Louvie-Soubiron

Louvie-Soubiron (en béarnais Lobièr-de-Haut ou Loubié-de-Haut) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Louvie.

Louvie-Soubiron

La mairie de Louvie-Soubiron.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée d'Ossau
Maire
Mandat
Gérard Sarrailh
2020-2026
Code postal 64440
Code commune 64354
Démographie
Population
municipale
121 hab. (2018 )
Densité 4,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 00′ 01″ nord, 0° 24′ 45″ ouest
Altitude Min. 457 m
Max. 2 038 m
Superficie 26,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Louvie-Soubiron
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Louvie-Soubiron
Géolocalisation sur la carte : France
Louvie-Soubiron
Géolocalisation sur la carte : France
Louvie-Soubiron

    Le gentilé est Louvie-Soubironnais[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Louvie-Soubiron se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 34 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Béost (0,7 km), Laruns (1,8 km), Aste-Béon (2,6 km), Gère-Bélesten (3,0 km), Eaux-Bonnes (3,4 km), Bielle (6,3 km), Bilhères (7,2 km), Castet (7,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Louvie-Soubiron fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Hydrographie

    Les terres de la commune sont arrosées par le gave d'Ossau (affluent du gave d'Oloron) et par ses affluents :

    • le ruisseau le Canceigt (10 km) et son affluent :
      • l'arrèc de Badeigs et son affluent :
        • l'arrèc de la Téoulère
    • le ruisseau le Lamay

    La commune est également traversée par l'Ouzoum (affluent du gave de Pau) et ses affluents :

    • le Caud'Arrouy
    • le ruisseau de Gourlapit
    • le ruisseau de Hougarou
    • le ruisseau de Lastètes
    • le ruisseau le Laussiès

    Des captages d'eau pour la zone de Pau et ses alentours est alimenté par des sources karstiques, Aygue Blanque (teneur en nitrates faible, mg/l en 2009).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 428 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laruns-Artouste », sur la commune de Laruns, mise en service en 1943[13]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 8,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 635,4 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 45 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 13,4 °C pour 1981-2010[18], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur et de l'aire d'adhésion[Note 5] du Parc National des Pyrénées. Créé en 1967 et d'une superficie de 45 806 ha, ce parc abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[22],[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[25],[Carte 1] :

    • « le gave d'Ossau », d'une superficie de 2 300 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[26] ;
    • le « massif du Moulle de Jaout », d'une superficie de 16 350 ha, abritant en particulier six espèces rares, menacées à l’échelle mondiale. Certaines de ces espèces comme le Géranium de Bilhère ne se rencontrent qu’en Haut Béarn. D’autres, comme la Bartsie en épi (Northobartsia spicata), qui ne se rencontre en Béarn que sur le massif de Jaout, lui confèrent toute son originalité), qui ne se rencontre en Béarn que sur le massif de Jaout, lui confèrent toute son originalité[27] ;

    et deux au titre de la « directive Oiseaux »[25],[Carte 2] :

    • les « pènes du Moulle de Jaout », d'une superficie de 4 399 ha, un vaste ensemble montagneux comprenant des falaises exposées à l'Ouest, caractérisée par des habitats ouverts, forestiers et rupestres pyrénéens typiques favorisant la présence d'espèces ornithologiques majeures[28] ;
    • les « pics de l'Estibet et de Mondragon », d'une superficie de 4 648 ha, sont une zone de montagne de moyenne à haute altitude avec occupation du sol alternant habitats ouverts, forestiers et rupestre[29].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 7]sont recensées sur la commune[30],[Carte 3] :

    • les « pelouses, landes et boisements du pic Merdanson et du pic Mondragon » (2 759,1 ha), couvrant 3 communes du département[31] ;
    • le « pic du Moulle de Jaut » (426,46 ha), couvrant 3 communes du département[32],
    • le « réseau hydrographique du gave d'ossau à l'amont d'arudy et ses rives » (586,79 ha), couvrant 12 communes du département[33] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 8],[30],[Carte 4] :

    • les « bassins versants amont de l'Ouzom (rive gauche) et du Béez » (9 662,23 ha), couvrant 4 communes du département[34] ;
    • le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[35] ;
    • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[36];
    • la « vallée d'Ossau » (43 624,41 ha), couvrant 13 communes du département[37].

