261 3861 7942 0061 9512 3903 0773 267
    2018 - - - - - - - -
    3 287--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Pierre.
    Façade de la chapelle de Mangolérian.
    • L'église Saint-Pierre est du XVIIIe siècle (orgues de 1853)[23]
    • La chapelle Notre-Dame ou chapelle de Mangolérian (1460,  Inscrit MH (2001)), son calvaire (XVIIe siècle, déplacé du Mangoro en 1981[23]) et sa fontaine (XVIIe siècle) située dans la vallée.
    • La fontaine Saint-Pierre (XVIIe siècle).
    • Le Coh Castel, ou Vieux château, (XXe siècle), manoir appartenant à la famille Fraval de Coatparquet
    • Les moulins à eau du Procureur, de Largouët (disparu), du Salo
    • Le moulin à vent de Monterblanc (disparu, situé au hameau des Quatre-Vents).
    • Le plan d'eau communal du Govero.
    • Morbihan Aero Musée: histoire de l'aérodrome de 1909 à nos jours- avions anciens - la conquête spatiale

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Ave - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Monterblanc et Saint-Avé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Ave - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Monterblanc et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Monterblanc », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. « Histoire de Monterblanc », sur Commune de Monterblanc (consulté le ).
    24. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1516.[réf. incomplète].
    25. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 85, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
    26. Oillic 2000, p. 13-14.
    27. Oillic 2000, p. 15.
    28. Oillic 2000, p. 18.
    29. « Camp militaire de Meucon. Un danger pour les civils », sur Le télégramme, (consulté le ).
    30. « Historique », sur Aéroport Vannes Golfe du Morbihan (consulté le ).
    31. Christophe Le Pennec, "La Ligue en Morbihan, une guerre civile à la fin du XVIe siècle", in "Trésors enfouis de l'âge du fer à la Révolution", Musée d'Histoire et d'Archéologie de Vannes, éditions Locus Solus, 2013, (ISBN 978-2-36833-016-6).
    32. « Municipales à Monterblanc. Alban Moquet est le nouveau maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Bertrand Frélaut, Histoire de Vannes, collection Les Universels Gisserot, éditions Jean-Paul Gisserot, 2000, p. 78-80

    Bibliographie

    • LECORNEC, Joël, Le souterrain de l'âge du Fer de Guernehué en Monterblanc, Annales de Bretagne, no 73, 1, 1966, p. 50–53lire en ligne.
    • LECORNEC, Joël, Les souterrains de l'âge du Fer de Kerbelaine et Kerdaneguy en Monterblanc, Annales de Bretagne, no 76, 1, 1969, p. 109–118lire en ligne.
    • Henri Oillic, Le Pays d'Elven : Couleurs du patrimoine, Coop Vreizh, , 128 p. (ISBN 2-84346-125-1)

    Liens externes

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