Madré

Madré est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 292 habitants[Note 1].

Ne doit pas être confondu avec Madre.

Madré

L'église paroissiale Saint-Maurice.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Mont des Avaloirs
Maire
Mandat
Bernard Blanchard
2020-2026
Code postal 53250
Code commune 53142
Démographie
Gentilé Madréen
Population
municipale
292 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 38″ nord, 0° 22′ 46″ ouest
Altitude Min. 122 m
Max. 189 m
Superficie 17,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Villaines-la-Juhel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Madré
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Madré
Géolocalisation sur la carte : France
Madré
Géolocalisation sur la carte : France
Madré

    La commune a la particularité de faire partie à la fois des provinces historiques du Maine et de la Normandie[1].

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 786 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bagnoles-de-L_orne », sur la commune de Bagnoles de l'Orne Normandie, mise en service en 1990[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 902,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 35 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[13], à 10,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Madré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), prairies (44,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Au IVe siècle, une monnaie mérovingienne attribuée à Madré portait l'inscription Materiacum[23]; ecclesia de Materiaco IXe siècle[24], de Maidreio 1135, Ecclesia de Maydreio 1261[24], Maidré 1312[24], Rector de Maidreio …, locus de Maidré 1455[24], Saint-Maurice de Madré 1564[24].

    E. Nègre a proposé que l'étymologie de Madré serait formée de l'anthroponyme roman Maturus adjoint du suffixe de lieu -acum[25]. Cette hypothèse n'est pas compatible avec la mention Materiacum du IVe et celle de Materiaco du IXe, mais il est plus vraisemblable qu'elle soit issu du gallo-romain Mater "mère" + suff. -acum "domaine de", d'où "Le Domaine de la Mère".

    Histoire

    Le site de Madré est localisé sur un point culminant à près de 175 m. Il domine la région près de la confluence du ruisseau d'Andigné et de la Mayenne, qui l'entourent presque. Le nom Madré "Domaine de la Mère" est peut être en rapport avec un culte des Mères à l'époque gallo-romaine. Les déesses celtiques occupaient souvent les hauteurs et les monts[26]

    "La paroisse était constituée assez anciennement pour que le rédacteur des Actes des évêques du Mans osât se permettre au IX s. d'en attribuer la fondation à saint Pavace[24]", qui était fêté le 24 juillet[27],[28].

    "Guérin de Méhoudin, chevalier, céda au chapitre du Mans le patronage de l'église, mais Jean du Boulay réclama,se disant lui-même en possession de disposer du bénéfice et finit par conclure un accord en vertu duquel les chanoines et lui présenteraient alternativement à la cure, et qui fut signé le samedi après la Saint-Maurice (fête patronale), 24 septembre 1261[24]".

    "La seigneurie de paroisse appartient, au moins dès le XIIIe, aux seigneurs du Boulay en Bretignolles. C'est à ce titre que Jean du Boulay transige en 1261 avec le chapitre du Mans et qu'on voit dans la suite présenter à la cure : le seigneur du Boulay,1564 ; Catherine de Chauvigné, douairière du Boulay,1583 ; Jacques de Royers, grand bailli d'Alençon, commandant de la noblesse de Basse-Normandie,seigneur du Boulay et de Septforges, etc[24]".

    "Le directoire du département supprimait civilement la paroisse et l'unissait à Saint-Julien du Terroux et à Neuilly-le-Vendin, 8 août 1792[24]".

    "Du 29 juin au 8 juil. 1799, Madré, Saint-Julien, les Chapelles sont occupées par une troupe de quatre-vingts insurgéssousles ordres de Jolibois et de Baglin, de Charchigné[24]".

    Politique et administration

    La paroisse de Madré étant à cheval sur la Normandie et le Maine, deux communes homonymes ont été créées à la Révolution, une en Mayenne et une dans l'Orne. Les deux communes sont fusionnées en 1824.

