Marie de Romieu

On ne sait presque rien de la sœur de Jacques de Romieu, un autre écrivain du XVI^e siècle, si ce n'est qu'elle fait paraître en 1572 l'adaptation d'une œuvre d'Alessandro Piccolomini, Instruction pour les jeunes dames, puis en 1581 ses œuvres poétiques. Celles-ci comprennent plusieurs sonnets, complaintes et élégies, ainsi qu'une savoureuse pièce de vers, le Discours que l'excellence de la femme surpasse celle de l'homme, féministe avant la lettre.

• Marie de Romieu, Les premières œuvres poétiques de Mademoiselle Marie de Romieu, Vivaroise : contenant un brief discours que l'excellence de la femme surpasse celle de l'homme, non moins recréatif que plein de beaux exemples, Paris, L. Breyer, 1581, 50 ff. ; in-12 (notice BnF n^o FRBNF31241301) Les premières œuvres poétiques de Mademoiselle Marie de Romieu sur Gallica
• Marie de Romieu, Les Devis amoureux de Mariende et Florimonde, mère et fille d'allience, Paris, J. Corrozet, 1607, In-16 (notice BnF n^o FRBNF39336100)
• Alessandro Piccolomini, Marie de Romieu, Catherine Des Roches et Madeleine Des Roches (trad. Marie de Romieu), Instruction pour les jeunes dames, par la mère et fille d'alliance, Paris, sur la copie imprimée à Lyon par J. Dieppi, 1597, 73 ff. ; in-12 (notice BnF n^o FRBNF31241299)[Note 1]