Montceaux-lès-Meaux

Montceaux-lès-Meaux est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Montceaux (homonymie).

Montceaux-lès-Meaux

La mairie et son petit clocheton.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Meaux
Maire
Mandat
Michel Belin
2020-2026
Code postal 77470
Code commune 77300
Démographie
Gentilé Monticellois
Population
municipale
602 hab. (2018 )
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 28″ nord, 2° 59′ 08″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 171 m
Superficie 4,50 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Montceaux-lès-Meaux
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Montceaux-lès-Meaux
Géolocalisation sur la carte : France
Montceaux-lès-Meaux
Géolocalisation sur la carte : France
Montceaux-lès-Meaux
Liens
Site web mairie-montceaux-les-meaux.fr

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à 10 km à l'est de Meaux.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Montceaux-lès-Meaux
    Trilport Armentières-en-Brie Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux
    Villemareuil

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Montceaux-lès-Meaux.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un cours d'eau : le cours d'eau 01 du Bois Verdelot, 1,70 km[2], affluent de la Marne.

    Par ailleurs, son territoire est également traversé par l'Aqueduc de la Dhuis.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,62 km[3].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,3 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 731 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -2,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[6]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 43 km à vol d'oiseau[7], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[8] à 11,6 °C pour 1991-2020[9].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Montceaux-lès-Meaux comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[10],[Carte 1], la « Forêt domaniale de Montceaux » (1 304,43 ha), couvrant 5 communes du département[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Montceaux-lès-Meaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 24 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[17].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,5% ), forêts (29,7% ), zones urbanisées (11,3% ), prairies (4,5 %)[18].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[19],[20],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 264 dont 96,6 % de maisons et 3 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 89 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 8,7 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84,3 % contre 12,3 % de locataires et 3,4 % logés gratuitement[22].

    Voies de communication et transports

    Réseau de bus Marne et Morin ligne: M (Meaux: Georges Claude quai 3/ Trilport / Fublaines / Montceaux-lès-Meaux); Ms (Armentières-en-Brie: Château du Vignois / Montceaux-lès-Meaux / Fublaines / Trilport / Meaux: Jean Rose); Qs ( Armentières-en-Brie: Château du Vignois / Montceaux-lès-Meaux / Fublaines / Trilport: Collège du Bois de l'Enclume)

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Muncellae en 1167[23] ; Apud Moncellos en 1241[24] ; Monciaus au XIIIe siècle[25] ; Le Monceau pres de Meauz en 1326[26] ; Monceaux lez Meaux en 1394[27] ; Le roi à Mousseaulx en 1595[28] ; Moncellae au XVIe siècle[29] ; Monceaux en 1608[30] ; Mousseaux en 1652[31] ; Mousceaux en 1680[32] ; Monceaux en 1720 (Saugrain)[33] ; Montceaux lez Meaux en 1739[34].

    Issu du latin monticellus petit mont, petit sommet ») , à rapprocher de moncel ou moncelet.

    Lès, jadis lez, signifie « près de » (près de la ville de Meaux). Montceaux est situé à deux lieues de Meaux.

    Histoire

    La commune doit une grande partie de son renom au château qu'elle abrita. Le château de Montceaux, acquis au XVIe siècle par Catherine de Médicis, fut ensuite racheté par Henri IV qui l'offrit à Gabrielle d'Estrées, qu'il fit marquise de Montceaux. À la mort de cette dernière, le roi de France le donna à Marie de Médicis à l'occasion de la naissance de Louis XIII.

    Plusieurs grands architectes, comme Jacques Androuet du Cerceau, Philibert de l'Orme, le Primatice ou Salomon de Brosse sont intervenus à Montceaux. C'est Claude Mollet qui en a dessiné les jardins à la française. Passé ensuite au prince de Conti, le château fut démoli à la Révolution.

    Il ne reste que d'imposantes ruines, un pavillon, une chapelle, les bâtiments de l'avant cour transformés en maison bourgeoise et les communs du château.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Meaux du département de la Seine-et-Marne.

