Marville (Meuse)

Marville est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Elle fait partie de la Lorraine gaumaise.

Pour les articles homonymes, voir Marville.

Marville

Le quartier de l'église Saint-Nicolas.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Montmédy
Maire
Mandat
André Jullion
2020-2026
Code postal 55600
Code commune 55324
Démographie
Gentilé Marvillois [1]
Population
municipale
510 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 10″ nord, 5° 27′ 24″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 313 m
Superficie 19,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montmédy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Marville
Géolocalisation sur la carte : Meuse
Marville
Géolocalisation sur la carte : France
Marville
Géolocalisation sur la carte : France
Marville

    Ses habitants sont appelés Marvillois.

    Géographie

    La commune est traversée par les ruisseaux du Crédon, du Moulin qui confluent vers l'Othain qui longe la commune.

    Localisation

    Marville est située sur la N 43, à 13 km au sud-est de Montmédy, à 13 km à l'ouest de Longuyon et 10 km au sud de la frontière belge. Le village est traversé par l'Othain.

    Communes limitrophes

    Géologie

    Marville repose sur un massif karstique comprenant de nombreuses cavités et un ruisseau souterrain auxquels il est possible d'accéder par de nombreuses dolines (profondes jusqu'à presque plus que 20 mètres), dans le Bois de Marville et le Bois de Rupt-sur-Othain. Le ruisseau souterrain peut être visité par des spéléologues confirmés en rampant d'abord au fond d'une doline à travers un étroit boyau, rempli à moitié de boue liquide. Après une cinquantaine de mètres, il faut descendre en rappel une cascade de quelques mètres puis suivre le ruisseau sur plusieurs centaines de mètres jusqu'à un siphon. En cas de crue, les eaux resurgissent comme un geyser pouvant atteindre m de hauteur à partir de sources souterraines inondant parfois une partie du village de Delut ; on les appelle les bouillons de Delut[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Marville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,2 %), forêts (18,7 %), prairies (16,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), zones urbanisées (2,2 %), eaux continentales[Note 2] (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Martis-villa (IXe siècle), Martis-villæ (1158), Marvilla (1220), Marville (1267), Marwille (XVe siècle)[10].

    Histoire

    La présence humaine est attestée de longue date en Lorraine ; la culture celte y a notamment prospéré au Ve siècle av. J.-C.. Située sur le territoire de l'ancienne Gaule romaine, Marville est à mi-chemin entre les grandes cités de Verdun et d'Arlon en Belgique. Au Moyen Âge, Marville est intégrée au royaume de Lotharingie, au cours du IXe siècle, puis de la Francie orientale.

    En , Marville était un comté[10].

    Les plus anciennes mentions de Marville remontent à la fin du XIIe siècle ; le comte Thiébaut 1er de Bar y fait édifier une forteresse. Il affranchit partiellement la cité vers 1190 et confère de la sorte de nombreux avantages aux habitants et aux métiers de Marville, notamment dans les domaines économiques et judiciaires.

    Par son mariage avec la comtesse Ermesinde de Luxembourg, fille d'Henri l'Aveugle, le comte Thiébaut 1er de Bar fait entrer Marville dans les possessions du Luxembourg. Mort en croisade contre les Albigeois dans le sud de la France, il laisse une veuve qui épousera le marquis d'Arlon et comte de Limbourg.

    Maisons Renaissance.

    Le , Antoine de Brabant, souverain du Luxembourg et Edouard III, comte de Bar, meurent tous les deux à Azincourt ; Marville perd ses deux seigneurs. À Edouard III succède son frère Jean. Dès 1419, il transmet ses états à son petit-neveu René I d'Anjou marié à Isabelle, héritière de Lorraine. Le décès simultané de ces deux personnalités ne modifie en rien le destin particulier de Marville. Les héritiers d'Ermesinde continueront de se transmettre la cité, provoquant une indivision pour quatre siècles entre le comté de Bar et celui de Luxembourg. Cette période est appelée « Les Terres Communes ». Elle se caractérise par une profitable neutralité pour les habitants de Marville au cours de la tumultueuse époque des guerres féodales. La ville s'enrichira de cette favorable position et connaîtra son apogée à la Renaissance aux XVIe et XVIIe siècles.

