Montagnac-la-Crempse

Montagnac-la-Crempse est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Montagnac.

Montagnac-la-Crempse

Le bourg de Montagnac-la-Crempse.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Jean-Claude Prévôt
2020-2026
Code postal 24140
Code commune 24285
Démographie
Gentilé Montagnacois
Population
municipale
404 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 47″ nord, 0° 32′ 45″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 199 m
Superficie 25,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Montagnac-la-Crempse
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Montagnac-la-Crempse
Géolocalisation sur la carte : France
Montagnac-la-Crempse
Géolocalisation sur la carte : France
Montagnac-la-Crempse

    Géographie

    Généralités

    La commune de Montagnac-la-Crempse, arrosée par la Crempse, est traversée par le 45e parallèle nord ; de ce fait, elle est située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Le village de Montagnac-la-Crempse est situé à 20 kilomètres de Bergerac, entre Villamblard et Campsegret.

    Communes limitrophes

    Carte de Montagnac-la-Crempse et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle d'Eyraud-Crempse-Maurens.

    Montagnac-la-Crempse est limitrophe de six autres communes, dont Saint-Martin-des-Combes à l'est, par un simple quadripoint, au lieu-dit les Quatre Bornes. Au nord-ouest, son territoire est distant d'environ 500 mètres de celui de Saint-Hilaire-d'Estissac.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 878 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[9], à 13,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Montagnac-la-Crempse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,3 %), zones agricoles hétérogènes (34,3 %), prairies (10,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Montagnac-la-Crempse proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[18] :

    • Baillarguie
    • la Baïtie
    • la Batellerie
    • le Baylet
    • la Berthe
    • la Bertinie
    • les Bitarelles
    • les Bouyges
    • Bramide
    • les Brandes
    • Brantome
    • La Brugère
    • Campagnac[19]
    • Canaud
    • les Carbonnières
    • le Castellat
    • le Cause
    • Chabirat
    • Chez le Médecin
    • le Claud
    • Cleyde
    • le Cros
    • Cros de la Carveyre
    • Donnedevie
    • la Fage
    • Fissetot
    • Font de la Vigne
    • la Font Franque
    • les Fonts du Mas
    • le Foussac
    • la Freunie
    • les Garissouds
    • le Grand Bosc
    • la Grande Fontaine
    • Grand Gardonne
    • la Grange
    • les Gravoux
    • Lesparsou
    • la Levade
    • Leygonie
    • le Luc
    • la Magninie
    • les Mailleries
    • Maison Basse
    • Maison Neuve
    • Maison Neuve (2)
    • Maison Neuve (3)
    • la Martigne
    • les Masseries
    • les Meygnauds
    • Montugoux
    • le Moulin de Gayral
    • les Pâques
    • les Perrières
    • le Petit Bosc
    • Petit Gardonne
    • Peyrat
    • Peyrebise
    • Plaît-à-Dieu
    • Platier
    • la Poude
    • les Quatre Bornes
    • le Roudalet
    • la Simonette
    • la Taillerie
    • la Tour
    • le Tournier
    • Vignes Vieilles.

    Toponymie

    La première partie du nom de la commune se réfère à Montanius, nom de personnage gallo-roman, suivi du suffixe -acum[20], indiquant le « domaine de Montanius ». La seconde partie du nom s'explique par la Crempse, principal cours d'eau de la commune.

    En occitan, la commune porte le nom de Montanhac de Cremsa[21].

    Histoire

    La paroisse de Montanhac apparait en 1142, donnée par l'évêque de Périgueux Geoffroy du Cause à l'abbaye Saint-Cybard d'Angoulême. La première mention écrite connue du lieu apparait en 1268 sous la forme Montanhac, qui évolue quatorze ans plus tard en Montaniacum de la Crempsa[20]. Située aux XIIIe et XIVe siècles dans la mouvance des comtes de Périgord, la paroisse passe ensuite dans la mouvance de la seigneurie d'Estissac, puis de celle de Roussille. En 1726, elle compte 1 014 habitants.

    Dès 1789, la commune nouvelle devient chef-lieu du canton de Montagnac, qui en 1802 prend le nom de canton de Villamblard, à la suite du transfert de son chef-lieu[22]. En 1793, elle englobe la commune de Campagnac[23] (ancienne paroisse de Campagnac de Cornecul[20]).

    En 1856, l'église du XIIe siècle est reconstruite pour le bâtiment actuel consacré à saint Pantaléon, patron de la paroisse[réf. nécessaire].

