Marc Cools

Marc Cools, né le à Etterbeek, est un homme politique belge francophone, ancien membre du MR[2].

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Marc Cools
Fonctions
Bourgmestre d'Uccle (ad interim)

(2 mois et 28 jours)[1]
Prédécesseur Armand De Decker
Successeur Boris Dilliès
Premier échevin de la commune d'Uccle
En fonction depuis
Vice-président du Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale
Parlementaire au Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Etterbeek (Belgique)
Nationalité Belge
Parti politique Mouvement réformateur (jusqu'en 2018)
Diplômé de Université libre de Bruxelles

Biographie

Marc Cools est ingénieur commercial de formation, fonctionnaire au ministère des Finances et conseiller financier.

Depuis 1990, il est premier échevin de la commune d'Uccle et échevin de l'urbanisme, de l'environnement, du logement, des propriétés communales et de la gestion du personnel.

Il est président de l'Association de la ville et des communes de la région de Bruxelles-Capitale depuis 2004 et de l'Union des villes et communes belges. Il est député du Parlement bruxellois de 1989 à 2004[3] et vice-président du Parlement bruxellois de 1999 à 2002. Il a été qualifié de parlementaire le plus actif par le journal Le Soir[réf. nécessaire].

Il est président du groupe libéral démocrate au Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l'Europe où il milite pour la défense de l'autonomie locale et les droits de l'homme partout en Europe[réf. nécessaire].

En 2017, Marc Cools est le premier mandataire ucclois à avoir publié sur internet ses rémunérations brutes liées à tous ses mandats politiques.

Le , après la démission d'Armand De Decker, impliqué dans l'affaire Chodiev, il devient bourgmestre d'Uccle ad interim[4] mais, le suivant, c'est Boris Dilliès qui lui est préféré par les élus MR de la commune pour briguer le poste de bourgmestre[5]. Son interim se termine le suuivant quand Dilliès prête serment[1].

Il est exclu du MR 48 heures après avoir déclaré que le MR devait cesser de courir derrière la N-VA et avoir voté au Conseil communal une motion contre le projet du gouvernement belge concernant les visites domiciliaires qui seraient rendues possibles sans l'autorisation d'un juge[6].

Il conduit aux élections communales du une liste baptisée « Uccle en avant »[2]. Celle-ci termine à la quatrième place avec 9,44 % des voix[7].

Il est marié et père de trois filles.

Notes et références

  1. « Boris Dilliès prêtera serment ce vendredi », La Libre, (lire en ligne)
  2. « A Uccle, tout dépendra de l'impact de la nouvelle fracture intra-libérale », La Libre Belgique, (lire en ligne)
  3. Politiek zakboekje 2004. Decision makers, C. Ysebaert, Malines, Kluwer, 2003.
  4. « Armand De Decker annonce sa démission du poste de bourgmestre d'Uccle », RTBF Info, (lire en ligne, consulté le )
  5. « Boris Dilliès a été désigné candidat bourgmestre d'Uccle pour succéder à Armand De Decker » (consulté le )
  6. « Marc Cools : "Le MR doit arrêter de courir après la N-VA !" », La Libre, (lire en ligne)
  7. « Uccle: les résultats des élections communales 2018 », sur Le Soir,

Liens externes

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