Le Verger

Le Verger est une commune française de Rennes Métropole, située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Pour les articles homonymes, voir Verger (homonymie).

Le Verger

Église Saint-Pierre du Verger.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Sylvie Galic (SE)
2020-2026
Code postal 35160
Code commune 35351
Démographie
Gentilé Vergéens, Vergéennes
Population
municipale
1 439 hab. (2018 en diminution de 1,71 % par rapport à 2013)
Densité 207 hab./km2
Population
agglomération
395 710 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 13″ nord, 1° 55′ 55″ ouest
Altitude 75 m
Min. 29 m
Max. 92 m
Superficie 6,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Rheu
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Le Verger
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Le Verger
Géolocalisation sur la carte : France
Le Verger
Géolocalisation sur la carte : France
Le Verger
Liens
Site web www.mairie-le-verger.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Rennes, la préfecture départementale.

    La commune est limitrophe de celle de Mordelles depuis 2012.

    Carte de la commune du Verger.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 696 hectares ; son altitude varie entre 23 et 92 mètres.

    Le point le plus bas se situe à 23 mètres d’altitude, à l'est de la commune au confluent du Meu et de la Chèze.

    Le point le plus haut se situe au sud-ouest, aux lieux-dits le Perray et le Bignon.

    Hydrographie

    Le principal cours d’eau est le Serein qui forme la limite nord de la commune[1]. Il n’a pas d’affluent sur la commune.

    On trouve par ailleurs plusieurs affluents du Meu. Le ruisseau de Rohuel constitue la frontière sud[2] tandis que son affluent le ruisseau du Gué Saint-Laurent prend sa source au sud-ouest du bourg du Verger[3].

    La commune se situe intégralement dans le bassin versant de la Vilaine et dans le sous-bassin versant du Meu.

    Voies de communication et transports

    L’axe Rennes-Lorient (route nationale 24) passe au sud de la commune. Deux routes départementales traversent le bourg, la D 240 d’est en ouest et la D 69 du nord au sud.

    La commune est desservie par les bus du réseau service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via la ligne 55 (53 les vendredis et samedis soir et 54 les dimanches et jours fériés).

    Elle est également desservie par la ligne 1 du réseau drégional BreizhGo.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 721 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[10] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Verger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,4 %), terres arables (26,8 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (4 %), prairies (0,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont : Vergier (1582)[22], Ecclesia du Verger en 1621[23].

    Toponyme formé sur le latin viridiarium désignant un « lieu abondant en arbres et en plantes, un jardin, puis plus tard un verger ».

    Le nom de la commune en breton, créé par l'Office public de la langue bretonne, est Gwerzher[22]. En gallo, le nom s’écrit Le Verjaer[24].

    Histoire

    Il existait une chapelle dite "Église primitive" au lieu-dit Le Pâtis, qui fut démolie vers la fin du XVe siècle à la suite d'un tremblement de terre[réf. souhaitée].

    C'est vers 1542 que plusieurs paroissiens de Talensac, habitant Le Trait du Breil, adressent une requête à l'évêque de Saint-Malo par laquelle ils sollicitent le droit de bâtir une église au village de Le Verger, moyennant la perception d'un certain nombre de taxes, dîmes et autres impôts, ainsi que la prise en charge complète du curé au frais de ses ouailles (construction d'une maison et couvert). Les paroissiens s'engagent à entretenir cette église. En 1617, le Parlement de Bretagne fut chargé d'une affaire opposant l'évêque de Saint-Malo, d'un côté, au seigneur de Le Verger et les habitants, de l'autre. Ces derniers furent condamnés à construire à leur frais un presbytère. Ainsi, en 1630, l'évêque de Saint-Malo érigea Le Verger en trêve de Talensac. 

    Guillaume Le Gouverneur, évêque de Saint-Malo, dont dépendait Talensac, approuva tous ces actes et érigea au commencement de 1630 Le Verger en trève de Talensac, avec le consentement du recteur de cette paroisse. Aussitôt Gilles Huchet[25], seigneur de la Bédoyère, présenta Raoul Berhault à l'évêque, qui le pourvut le de l'église du Verger, fillette de Talensac, « ecclesia du Verger, filiola matricis ecclesiœ de Talensac ».

    En 1790, M. Oresve, curé du Verger, déclara que son bénéfice avait un revenu net de 252 livres [26] ; cependant c'est en 1803[27] que le territoire de Le Verger fut séparé de celui de Talensac et érigé en paroisse autonome, par démembrement de la commune de Talensac qui elle-même est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive d'Iffendic.

    Le Verger se trouvait dans l’arrondissement de Montfort-sur-Meu jusqu’en 1926, date de son rattachement à l’arrondissement de Rennes.

    En 1992, la commune rejoint le district urbain de Rennes District (auquel a succédé en 2000, la communauté d'agglomération de Rennes Métropole) dont elle est alors une exclave. Cette discontinuité territoriale posera problème par la suite[28].