    En 1441, une lointaine descendante d'Ermesinde, duchesse en titre mais désargentée, vendit le comté du Luxembourg à Philippe III de Bourgogne ; Marville entre dans les Etats Bourguignons. La petite-fille de celui-ci, Marie de Bourgogne, épouse l'héritier des Habsbourg. Leur petit-fils s'appellera Charles Quint. De cette succession, Marville a conservé un patrimoine bâti lié à la présence espagnole en Lorraine. Pendant cette période, Marville faisait en effet partie des Pays-Bas espagnols; il reste quelques maisons de style Renaissance espagnole extrêmement intéressantes par leur état de conservation et leur rareté en Gaume[11].

    En 1659, à l'occasion du Traité des Pyrénées réconciliant la France et l'Espagne, Marville est intégrée au royaume de France, rompant ainsi le lien qui l'unissait au Luxembourg. Devenant alors un chef-lieu de prévôté et de bailliage du Luxembourg français.

    Une partie de la Franche-Comté, alors espagnole, fut donnée à la France ; l'état souverain du duché de Bar est annexé mais reste gouverné par le duc Charles IV de Lorraine.

    Soldats allemands à Marville, carte postale, 1914-1918.

    Était rattaché au diocèse de Trèves (archidiaconé de Longuyon et doyenné de Juvigny).

    La fortification des défenses de Montmédy, sur ordre de Louis XIV, s'accompagna du démantèlement de celles de Marville, en 1672, dans le but de limiter les pouvoirs de la noblesse locale ainsi que d'éviter d'offrir à tout ennemi potentiel une place forte en état de fonctionnement. La politique centralisatrice de Louis XIV et sa stratégie militaire provoquèrent le déclin de Marville.

    La cité garde son nouveau statut de bourgade de province jusqu'au conflit de 1914 ; la ligne de front se stabilise en effet rapidement sur une ligne de 500 km orientée du nord au sud, passant par les hauteurs de Verdun, à quarante kilomètres vers le sud-ouest. Marville est située juste à l'arrière des lignes allemandes et subira des dégâts lors de bombardements. En 1940, le 132e régiment d'infanterie de forteresse s'y est battu.

    Le lieu-dit de Choppey était une cense placée sous la souveraineté commune des ducs de Bar et de ceux de Luxembourg de 1270 à 1603.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1836 1845 Louis d'Egremont   Capitaine de cuirassier en retraite,

    Chevalier de la Légion d'Honneur

    1845 1848 Hubert Simon-Maquard    
    1848 1873 Jean-François Mouton-Chibeaux    
    1874 1876 François Pognon-Boucheron   Major de cavalerie en retraite,

    Chevalier de la Légion d'Honneur

    1876 1881 Hubert Simon    
    1881 1884 Louis Cothenet    
    1884 1885 François Pognon-Boucheron   Major de cavalerie en retraite,

    Chevalier de la Légion d'Honneur

    1886 1888 Jules Pigny    
    1888 1901 Louis Courcier    
    1901   Charles-Edmond Mouton    
             
    1919 ? 1925 Lucien Richard    
    1925 1929 Pol Grandjean   Chevalier de la Légion d'Honneur
    1929 1935 Léon Guillaume    
    1935 ~1940 Charles Simonin    
    ~1940 1947 Nicolas Beudin    
    1947 1959 ? Ernest Antoine   Chevalier de la Légion d'Honneur
             
    1965 ? mars 1971 Paul Jodin    
    mars 1971 31 mai 2012 Claude Biwer UDF
    puis NC
    Conseiller général du canton de Montmédy (1976-2008)
    Sénateur (2001-2011)
    juillet 2012 mars 2014 Marie-José Mertz    
    mars 2014 mai 2020 Jean-Michel Jodin    
    mai 2020 En cours André Jullion [12]    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[14].

