Meslay-le-Vidame

Meslay-le-Vidame est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Meslay et Andeville (homonymie).

Meslay-le-Vidame

Église Saint-Étienne de Meslay-le-Vidame
 Classé MH (1967)[1].
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Serge Le Balc'h
2020-2026
Code postal 28360
Code commune 28246
Démographie
Population
municipale
526 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 16′ 51″ nord, 1° 27′ 40″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 158 m
Superficie 14,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Villages Vovéens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Meslay-le-Vidame
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Meslay-le-Vidame
Géolocalisation sur la carte : France
Meslay-le-Vidame
Géolocalisation sur la carte : France
Meslay-le-Vidame

    Géographie

    Situation

    Communes limitrophes

    Réseau routier

    Près de la commune de Thivars il existe un accès à l'autoroute A11 (sortie 3, Échangeur Chartres-Centre Châteaudun) (l'Océane) qui mène vers Le Mans, Nantes et Paris, Bordeaux dans l'autre jonction.

    Desserte ferroviaire

    La commune ne possède pas de desserte ferroviaire. La gare la plus proche est celle de Voves (14 km) sur la ligne Paris-Austerlitz-Tours via Châteaudun (TER Centre-Val de Loire).

    Bus

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 639 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pré-Saint-Evroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 597,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 11 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Meslay-le-Vidame est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), forêts (3,7 %), zones urbanisées (1,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Merliacum en 1092[22], Meslay les Bois en 1793, Merlay-le-Vidame 1801[23].

    Il est impossible d’écarter l’hypothèse d’un *melarium « pommier », dérivé du latin classique malum « pomme » ou de la nèfle qui se disait mêle ou mesle.

    le-Vidame est un composé du latin vice et dominus, « seigneur »), titre de noblesse français assez rare.

    Histoire

    Révolution française et Empire

    Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, Meslay-le-Vidame s'est appelée Meslay-les-Bois.

    XIXe siècle

    En 1827, Meslay-le-Vidame absorbe Andeville.

    XXe siècle

    Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[24], dont Meslay-le-Vidame[25]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[26]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[Note 7]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1901 1908 Jules Billard    
    1908 1914 Charles André    
    1914 1929 Jean Bouvard    
    1929 1933 François Boizard    
    1933 1935 Joseph Galopin    
    1935 1940 Georges Lurcy    
    1940 mai 1945 Paul Lebrun    
    mai 1945 mars 1959 Edgar Lamirault    
    mars 1959 janvier 1970 Jacques Boutisseau    
    janvier 1970 mars 1977 André Bouvard    
    mars 1977 novembre 1984 Pierre Grosbois    
    novembre 1984 mars 2008 André Taillepied    
    mars 2008 En cours Serge Le Balc'H[28],[29] Modem Ingénieur ou cadre technique d'entreprise

    Population et société

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    375300342367575576526519562
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    589590553552566496502515485
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    516541531471390373341408331
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    394379315304364402445451530
    2017 2018 - - - - - - -
    522526-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Étienne

    Coupe longitudinale de l'église Saint-Étienne (projet de 1810).

    C'est un édifice du XIXe siècle[31], classé monument historique[1].

    Sa construction, de 1810 à 1816, en revient au vicomte Charles-Henri Dambray[32] qui s'adressa à l'architecte Nicolas Jacques Antoine Vestier, le fils du peintre Antoine Vestier, pour sa conception. Vestier adopte pour l'église de Meslay l'ordre dorique grec, alors à la mode, tout en l'adaptant ; ainsi, pour la façade, le péristyle est soutenu par six piliers en pyramide tronquée mais sans les caractéristiques cannelures de cet ordre, coiffé d'un fronton triangulaire rappelant ainsi un temple antique.

    Nicolas-Antoine Vestier s'est certainement inspiré de la façade de la Rotonde de la Villette à Paris due à Claude-Nicolas Ledoux tant la ressemblance avec celle de l'église de Meslay est évidente[33].

    Château

    Le château de Meslay vers 1900.
    Le fronton du château.

