Ligue nationale contre le cancer

La ligue nationale contre le cancer est une association française créée le par Justin Godart et reconnue d'utilité publique depuis le [2]. Organisation non gouvernementale, la Ligue a pour missions la prévention et la promotion des dépistages des cancers, l'accompagnement des personnes malades et de leurs proches et le soutien financier de la recherche publique dans tous les domaines touchant à la cancérologie. Elle est le premier organisme non-gouvernemental français de financement de la recherche dans ce domaine.

Ligue nationale contre le cancer
Cadre
Forme juridique Organisation non gouvernementale
But Lutte contre le cancer
Zone d’influence France
Fondation
Fondation
Fondateur Justin Godart
Identité
Siège 14 rue Corvisart, Paris
Structure Fédérale
Président Daniel Nizri
Vice-président Catherine Simonin
Jean Bernard Dubois
Secrétaire général Gérard Kritter
Directeur général Frédérique Jeske
Secrétaire Gérard Hortala
Trésorier Francis Flamain
Méthode Recherche, prévention, promotion des dépistages, accompagnement aux malades et leurs proches, mobilisation de la société et des pouvoirs publics
Financement Dons, legs, donations, assurance-vie
Volontaires 13 800[1]
Membres 605 615
Slogan Face au cancer, on est plus fort ensemble !
Site web https://www.ligue-cancer.net

Histoire

Justin Godart, après avoir été sous-secrétaire d’État à la Santé entre 1915 et 1918, fonde la Ligue franco-anglo-américaine contre le cancer le . L’association est reconnue d’utilité publique le [3] et devient en 1927 la Ligue française contre le cancer. L’international reste un enjeu majeur pour Justin Godart qui crée dès 1935 l’Union internationale contre le cancer (UICC). A ses débuts, l’UICC fédère 43 pays, elle en rassemble aujourd’hui 160.

La Ligue déploie rapidement ses actions autour de quatre piliers : l’aide aux malades, le soutien à la recherche, la prévention et la sensibilisation auprès des décideurs politiques. Aujourd’hui, les objectifs de l’association restent les mêmes, faisant de la Ligue contre le cancer la seule association qui lutte sur tous les fronts de la maladie : avant, pendant et après le cancer.

En 1922, la création des premiers Comités provinciaux marque un tournant fort dans l’évolution de l’association. Le maillage territorial de la Ligue, au travers de ses 103 Comités départementaux restent aujourd’hui une de ses forces. Les Comités, autonomes, gardent des liens forts avec la fédération nationale.

Alors que le cancer émerge progressivement comme une préoccupation majeure, la prise en charge s’organise, notamment par la création des centres de lutte contre le cancer à partir des années 1920. Avec la réforme de 1945 faisant de l’hôpital un service public, l’accès de tous aux soins devient une réalité, et la Ligue voit aboutir un combat mené de longue date. Ces centres accueillent sans condition toute personne nécessitant des soins. De nouveaux traitements apparaissent, radiothérapie puis chimiothérapie, dont les résultats sur certaines pathologies sont encourageants.

En 1950, les Comités sont autorisés à organiser des quêtes sur la voie publique, ce qui permet d’augmenter petit à petit les ressources et de structurer la collecte à l’échelle nationale. Un réseau de quêteurs s’organise, faisant apparaître un nouveau type de militant, le responsable de la quête, chargé d’organiser la collecte de fonds, de former des quêteurs et de réfléchir à la communication.

La Ligue, dont l’action auprès des personnes malades reposait notamment sur la mobilisation de « dames visiteuses » issues de la bonne société, professionnalise cette mission grâce à des infirmières et assistantes sociales.

Dans les années 1960, avec la grande réforme Debré qui instaure les Centres Hospitalo-Universitaires (CHU), la lutte contre le cancer se modernise : nomenclature des cancers, développement de la chimiothérapie anticancéreuse, évaluation des thérapeutiques, émergence des études épidémiologiques, structuration de la recherche à l’échelle européenne, utilisation des scanners et de l’IRM pour mieux localiser et mieux définir les tumeurs… La Ligue continue d’innover dans chacune de ses missions, par exemple en créant un service d’hospitalisation à domicile qui connaît rapidement du succès.