    Afin d’assurer la continuité territoriale entre Le Verger et les autres communes de Rennes Métropole, la commune de Talensac propose fin 2011 de céder une partie de son territoire au Verger[29]. Fin 2012, le préfet d’Ille-et-Vilaine valide le transfert de 51 parcelles cadastrales pour un total 9 ha 39 a 57 ca[30].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Mairie du Verger.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 mars 1982
    (décès)
    Émile Tardif
    (1906-1982)
    MRP
    puis CD
    Négociant produits du sol, maire honoraire (1982)
    Conseiller général du canton de Montfort-sur-Meu
    (1945 → 1976)
    avril 1982 mars 1983 André Durand   Maire honoraire
    mars 1983 juin 1995 Robert Labbé PS Maître de conférences de gestion
    Chevalier du Mérite agricole
    juin 1995 mars 2008 Solange Delafosse   Mère au foyer
    mars 2008 mars 2014 Patrick Le Ray[31] PS Réalisateur
    mars 2014 décembre 2018 Charles Marchal SE Chef d'équipe sécurité
    décembre 2018 En cours
    (au 25 mai 2020)
    Sylvie Galic[32] SE Auxiliaire de vie scolaire retraitée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 1 439 habitants[Note 6], en diminution de 1,71 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    440475474459503516493491480
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    486468475489519524515515542
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    513508478437427401392344357
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3853956537229151 0991 4161 4591 476
    2017 2018 - - - - - - -
    1 4451 439-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La commune ne compte aucun monuments historiques immobilier ou mobilier. Plusieurs monuments et objets sont inventoriés : 95 objets immobiliers selon la base Mérimée[37], 44 objets mobiliers selon la base Palissy[38] et 139 objets selon la base Glad, la base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne[39].

    Le bâtiment le plus imposant est le château du XVIIe siècle situé au lieu-dit le Bonnay[40],[41].

    Le Manoir de Bonnais 

    À 700 m à l'est du bourg et 100 m au sud de la route. Il possédait une chapelle. Il était entouré de larges douves et protégé par un cavalier percé de meurtrières. Une habitation plus ancienne se voit près de lui. Ses possesseurs étaient protestants, ils y élevèrent un prêche à l'époque des guerres de Religion et se faisaient inhumer sous un tumulus appelé la Motte, qui existe encore. Le manoir était aux familles Téhel, en 1441 et 1444, et Gourodi-Pommeri, au XVIIIe siècle ; puis il est passé par alliance, des familles Anger de Kernisan, aux Béhague. 

    A signaler la présence d'une motte féodale du XIe siècle ou XIIe siècle à proximité du château. Il est entouré de larges douves. Ses possesseurs étaient protestants, ils y élevèrent un prêche à l'époque des guerres de Religion et se faisaient inhumer sous un tumulus appelé la Motte. Propriété de la famille Téhel en 1441 et en 1444, puis à la famille Gourodi-Pommeri au XVIIIe siècle. Il est passé récemment[Quand ?] par alliance de la famille Anger de Kernisan à la famille Béhague.[réf. souhaitée]

    Patrimoine religieux

    La Croix devant l'église Saint-Pierre.

    L’église paroissiale Saint-Pierre dont la construction en moellonss de schiste rouge remonte au début au XVIIe siècle[42],[43]. Elle contient les 44 objets inventoriés par la base Palissy. Dégradée par des infiltrations d'eau pluviale, elle nécessite des travaux urgents en partie financés par la Mission Patrimoine 2021 (Loto du patrimoine) de Stéphane Bern.

    On compte au moins 7 croix réparties sur le territoire de la commune. Dans le centre du bourg, une croix monumentale[44],[45] se situe à proximité d’une croix de cimetière elle-même située devant l’église[46],[47]. Dans les écarts se trouvent des croix de chemin au Bignon[48],[49], au Bonnay[50],[51], à la Bouhernière[52],[53], à la Giraudais[54],[55], et au Pâtis[56],[57].

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes et références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Serein (J7355000) ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rohuel (J7365700) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Gué Saint-Laurent (J7366100) ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    10. « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Le Verger et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. [ Résultats concernant « Laillé »] sur la base KerOfis de l’Office public de la langue bretonne.
    23. « Etymologie et Histoire de Le Verger », infobretagne (consulté le ).
    24. Fiche descriptive de la ville du Verger sur Geobreizh.
    25. Gilles Huchet, écuyer, seigneur de la Bédoyère, né le 20 octobre 1600 à Campeneuc. Il obtint du roi Louis XIII, en 1643, des lettres patentes unissant tous les fiefs de la région en chatellenie, sous le nom de la Bédoyère. Après avoir été Conseiller et Garde-sel au Parlement de Bretagne il acheta en 1631 à Christophe Fouquet, parent du célèbre surintendant, une charge de procureur général, charge qui sera tenue sans interruption pendant quatre générations successives. Il décède à Rennes le 10 novembre 1662, âgé de 62 ans.
    26. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 33 ; 1 V, 29.
    27. Chanoine Guillotin de Corson, Pouillé historique de l’archevêché de Rennes, Rennes, 1880-1886.
    28. Jeux d'échelle et transformation de l'État : le gouvernement des territoires au Québec et en France, Laurence Bherer, Presses Université Laval, 1er janvier 2005, 527 pages, page 75.
    29. Procès-verbal du conseil municipal de Talensac du 24 octobre 2011 sur le site de Talensac.
    30. Arrêté portant modification de limites territoriales entre les communes de Talensac et Le Verger au recueil des actes administratifs.
    31. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535, , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
    32. « Sylvie Galic élue maire de Le Verger », Ouest-France, (lire en ligne).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Liste des édifices inventoriés, base Mérimée.
    38. Liste des édifices inventoriés, base Palissy.
    39. Liste des édifices inventoriés, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
    40. « Château, Le Bonnay », notice no IA35029411, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Château, Le Bonnay, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    42. « Église Saint-Pierre », notice no IA00130758, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Église Saint-Pierre, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    44. Notice no IA35029429, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. Notice no IA35029429, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    46. Notice no IA35029428, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. Notice no IA35029428, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    48. Notice no IA35029408, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. Notice no IA35029408, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    50. Notice no IA35029406, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. Notice no IA35029406, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    52. Notice no IA35029493, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. Notice no IA35029493, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    54. Notice no IA35029425, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. Notice no IA35029425, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
    56. Notice no IA35029407, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. Notice no IA35029407, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..

    Voir aussi

    Liens externes

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