    Liste des maires de Madré dans l'Orne
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1800 Jean Guenoux[29]    
    1801 1809 Charles Moussay[24],[29]    
    1810 1824 Jean (François) Taupin[24],[29]    
    Liste des maires de Madré dans la Mayenne
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 an III Samson Fouré[24]    
    1798 1800 Pierre Guenoux[24]    
    1800 1800 N Legros[24]    
    1800 1808 Ambroise Raison[24],[29]    
    1808 1815 René Ferouelle[24],[29]    
    1816 1820 François Leblanc[24],[29]    
    1820 1840 René Ferouelle[24],[29]    
    1840 1860 Théophile Mariel[24],[29]    
    1860 1876 N Legros[24],[29],[30]    
    1877 1896 Victor Gautier[24],[29],[31]   réélu en 1888[32]
    1896 1900 N Maubert[24],[29]    
    1900  ? N Gautier[24],[29]    
     ? mars 2001 Daniel Blanchard    
    mars 2001 novembre 2014[33] Michel Rioual[34] Sans étiquette  
    2015 En cours Bernard Blanchard[35] Sans étiquette Retraité, réélu en 2020[36]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2018, la commune comptait 292 habitants[Note 6], en diminution de 15,61 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2081 2161 2541 2651 7841 7341 7281 7531 807
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6851 5811 5221 3371 3061 2021 0851 0591 012
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    982968889697706704653669616
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    575521488375362356357357347
    2017 2018 - - - - - - -
    293292-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Vaugeois, situé sur la commune de Saint-Ouen-le-Brisoult (Orne), il s'étend sur les communes voisines de Neuilly-le-Vendin et de Madré.
    • Château de la Motte.
    • Église paroissiale Saint-Maurice.
    • Écomusée de Madré.
    • Gare de Madré, fermée totalement en 2012[réf. souhaitée].
    • Chapelle de Saint-Aubert, située dans le hameau du même nom.

    Personnalités liées à la commune

    • Alain Lambert (né en 1946), ministre du Budget de 2002 à 2004, a passé son enfance à Madré où son père était cordonnier[41].
    • Jean-Jacques Reboux (né en 1958 à Madré), écrivain et éditeur.

    Héraldique

    Blason
    D’azur, à un mont sur lequel s’élève un chêne, le tout d’or, et chargé de deux têtes de guivre de sinople, animées et lampassées de gueules, adossées et jointes.
    Détails
    L’azur indique la présence importante de l’eau. On trouve ainsi principalement les ruisseaux d’Anglaine, de Valoire, de l’Aisne et la rivière Mayenne. En outre l’azur est la couleur principale du blason du Maine, ancienne province dans laquelle se trouve Madré.

    Le mont et le chêne constituent ce que l’on appelle des armes parlantes dans le sens où le nom du village est clairement exprimé par le dessin.

    Les deux têtes de serpent arrachées et jointes symbolisent saint Aubert dont une chapelle est présente à Madré ainsi qu’un pèlerinage aujourd’hui estompé. En Bretagne d’où il est originaire, Aubert est représenté tenant une crosse au bout de laquelle s’entortillent deux têtes de serpent.

    Les ornements sont deux gerbes de blé d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin d’honorer l’activité agricole de la commune.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Isabelle Séguy et Christine Théré, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001 : Dictionnaire d'histoire administrative, INED, , 406 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne), p. 151.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Bagnoles-de-L_orne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Madré et Bagnoles de l'Orne Normandie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Bagnoles-de-L_orne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Madré et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. PONTON d'AMECOURT (Vte. de) Monnaies mérovingiennes du Cenomannicum. Revue hist. et archéo. du Maine. 1881-1882. (1883), t. 10-12, p. 217.
    24. « Madré », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (lire en ligne).
    25. Ernest NEGRE, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 449.
    26. BECK (Noémie) Moderne Goddesses in Celtic Religion — Cult and Mythology/ A Comparative Study of Ancient Ireland, Britain and Gaule (2007), p. 207-263.
    27. RIBADENEYRA (Pedro de) DARAS (E.) Les vies des saints et fêtes de toute l'année (1872), t. 7, p. 348-351
    28. Les petits Bollandistes / vies des saints (1876), t. 9 24 juil- 17 aoû, p. 12-14.
    29. Archives Départementales de la Mayenne, Etat-Civil de Madré
    30. « Noms des Maires et Adjoints - Canton de Couptrain », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Echo de la Mayenne (consulté le ).
    31. « Noms des Maires et Adjoints - Canton de Couptrain », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Echo de la Mayenne (consulté le ).
    32. « Liste des Maires - Canton de Couptrain », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Avenir de la Mayenne (consulté le ).
    33. « Michel Rioual, maire de Madré, est décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. Réélection 2014 : « Madré (53250) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « Madré », sur cc-montdesavaloirs.fr, communauté de communes du Mont des Avaloirs (consulté le ).
    36. « Municipales à Madré. Bernard Blanchard réélu, deux adjoints installés », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « L'ambition d'Alain Lambert », sur lesechos.fr, Les Échos (consulté le ).
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