C’est également à cette époque que se crée l’ARC (Association pour la recherche sur le cancer), qui va concentrer son action sur la recherche, ainsi que d’autres associations de patients organisées par type de cancers (œsophage, sein…). Cette concurrence et l’apparition du sida, dont les associations de malades sont très médiatisées, éclipsent parfois les combats de la Ligue. En 1991, la Ligue adhère au comité de la Charte de déontologie des organisations sociales et humanistes faisant appel à la générosité du public, qui certifie que l’argent collecté est dûment employé pour lutter contre le cancer. Le scandale de l’ARC en 1995 est une épreuve pour la Ligue qui perd en un an cent mille adhérents. La transparence de la Ligue et sa solide implantation locale à travers ses 103 Comités départementaux, lui permettent toutefois de résister.

En 1998, la Ligue rassemble les personnes malades atteintes de cancer lors des premiers Etats généraux. Elle est alors reconnue comme le porte-parole des malades atteints de cancer. Les « patients experts » seront associés par l’association à la préparation du premier Plan cancer. En 2002, la loi relative aux droits des malades entre en vigueur, reprenant la plupart des revendications des Etats Généraux de 1998. Des Etats Généraux des personnes atteintes de cancer et de leurs proches sont organisés en 2000 et 2004, le premier Plan cancer est lancé en 2003 par Jacques Chirac qui fait de la lutte contre le cancer l’une des priorités de son mandat. Une des mesures phares de ce plan est le dispositif d’annonce de la maladie. En 2005, l’Institut national du cancer est créé pour coordonner et fédérer avec les associations, l’ensemble des acteurs de la lutte contre le cancer. Le positionnement de la Ligue comme acteur du développement d’une politique publique en matière de lutte contre le cancer et son rôle dans l’élaboration des Plans cancer s’affirment. La Ligue, outre ses quatre missions sociales, milite pour améliorer la vie quotidienne des personnes malades, pendant et après la maladie, notamment via le retour à l’emploi et l’accès à un prêt bancaire. C’est ainsi que la Ligue et d’autres associations ont signé en 2006 la Convention AERAS, s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé permettant aux personnes malades de ne plus déclarer leur maladie à leur assureur bancaire après un certain délai. La Ligue met en place le dispositif AIDEA, service téléphonique anonyme et gratuit consacré à l’assurabilité. Enfin en 2015, le protocole d’accord sur le droit à l’oubli est signé au siège de la Ligue, permettant à certaines personnes atteintes de cancer et d'hépatite C de ne plus mentionner leurs maladies lors d'une demande d'assurance emprunteur.

Porte-parole des personnes malades, la Ligue organise en 2008 la première Convention de la société face au cancer qui a irrigué les 2ème et 3ème Plans cancer 2013-2019. L’association est impliquée dans la mise en œuvre de 32 actions de ce plan. En 2008, le Comité éthique et cancer est créé sous l’égide de la Ligue, dispositif consultatif de réflexions qui émet de façon collégiale des avis publics sur les questions dont il est saisi ou se saisit lui-même.

Depuis 2015, la Ligue porte également un combat sur le prix des médicaments innovants anticancéreux afin de garantir l’accès de tous aux traitements de pointe. En 2016, la Ligue a été hôte du Congrès mondial contre le cancer avec l’Alliance des Ligues africaines et méditerranéennes contre le cancer (ALIAM).