    En 1896, elle compte encore 899 habitants, mais la crise du phylloxéra et l'exode rural feront tomber sa population à moins de 400 habitants à la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Montagnac-la-Crempse est le chef-lieu du canton de Montagnac. Elle dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[22]. Le canton de Montagnac est ensuite renommé en canton de Villamblard l'année suivante, à la suite du transfert de son chef-lieu, depuis Montagnac vers Villamblard[22].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[24]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central.

    En 2017, Montagnac-la-Crempse est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[25],[26].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Montagnac-la-Crempse intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Villamblard. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
      1989 Maurice Deffieux    
    1989 mars 2014 Henri Gaillard SE[29] Retraité
    mars 2014
    (réélu en mai 2020[30])
    En cours Jean-Claude Prévôt    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Montagnac-la-Crempse relève[31] :

    Démographie

    Les habitants de Montagnac-la-Crempse se nomment les Montagnacois[32].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 404 habitants[Note 6], en augmentation de 6,32 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0801 0201 0481 3231 4001 3471 2971 3041 246
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2001 1481 0631 038984980968949899
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    803805700605585562531542542
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    444448409365363381385385377
    2017 2018 - - - - - - -
    392404-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[36], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 155 personnes, soit 40,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-quatre) a augmenté par rapport à 2010 (seize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-quatre établissements[37], dont treize au niveau des commerces, transports ou services, huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, et deux dans l'industrie[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre de Lépine (1757-1831) devient vicaire de la paroisse de Montagnac la Crempse en 1788, avant de rejoindre Périgueux puis Paris. Il devient ensuite directeur de l'école des chartes[51].
    • François Prévot-Leygonie (1780-1852) : homme politique, avocat puis magistrat, né et décédé à Montagnac-la-Crempse[52].
    • Son frère, Pierre Prévot-Leygonie (1783-1851), né également à Montagnac la Crempse, chirurgien major dans l'armée impériale[52].
    • Jean Baptiste Bordas, dit Bordas-Demoulin (Montagnac 1798- Paris 1859) : Philosophe. Né au lieu-dit de La Bertinie, il est orphelin de très bonne heure. Devenu philosophe à Paris, il fait paraître en 1837, en collaboration avec l'abbé Sénac Le Christianisme dans ses rapports avec la civilisation moderne puis en 1843 Le Cartésianisme suivi de Théorie de la Substance et de celle de l'infini, en 1846 Mélanges philosophiques et religieux et en 1856 Essais sur la réforme catholique. Après sa mort, ses œuvres posthumes, sont éditées en deux volumes par François Huet.
    • Félix Fournery (1865-1938), peintre, s'installa avec son atelier dans la commune, qu'il peignit et où il est mort.
    • Robert Toulemon : haut fonctionnaire né en 1927 à Montagnac : ancien élève de l’ENA, inspecteur général des finances honoraire, directeur général honoraire à la Commission européenne à Bruxelles. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la construction européenne dont 50 mots : l'Europe, La construction européenne, Aimer l'Europe, et Souvenirs européens 1950-2005.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Montagnac-la-Crempse et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. « Montagnac-la-Crempse » sur Géoportail (consulté le 3 juin 2015)..
    19. Campagnac était autrefois appelé Campagnac-de-Cornecul (Briand de Verzé, Dictionnaire géographique de la France, chez Belin-Leprieur, Paris, 1839, p. 263).
    20. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 230.231.
    21. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 12 mars 2014.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Campagnac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    24. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    25. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    26. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 6 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
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    30. « Ils ont aussi été élus », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 13.
    31. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
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    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. Dossier complet - Commune de Montagnac-la-Crempse (24285) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
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    38. Dossier complet - Commune de Montagnac-la-Crempse (24285) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
    39. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 207.
    40. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 161.
    41. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 163.
    42. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 164.
    43. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 126.
    44. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 66.
    45. « Janvier 2014 - Les moniales dominicaines fondent et ...elles ont besoin de votre aide • La Porte Latine », sur La Porte Latine, (consulté le ).
    46. Cendrine Albo, « Des soeurs dominicaines, proches de la fraternité St Pie X, traditionaliste, vont s'installer en Dordogne », sur francetvinfo.fr, France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
    47. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 133-134.
    48. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 34.
    49. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 254.
    50. « Pour les enfants du pays de Beleyme », sur assobeleyme.org (consulté le ).
    51. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 597.
    52. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 771.
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