    En 2018, la commune comptait 510 habitants[Note 3], en diminution de 3,95 % par rapport à 2013 (Meuse : −3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9961 0631 0661 2151 2631 3281 2881 3111 324
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3411 3151 2781 1961 0929941 008943957
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    887806709512540541528450633
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    549550494551518532553560510
    2018 - - - - - - - -
    510--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Implantée sur la base aérienne, la deuxième plus grande centrale photovoltaïque de France devrait produire environ 0,16 GWh par an[17],[Note 4].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Outre ses monuments religieux et funéraires remontant au Moyen Âge, Marville possède de rares témoins de la Renaissance espagnole en Gaume, avec ses belles façades, nées de l'implantation de familles nobles, bourgeoises ou commerçantes attirées par l'époque prospère du XVIe siècle. Le village possède surtout l'un des rares cimetières classés - sinon le seul-, en raison de son exceptionnel état de conservation et de la diversité de ses tombes. Il est classé monument historique depuis 1931[18]. Le cimetière de Saint-Hilaire, couronné avec la Chapelle Saint-Hilaire, est également classé monument historique depuis 1931[19].

    Moyen Âge

    Chapelle Saint-Hilaire.
    • Chapelle Saint-Hilaire de style roman (XIIe-XIVe), classée monument historique en 1931, qui fut l'église mère de Marville jusqu'au XIIIe siècle. D'abord romane, elle a été tranformée au XIVe siècle. Elle conserve un important mobilier funéraire gothique et moderne (in-situ ou provenant du cimetière), des autels latéraux du XVe siècle et un retable de 1707.[20]
    • Pietà des Lépreux - XIIe siècle (église Saint-Nicolas) classée monument historique en 1954 [21].

    Moyen Âge et Temps modernes

    Intérieur ossuaire.
    Ossuaire.

    Temps Modernes

    La chapelle de l'hospice Saint-Bernard.

    Période contemporaine

    Aux alentours immédiats, on peut également citer :

    Marville dans la culture

    • Un épisode de la série Maigret avec Bruno Cremer (Le fou de Sainte Clotilde) y a été en partie tourné.
    • Suite française, film historique sorti en 2015 qui prend pour cadre le village de Bussy, est tourné en partie à Marville en .
    • Rendez-vous d'Antoinette Beumer tourné en 2014 dans le Pays de Montmédy.
    • L'inconnue du cimetière Saint-Hilaire de Pierre Kalmar, roman fantastique et symbolique situé à Marville et Bar-le-Duc.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les anciennes armes de Marville étaient « mi-parti à dextre [c.-à-d. au 1] burelé d'argent et de gueules de dix pièces, au lion d'argent langué [c.-à-d. lampassé] d'azur, couronné et armé d'or, à la queue fourchue, brochant sur le tout, qui est de Luxembourg moderne, modifié, comme partie dominante ; et à sénestre [c.-à-d. au 2], d'azur aux deux barreaux d'argent adossés, accompagnés de trois croisettes recroisetées au pied fiché de même, pour les insignes du Barrois »[10].

