Marc Laviolette (syndicaliste)

Marc Laviolette est un syndicaliste québécois. Il a été le président de la Confédération des syndicats nationaux (CSN) de 1999 à 2002[1].

Pour les articles homonymes, voir Marc Laviolette.

Depuis 2007, il milite au sein du SPQ-Libre, un club politique affilié au Parti québécois.

Biographie

Militant marxiste-léniniste durant les années 1970, Marc Laviolette se présente comme candidat indépendant aux élections fédérales canadiennes de 1980, dans la circonscription de Beauharnois-Salaberry (circonscription fédérale). Il est par la suite candidat du Parti communiste ouvrier (Canada) lors des Élections générales québécoises de 1981, dans la circonscription de Beauharnois (circonscription provinciale).[réf. nécessaire]

Vice-président de la Fédération de la métallurgie et président du Syndicat des travailleurs et travailleuses des Produits chimiques Expro de Salaberry-de-Valleyfield de 1986 à 1994, Marc Laviolette est élu pour la première fois à l'exécutif de la CSN en 1994, puis une seconde fois au congrès de 1996. Il est responsable notamment du dossier santé-sécurité au travail et des campagnes confédérales à caractère social, dont celles sur la santé et l'éducation.

En 1999, il succède à Gérald Larose au poste de président de la CSN. Il fait un mandat à ce poste et cède la place à Claudette Carbonneau en 2002.

Le , il annonce sa candidature comme candidat péquiste dans la circonscription de Soulanges, à l'ouest de Montréal, en vue de l'élection provinciale québécoise du 26 mars 2007. Il termine troisième avec 26,4 % du vote, derrière la libérale Lucie Charlebois et un candidat adéquiste, Sylvain Brazeau.

Il est le président des Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre (SPQ-Libre)[2].

Notes et références

Voir aussi

  • Portail du syndicalisme
  • Portail de la politique québécoise
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.