    Urbanisme

    Typologie

    Louvie-Soubiron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[38],[39],[40]. La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (50 %), forêts (38,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,7 %), prairies (4,1 %), zones urbanisées (0,4 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    • Le hameau de Listo sur le chemin du col de Louvie.
    • Le quartier et le hameau des Eschartès, près de Ferriéres et de l'ancienne mine de Baburet. Ce hameau, fort éloigné de Louvie-Soubiron - à cinq ou six heures de marche par le col de Louvie ou, par la route, à une trentaine de kilomètres - est pourvu d'une mairie annexe.

    Toponymie

    Le toponyme Louvie-Soubiron apparaît[44] sous les formes Lobiher-Susoo (1376, montre militaire de Béarn[45]), Lobier-Susoo (1414, titres de Louvie-Soubiron[46]), Lovier-Sobiroo (1489, notaires d'Ossau[47]), Lobier-Sobiron (1538, réformation de Béarn[48]), Sanctus-Martinus de Louvie (1606, insinuations du diocèse d'Oloron[49]), Lovier-Soubiron (1612, titres de Louvie-Soubiron[46]), Lobie-Souvirion (1675, réformation de Béarn[48]).
    Listo est mentionnée[44] dès 1487 (Lobier et Listo, notaires d'Ossau[47]).
    'Lobièr' nom occitan vient du latin et signifie demeure de Lupinus, 'Soubiron' vient de l'occitan gascon 'sobiran' = en amont, en effet la commune est au-dessus de Louvie-Juzon[50].

    Son nom béarnais est Lobièr-de-Haut[51] ou Loubié-de-Haut[52].

    Histoire

    En 1385, Louvie-Soubiron comptait 9 feux et Listo 3. Elles dépendaient du bailliage d'Ossau.
    Paul Raymond[44] note que ce village formait avec Listo une ruffe-baronnie depuis 1615, vassale de la vicomté de Béarn. À noter que dès 1538, le seigneur de ces communes s'attribue le titre de prumer rufabaron.

    Au XIXe siècle, les mines de fer de Baburet en vallée d'Ouzoum alimentent les forges d'Arthez-d'Asson[53], et de Louvie-Soubiron, toutes deux installées sur les bords de l'Ouzom (forges de la vallée de l'Ouzom)[54].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2001 Jean-Marc Répéto    
    2001 2008 Jean-Marc Répéto    
    2008 2014 Gérard Sarrailh    

    Intercommunalité

    La commune fait partie de deux structures intercommunales[55] :

    La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].

    En 2018, la commune comptait 121 habitants[Note 10], en stagnation par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    316263156233306383353401378
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    400394387347360363387383387
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    370303319280245217217190168
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    137128125118127121113112119
    2017 2018 - - - - - - -
    119121-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Un gisement de fer, la mine de Baburet, fut exploité jusqu'en 1866, puis à nouveau de 1920 à 1962. Une carrière de marbre blanc fut également ouverte au nord du village. Elle donnait un marbre blanc « analogue au marbre de Carrare [...] et bon pour la statuaire [qui] a servi à faire les statues extérieures de la Madeleine, à Paris »[60] ainsi que du marbre bleu turquin.

    L'agriculture et l'élevage constituent une part importante de l'activité économique de la commune, qui fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Le village.

    Patrimoine civil

    • L'ancienne mine de Baburet.
    • L'ancienne forge de Louvie.
    • L'ancienne forge de Nogarot.
    • L'ancienne forge d'Isale.
    • L'ancienne carrière de marbre blanc de La Peyrère.

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Martin-de-Tours date du XIIe siècle et a été reconstruite au XIXe siècle.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Louvie-Soubiron », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Louvie-Soubiron », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Louvie-Soubiron », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Louvie-Soubiron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Louvie-Soubiron et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Louvie-Soubiron et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Louvie-Soubiron », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Laruns-Artouste - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    15. « Station Météo-France Laruns-Artouste - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Louvie-Soubiron et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    18. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    26. « site Natura 2000 FR7200793 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR7200742 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7210089 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « site Natura 2000 FR7212009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    45. Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    46. Titres de la commune - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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    60. Ch. L. Froissard, Mémoire sur les marbres des Pyrénées, Paris, Grasset, 1896.

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