    Blason
    Parti : au 1er burelé d'argent et d'azur, au lion de gueules à la queue fourchée et passée en sautoir, armé ; lampassé et couronné d'or, brochant sur le tout, au 2e d'azur à deux bars adossés d'or, cantonnés de quatre croisettes recroisetées au pied fiché d'or.
    Détails
    Marville fut possédée par les ducs de Luxembourg et les comtes de Bar ; c'est sans doute à cette particularité que font allusion ses armoiries[39].
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. Soit encore 0,16 TWh/a

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meuse-55
    2. Gamez, P. (1983). – « Morphologie karstique du bassin de Delut (Meuse) », Bulletin de la Société d'histoire naturelle des Ardennes tome 73, Société d'histoire naturelle des Ardennes, Charleville-Mézières, p. 37-44.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Entrée « Marville », dans Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Dictionnaire topographique de la France », , 1re éd., XLIV-297 p., in-4o (28 cm) (OCLC 457433969, notice BnF no FRBNF30818141, lire en ligne), p. 143 [fac-similé (page consultée le 23 juillet 2016)].
    11. Histoire de Marville sur www.festival-marville.fr
    12. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    17. « La deuxième plus grande centrale solaire de France investit une friche militaire », sur connaissancedesenergies.org,
    18. « Cimetière de Marville », notice no PA00106565, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    19. « Cimetière du Mont-Saint-Hilaire », notice no PA00106566, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    20. Simone Collin-Roset, Marie-France Jacops, « Marville. Église Saint-Hilaire », Congrès archéologique de France, vol. 1991, no 149, , p. 197-206 (lire en ligne).
    21. « Vierge des Lépreux », notice no PA00106580, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. « Ancienne enceinte urbaine », notice no PA55000032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    23. « Église Saint-Nicolas de Marville », notice no PA00106567, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. « Maison du Prieur de Saint-Hilaire », notice no PA00106576, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. « Ancien refuge de l'abbaye d'Orval », notice no PA00106572, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. « Maison des Drapiers », notice no PA00106569, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. « Immeuble du 16ème Grande-place », notice no PA00106570, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Immeuble 16ème et 17ème Grande-place », notice no PA00106571, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Maison du Chevalier Michel », notice no PA00106577, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Immeuble et statue rue du Tripot », notice no PA00106574, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Immeuble et façade rue du Tripot », notice no PA00106575, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Calvaire de Marville », notice no PA00106564, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Hôtel d'Égremont », notice no PA00106568, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Immeuble Renaissance, place St Benoît », notice no PA00106573, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Maison 4, rue Marius », notice no PA55000047, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Maison du 16ème rue des Prêtes », notice no PA00106578, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Porte avec écusson et baie, rue des Prêtes », notice no PA00106579, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. http://www.luxemburgensia.bnl.lu/cgi/luxonline1_2.pl?action=fv&sid=luxbio&vol=07&page=128&zoom=3 La Famille de La Fontaine à Marville
    39. Constant Lapaix, Armorial des villes, bourgs et villages de la Lorraine, du Barrois et des Trois-Évêchés, Nancy, Chez l'auteur

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Simone Collin-Roset, Marville, dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 185-189, Société française d'archéologie, Paris, 1995
    • Simone Collin-Roset, Marville, église Saint-Nicolas, dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 191-195, Société française d'archéologie, Paris, 1995
    • Simone Collin-Roset, Marie-France Jacops, Marville, église Saint-Hilaire, dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 197-206, Société française d'archéologie, Paris, 1995
    • Simone Collin-Roset, Jacques Guillaume et Anne Remy-Tosi, Marville : l'apport de l'étude des sous-sols à la connaissance de l'architecture civile, In Situ. Revue des patrimoines, no 2, 2002 ( lire en ligne )
    • Stéphane Bern, Le village préféré des français, 44 trésors incontournables, Paris, Albin Michel, , 256 p. (ISBN 978-2-226-25920-2)
      Ce livre est tiré de l'émission Le village préféré des français, diffusée par France Télévisions, conçue et produite par Morgane Production : Marville, pages 84 à 87** I - De la baie de Somme au littoral charentais en passant par la Bretagne,** II – Des Flandres au Jura en passant par l'Alsace,** III – De l' Île-de-France aux monts d'Auvergne en passant par la Bourgogne,** IV – Du littoral atlantique aux Alpes en passant par la Méditerranée.

    Articles connexes

    Liens externes

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