Mescoules

Mescoules est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Mescoules

Vignes et église de Mescoules.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bergeracoise
Maire
Mandat
Emmanuel Guichard
2020-2026
Code postal 24240
Code commune 24267
Démographie
Gentilé Mescoulois
Population
municipale
179 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 44′ 40″ nord, 0° 25′ 53″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 166 m
Superficie 4,85 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Bergeracois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Mescoules
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Mescoules
Géolocalisation sur la carte : France
Mescoules
Géolocalisation sur la carte : France
Mescoules

    Géographie

    Généralités

    L'Escourou à sec en limite de Mescoules (à gauche) et Saint-Julien-d'Eymet.

    Située en Bergeracois, dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne et dans l'aire urbaine de Bergerac[1], la commune de Mescoules s'étend sur 4,85 km2. Elle est arrosée au sud par l'Escourou  un affluent du Dropt  qui lui sert partiellement de limite territoriale et au nord-est par la Mescoulette, un affluent de la Gardonnette.

    L'altitude minimale avec 83 mètres se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, près du lieu-dit Foncaussade, là où la Mescoulette quitte la commune et entre sur celle de Sigoulès-et-Flaugeac (territoire de Sigoulès). L'altitude maximale avec 166 mètres[2] est située à l'est, près du lieu-dit les Granges. Au niveau géologique, le sol se compose principalement de calcaire et de molasse oligocènes, hormis la vallée de l'Escourou recouverte d'alluvions holocènes[3].

    À proximité immédiate de la route départementale (RD) 933 (l'ancienne route nationale 133, l'axe Bergerac-Marmande, le petit bourg de Mescoules se situe en distances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-nord-est d'Eymet et douze kilomètres au sud-sud-ouest de Bergerac.

    La commune est également desservie au nord par la RD 15.

    Communes limitrophes

    Carte de Mescoules et des communes avoisinantes en 2018, avant la création des communes nouvelles de Saint-Julien-Innocence-Eulalie et Sigoulès-et-Flaugeac.

    En 2018, année précédant la création des communes nouvelles de Saint-Julien-Innocence-Eulalie et Sigoulès-et-Flaugeac, Mescoules était limitrophe de quatre autres communes. En 2019, elle n'est plus entourée que par ces deux nouvelles communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 857 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 13 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Mescoules est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40 %), zones agricoles hétérogènes (32 %), terres arables (16,7 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (3,5 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg de Mescoules proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[23] :

    • le Courby
    • Foncaussade
    • le Grand Champ
    • la Grande Pleyssade
    • les Granges
    • les Ourmeyroux
    • les Ourmeyroux[Note 6]
    • le Petit Bout
    • la Petite Pleyssade
    • le Peyret
    • le Pilot
    • la Pleyssade
    • les Renautoux
    • les Vergnes.

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu, Parochia Sancti Martini de Mescola, date de l'an 1131, dans le cartulaire de l'abbaye Sainte-Marie de Saintes[24], altérée en Moscola en 1365[25].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Mescoule[26].

    Le nom de Mescoules semble unique sur le territoire national et son origine, obscure, pourrait avoir un rapport avec la libellule (mescola en occitan[27]), ou encore correspondre au nom d'un domaine gallo-roman[25].

    En occitan, la commune porte le nom de Mescola[27].

    Histoire

    Le lieu est connu depuis au moins le XIIe siècle, mentionné alors pour sa paroisse Saint-Martin[24].

    Au Moyen Âge, Mescoules dépendait de la châtellenie de Puyguilhem[28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Mescouls est rattachée au canton de Cunèges qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[29]. Le chef-lieu du canton étant transféré de Cunèges à Sigoulès en 1817, le canton se nomme alors canton de Sigoulès.

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[30]. La commune est alors rattachée au canton du Sud-Bergeracois, dont le bureau centralisateur se trouve à Eymet.

    Intercommunalité

    Fin 2003, Mescoules intègre dès sa création la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès. Celle-ci fusionne avec l'ancienne communauté d'agglomération bergeracoise au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[31],[32].

    Liste des maires

    La mairie en 2020.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001[33] juillet 2020 Roger Lapouge SE[34] Cadre
    juillet 2020 En cours Emmanuel Guichard    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Mescoules relève[35] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage avec Trisobbio.

    La commune de Mescoules est jumelée avec la commune italienne de Trisobbio.

    Démographie

    Les habitants de Mescoules se nomment les Mescoulois[36].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

    En 2018, la commune comptait 179 habitants[Note 7], en augmentation de 4,07 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    251271279245269293298290271
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    243235238261236211199180204
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    196185195184170175165190185
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    180155150135144141155157159
    2013 2018 - - - - - - -
    172179-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[40], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 90 personnes, soit 53,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (sept) a augmenté par rapport à 2010 (trois) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt établissements[41], dont dix au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[42].

    Entreprises

    Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises ayant leur siège social en Dordogne, la Cave de Sigoulès (vinification), implantée à Mescoules, se classe 18e avec 6 451 k€, en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Plaque funéraire du colonel Paul de Chadois, cimetière de Mescoules.
    • Paul de Chadois (1830-1900), militaire et homme politique, inhumé au cimetière de Mescoules[48].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Deux lieux-dits du même nom, l'un à l'extrême sud de la commune, à l'ouest de la route départementale (RD) 933, l'autre à l'est de la RD 933, 800 mètres au nord-est du précédent.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Aire urbaine de Bergerac (109), Insee, consulté le 24 octobre 2020.
    2. « 166 » sur Géoportail (consulté le 24 octobre 2020)..
    3. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Mescoules et Saint-Laurent-des-Vignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Mescoules et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Mescoules » sur Géoportail (consulté le 24 octobre 2020)..
    24. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Mescoules », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 24 octobre 2020.
    25. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 219-220.
    26. « Mescoule » sur Géoportail (consulté le 22 octobre 2020)..
    27. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 24 octobre 2020.
    28. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Puy-Guilhem », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 24 octobre 2020.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    31. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
    32. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 22 octobre 2020.
    33. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 22 août 2014.
    34. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
    35. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    36. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 22 octobre 2020.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. Dossier complet - Commune de Mescoules (24267) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
    41. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    42. Dossier complet - Commune de Mescoules (24267) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 1er décembre 2018.
    43. « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
    44. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 238.
    45. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 216.
    46. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 195.
    47. Paul Moisson, « Une véritable arche de Noé », Sud Ouest édition Dordogne, 17 août 2020, p. 18-19.
    48. Violette Rausa, « En mémoire du colonel De Chadois », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 24.
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.