Le 14 mars 2018, la Ligue contre le cancer célèbre son centenaire au centre des congrès de la Cité des sciences et de l'industrie, à Paris, et rend ainsi hommage à son fondateur Justin Godart,président de la Ligue de 1918 à 1956. Le 21 novembre 2018, vingt ans jour pour jour après les premiers Etats généraux des personnes malades atteintes de cancer, la Ligue organise les premiers Etats généraux de la prévention des cancers au Conseil économique, social et environnemental (CESE), à Paris. Le but est d’obtenir la mise en œuvre des onze propositions « phare » et de leur quarantaine d’actions concrètes, résumées dans un livre blanc. L’objectif principal, mis en avant dans ce livre, est d’accorder davantage d’importance à la prévention afin de protéger les jeunes générations des cancers qui les guettent.

Le 20 novembre 2019, 184 experts se retrouvent pour fêter les 10 ans de l’Observatoire sociétal des cancers, créé par la Ligue, qui, pour l’occasion, a réalisé une enquête sur le ressenti des personnes atteintes par la maladie. Le Rapport 2019 met ainsi en avant l’épreuve du parcours de soins, de l’annonce du diagnostic à la fin du traitement, ainsi que le poids des inégalités (sociales et économiques notamment) face au cancer.

L’année 2019 est également marquée par deux temps forts pour la Ligue contre le cancer. C’est d’abord la campagne de communication contre les bières ultra-fortes, sujet évoqué par le président Axel Kahn dès son élection, qui est mise en avant. La vente de ces bières est dénoncée comme étant un attentat contre la santé des jeunes et un piège tendu à ces derniers, créant une dépendance à l’alcool, à l’origine de nombreuses pathologies notamment cancéreuses. Toujours mue par sa volonté de promouvoir un mode de vie sain et de prévenir l’apparition des cancers par une bonne alimentation, la Ligue s’allie en novembre à deux organisations influentes dans les domaines de la distribution et de la grande consommation : Yuka et Foodwatch. Une campagne commune contre les nitrites ajoutés dans la charcuterie, substances classées « cancérogènes probables »[4] par le CIRC et l’OMS [5] est alors lancée. Ensemble, ils interpellent Agnès Buzyn, alors ministre des Solidarités et de la Santé et lancent une pétition qui obtient plus de 150 000 signatures en seulement une semaine.

Début 2020, alors que l’épidémie de la Covid-19 se répand partout dans le monde et oblige les autorités françaises à ordonner un confinement général de la population, la Ligue se mobilise fortement pour accompagner les personnes atteintes de cancer et leurs proches à traverser la crise sanitaire sans mettre en danger leur santé. Elle demande notamment aux pouvoirs publics plusieurs mesures pour mieux protéger les personnes malades et leurs proches des risques de contamination par le coronavirus. La Ligue alerte également sur la dégradation de la situation des personnes atteintes de cancer durant la pandémie et développe, en plus de sa cellule d’écoute et de son forum, un dispositif d’aide et de soutien exceptionnel avec une ligne téléphonique dédiée ainsi qu’avec des capacités renforcées sur son forum.

Les pénuries de médicaments anticancéreux, déjà dénoncées par la Ligue, sont aggravées par la crise sanitaire. Après avoir publiée les résultats d’une étude menée auprès des soignants et des personnes malades, la Ligue lance une campagne doublée d’un appel à témoins le 14 septembre 2020.