    Meslay-le-Vidame était sous l’Ancien Régime le siège d’une seigneurie, attestée dès les XIIe et XIIIe siècles[34]. Les seigneurs de Meslay étaient vidames de Chartres. Du château ancien il ne reste plus que les pavillons d’entrée, qui datent du XVIIe siècle. Ce château fut reconstruit en 1707 à peu près comme on peut le voir actuellement : onze fenêtres en façade, une ceinture de douves et des communs de chaque côté. Au XVIIIe siècle, il était entouré de vergers et dominait un parc à la française. La seigneurie couvrait un domaine étendu, qui comprenait des terres sises à Andeville, Fresnay-le-Comte, Saint-Denis de Cireuil, Boisvillette, Vitray-en-Beauce et autres lieux, des forêts - la plus grande était le bois d’Alou, de 110 hectares - de nombreuses fermes, moulins, etc.

    La seigneurie de Meslay fut érigée en comté en 1651 lorsqu’elle appartenait à Jacques-Auguste II de Thou (1609-1677)[35], grand magistrat et fils de l'illustre bibliophile Jacques Auguste de Thou. Elle passa ensuite dans la famille Rouillé, illustrée notamment par Jean-Baptiste Rouillé de Meslay, scientifique et académicien très connu, puis au prince de Talmon, qui la disputa avec la duchesse de Richelieu. La seigneurie est achetée en 1734 par Antoine-Lambert Masson de Meslay (1696-1779), qui accroît encore le domaine sur les terres avoisinantes. Elle passe ensuite à son fils Jérôme-Pélagie Masson de Meslay (1742-1798).

    Le château fut placé sous séquestre de 1789 à 1799. Le château passe ensuite à Charles de Paule de Barentin, beau-frère de Jérôme-Pélagie, puis au vicomte Charles-Henri Dambray (1760-1829), Chancelier de France et Président de la Chambre des Pairs sous Louis XVIII, gendre de Barentin.

    Après avoir été aux mains de la famille Chasles, puis de Georges Lurcy, il a été occupé par le Centre éducatif et professionnel Charles Péguy, géré par l'Association Départementale pour la Sauvegarde de l'Enfant à l'Adulte d'Eure-et-Loir (ADSEA28) jusqu'en 2012, date à laquelle la Caisse d'Allocations Familiales d'Eure-et-Loir a repris possession de son bien.

    Les archives de la seigneurie de Meslay[36], qui couvrent la période 1191-1916, ont été léguées à la ville de Chartres en 1987 par Mme Geneviève Convert-Chasles.

    Chapelle Sainte-Marie-Madeleine d'Andeville

    La chapelle Sainte-Marie-Madeleine d'Andeville.

    Personnalités liées à la commune

    La comtesse de Meslay par Hyacinthe Rigaud (1698).

    Voir aussi

    Bibliographie

    "Meslay-le-Vidame. Atlas terrier de 1706, cartes et plans anciens du fonds Chasles : 1690-1900", 7 pages à télécharger sur le site de la médiathèque de Chartres (historique précis de la seigneurie et des seigneurs puis des châtelains de Meslay-le-Vidame avec une bibliographie).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. La liste des maires de Meslay-le-Vidame est consultable sur le site du Cercle de recherches généalogiques du Perche-Gouët.

    Références

    1. « Église », notice no PA00097151, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pré-Saint-Evroult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Meslay-le-Vidame et Pré-Saint-Évroult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pré-Saint-Evroult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Meslay-le-Vidame et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, , p. 442.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    25. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    26. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    27. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    28. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Sous la direction de Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le Guide du patrimoine Centre Val de Loire, p. 445, Hachette, 1988 (ISBN 2-01-018538-2).
    32. Alors possesseur du château, voir plus bas.
    33. Henry-Paul Eydoux : Monuments méconnus Paris et Île-de-France, Librairie académique Perrin, 1975 - p. 321 à 326
    34. Claude Rouyer. Le Château de Meslay le Vidame. Chartres : 1991. Paris BNF : 16-LK7-63373.
    35. « Jacques-Auguste II de Thou (1609-1677), baron de Meslay », sur BnF.
    36. Haude de Chalendar. Classement et inventaire sommaire des archives de la seigneurie de Meslay-le-Vidame : fonds Chasles conservé aux archives municipales de Chartres. – Mulhouse : 1991. – 240 p. D.E.S.S. : Mulhouse : Université de Haute Alsace: 1991.
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