    Elle faisait partie de 1793 à 1975 du canton de Meaux, année où elle intègre le canton de Meaux-Sud[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de La Ferté-sous-Jouarre

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de Seine-et-Marne.

    Intercommunalité

    Montceaux-lès-Meaux est membre de la communauté d'agglomération du pays de Meaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Politique locale

    Lors des élections municipales de 2020 en Seine-et-Marne, le maire sortant Michel Belin a été réélu au terme d'une campagne électorale « très difficile, émaillée d’insultes et d’injures » selon l'élu, qui n'a été élu au premier tour qu'avec trois voix de plus que la majorité absolue[36]. Le tribunal administratif de Melun a annulé son élection, jugeant irrégulière une propagande de l'équipe sortante consistant, la semaine précédant le scrutin, en l'apposition d'affiches hors des panneaux de propagnade électorale portant la mention « À Montceaux, promesse tenue »[37]. Des élections municipales partielles sont organisées le pour compléter le conseil municipal et lui permettre d'élire son maire[38].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 mars 2014 Monique Lambinet    
    mars 2014 En cours Michel Belin[39]   professeur
    Vice-président de la CA du Pays de Meaux (2020 → )

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [40],[41].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Montceaux-lès-Meaux est assurée par le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [42],[43],[44].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[45]. Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[42],[46].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [42],[47],[48].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[49].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

    En 2018, la commune comptait 602 habitants[Note 7], en augmentation de 0,17 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    512532493503537518480472482
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    456453424402396372347346319
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    361339334304317323319345366
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    324361408435532574613618605
    2017 2018 - - - - - - -
    594602-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Spectacles culturels et artistiques organisés dans le parc du château.

    Économie

    Agriculture

    Montceaux-lès-Meaux est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est le maraîchage[53].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[54]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 28 ha en 1988 à 3 ha en 2010[53]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Montceaux-lès-Meaux, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Montceaux-lès-Meaux entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[53],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 4 3 2
    Travail (UTA) 7 4 1
    Surface agricole utilisée (ha) 113 44 5
    Cultures[55]
    Terres labourables (ha) 106 s 0
    Céréales (ha) 77 s
    dont blé tendre (ha) s s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s
    Tournesol (ha) 0
    Colza et navette (ha) 0
    Élevage[53]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 7 8 7

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption construite au XIXe siècle.
    • Clocheton près de la mairie, cloche du XIVe siècle.
    • La maison Pelissier, demeure bourgeoise construite en 1892, constituée de plusieurs pavillons en pierre meulière.
    • L'aqueduc de la Dhuis parcouru par le sentiers de grande randonnée GR 14A.

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    • Madeleine institutrice à Paris (1915-2012) y venait en vacances.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Montceaux-lès-Meaux », p. 813–814
    • Sous la direction de Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du patrimoine Île-de-France, p. 442–448, Hachette, Paris, 1992 (ISBN 2-01-016811-9).
    • Jean-Pierre Babelon, Château de France au siècle de la Renaissance, p. 691–695, Flammarion/Picard, Paris, 1989 (ISBN 2-08-012062-X) (ISBN 2-7084-0387-7).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Zones ZNIEFF de Montceaux-lès-Meaux » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
    2. « Montceaux-lès-Meaux - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 du Bois Verdelot (F6266000) » (consulté le ).
    3. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 3 juillet 2018
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    9. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    23. Du Plessis, II, p. 56.
    24. Layettes du Trésor, II, p. 454.
    25. Bibl. nat., ms. français 11571, fol. 45.
    26. Archives nationales, JJ 64, n° 178.
    27. Archives nationales, P 202, fol. 22 v°.
    28. Arch. hosp. Meaux, E 82.
    29. Obit. prov. Sens, IV, p. 209.
    30. Archives de la Seine-et-Marne, E suppl. 46.
    31. Archives de la Seine-et-Marne, E 724.
    32. Archives nationales, S 1167.
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