Identité visuelle

Liste des présidents successifs de la Ligue contre le cancer

PériodePrésidentQualitéPortrait
1918-1956Justin GodartFondateur et président de la Ligue contre le cancer de 1918 à 1956, fondateur de l’Union internationale contre le cancer (UICC). Docteur en droit, avocat, ancien ministre, membre de l’Académie de médecine
1957-1971Antoine LacassagneCancérologue, professeur au Collège de France et membre de l’Académie de médecine
1971-1981Roger GaspardIngénieur, directeur de cabinet de Paul Ramadier, directeur de l’Électricité au ministère de la Production industrielle, puis président d'EDF
1981-1991Pierre GuillaumatAncien ministre des armées, de l'Éducation nationale. Ministre de l'énergie atomique, de la recherche et de la fonction publique, Président d'EDF et premier président d'Elf Aquitaine
1991-1998Gabriel PallezInspecteur des finances, président du Crédit commercial de France, directeur général de l’AP-HP
1998-2007Henri PujolCancérologue, membre de l’Académie de chirurgie
2007-2010Francis LarraCancérologue, président du comité technique régional des experts en cancérologie, de la Société française de psycho-oncologie, de l’European association for cancer education.
2010-2012Gilbert LenoirPU-PH, chercheur, directeur de la recherche à l'Institut Gustave-Roussy), membre de l’Académie des sciences
2012-2019Jacqueline GodetProfesseur de génétique à l'université Claude Bernard Lyon 1, ancienne directrice du département des sciences du CNRS.
2019-2021Axel KahnMédecin généticien, chercheur et essayiste français.
2021-Daniel Nizri

Domaines d'intervention

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Chercher pour guérir

La Ligue contre le cancer est le 1er financeur privé et indépendant de la recherche contre le cancer. Parce que la recherche permet de réduire l’incidence et la mortalité liée au cancer et de contribuer activement à l’amélioration de la prise en charge de la maladie cancéreuse et à sa guérison, la Ligue a investi près de 400 millions d’euros en 10 ans. Le soutien de la Ligue à la recherche, c’est, chaque année :

  • 800 projets soutenus qui vont de la recherche fondamentale jusqu’aux applications au lit du patient ;
  • 100 équipes de recherche labellisées ;
  • 250 doctorants ou post-doctorants financés ;
  • 15 000 tumeurs analysées depuis 2005 grâce au Programme Carte d’identité des tumeurs.

La Ligue contribue activement à l’amélioration de la prise en charge de la maladie cancéreuse et à la guérison de 60% des cancers.

Prévenir pour protéger

Près de 40 % des cancers pourraient être évités. En agissant sur les facteurs de risque et de protection des cancers et en éduquant les populations, la Ligue contre le cancer permet à chacun de mieux se protéger et d’empêcher l’apparition de la maladie. La Ligue agit par :

  • la diffusion de campagnes pédagogiques sur le tabac, l’alcool, l’alimentation, l’activité physique, l’exposition solaire[6], notamment dans les établissements scolaires
  • la promotion des dépistages des cancers du côlon-rectum, de l’utérus ou du sein. Plus un cancer est dépisté tôt, plus les chances de guérison sont importantes ;
  • le plaidoyer pour le développement de milieux favorables à la santé : augmentation du prix du tabac, interdiction du Bisphénol A et du Glyphosate…

Accompagner pour aider

Parce que la maladie cancéreuse a des répercussions physiques, psychologiques, économiques et sociales, la Ligue contre le cancer propose des services adaptés aux besoins des personnes malades et à leurs proches dans 300 Espaces Ligue dédiés et animés par les Comités départementaux :

  • accompagnement en soins de support : soins socio-esthétiques, activités physiques adaptées, conseils en nutrition, soutien psychologique...
  • accompagnement social : visites, aides aux démarches administratives, aides financières, appui à la réinsertion professionnelle

Cet accompagnement vise à améliorer la prise en charge personnalisée et la qualité de vie pendant et après la maladie.

Chaque année, près de 12 100 familles bénéficient d’aides financières et 70 000 personnes sont accueillies dans les Espaces Ligue, en France métropolitaine et en Outre-mer.

Contactez-nous au : 0 800 940 939 (Service & appel gratuits). Écoute et soutien psychologique, conseils pour accéder à une assurance de prêt, permanence juridique. Du lundi au vendredi de 9h à 19h.

Mobiliser pour agir

Témoin des réalités vécues par les personnes malades grâce à sa présence dans chaque département, la Ligue contre le cancer s’implique aux côtés des acteurs institutionnels, associatifs et des professionnels de santé pour faire évoluer les dispositifs de prise en charge aux besoins des personnes malades :

  • Participer aux débats de société autour du cancer en y associant les personnes malades, les proches et tous les acteurs concernés ;
  • Défendre les droits des personnes malades en militant auprès des pouvoirs publics pour améliorer leur protection et les préserver de toute discrimination ;
  • Faire vivre la démocratie sanitaire notamment par la présence de 500 représentants des usagers du système de santé au sein d’instances régionales chargées de la santé.
  • Contribuer au Plan cancer 2014-2019 en tant qu’acteur majeur :

L’Observatoire sociétal des cancers qui étudie les impacts sociaux et sociétaux de la maladie pour mieux comprendre les effets sur les personnes malades, leurs proches, mais aussi sur la société tout entière[7].

  • Le « patient ressource » qui, ayant vécu avec un cancer, peut transmettre son expérience auprès d’autres malades afin de les aider dans leur parcours contre la maladie.
  • Le droit à l’oubli, dont le protocole d’accord a été signé au siège de la Ligue le , permet d’améliorer les conditions d’accès aux emprunts et aux assurances pour les personnes ayant eu un cancer et qui en sont guéries.

Structure

Locaux de la Ligue, rue Corvisart à Paris.

La Ligue est constituée de 103 comités départementaux régis par la loi de 1901 et regroupés autour d'une fédération possédant un siège national situé à Paris au 14 de la rue Corvisart, dans le 13e arrondissement.

Comités départementaux

Les 103 comités départementaux de la Ligue ont pour mission de relayer les actions de la Ligue. Ils assurent :

  • le financement de la recherche en cancérologie ;
  • la prévention, l'information et la promotion des dépistages, notamment dans les milieux scolaires et lors de manifestations ;
  • les actions auprès des personnes malades et de leurs proches grâce à des structures d’information, de soutien : groupes de parole, espace de rencontres et d'information… (AIDEA, Espaces Ligue)

Instances dirigeantes

Une assemblée générale ordinaire est annuellement organisée. Elle est essentiellement composée de représentants des Comités départementaux. Ces derniers bénéficient d'un droit de vote, proportionnel au nombre d’adhérents présents dans leur département, qui leur permet de déterminer les principaux textes d'orientation de l'association et de désigner les membres du conseil d'administration de la fédération.

Le conseil d'administration de la Ligue est composé de trente membres et est présidé depuis le par Jacqueline Godet. Il est constitué par :

  • 16 représentants des 103 Comités départementaux présents en métropole et Outre-mer ;
  • 6 personnalités susceptibles d’apporter une aide à la Ligue, dont un membre représentant les malades ou leurs associations ;
  • 6 personnes choisies pour leurs compétences dans le domaine de la cancérologie ;
  • 2 personnalités qualifiées supplémentaires pouvant être nommées par le Conseil d'administration.

Financement

Différents financements de la Ligue contre le cancer

Le financement de la Ligue nationale contre le cancer est essentiellement basé sur la générosité du public avec les dons et les legs qu'elle reçoit, puisque 93 %[8] du total de ses ressources en provient. La Ligue contre le cancer et les 103 Comités départementaux qui la composent sont agréés par le Comité de la Charte du don en confiance dont la vocation est de « promouvoir la transparence et la rigueur de la gestion[9] ».

En 2016, la Ligue a consacré[8] :

  • 38,9 millions d’euros dans la recherche sur le cancer (soutien à la recherche fondamentale, à la recherche clinique, aux jeunes chercheurs et financement du Programme Cartes d'identité des tumeurs) ;
  • 20,2 millions d’euros pour améliorer la qualité de prise en charge des malades et de leur entourage (aides sociales aux personnes, amélioration de la qualité de vie des malades à l’hôpital, acquisition d’équipements de diagnostic et de traitement) ;
  • 6,5 millions d’euros dans l’information, la prévention et la promotion du dépistage ;
  • 1,1 million d'euros dans mobilisation de la société et des politiques de santé ;
  • 1,9 million d'euros pour ses autres missions sociales (international et formation)

Notes et références

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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